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Dans l’histoire du festival de Cannes, qui fête cette année son 78e anniversaire, les palmes mémorables se ramassent à la pelle : de « Apocalypse Now », de Francis Ford Coppola en 1979 à « Anatomie d’une chute », de Justine Triet en 2022, en passant par « Pulp Fiction » de Quentin Tarantino en 1994, tout le monde peut les citer… Mais d’autres, plus rares, ont sombré dans les oubliettes de l’histoire. Examen express de cinq palmes ensevelies sous le sable de la Méditerranée.
1 - MARTY, de Delbert Mann (1955)
En 1955, le débutant Delbert Mann décroche la palme d’or avec son premier film où il met en scène l’idylle entre un homme et une femme complexés par leur physique. Ce film mollasson, également honoré par un Oscar, n’a pas laissé de traces dans l’histoire du cinéma, tout comme son auteur qui n’a aucun lien de parenté avec le célébrissime Anthony Mann (L'Homme de la plaine). On s’interroge sur la compétence du jury de l’édition 1955, présidé par Marcel Pagnol, puisque, cette année-là, étaient pourtant présentés en compétition À l’est d’Eden, de Elia Kazan et Les amants crucifiés, de Kenji Mizoguchi. Deux chefs-d’œuvre.