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RÉCIT - Épuisée par la guerre et les privations, la population s’accroche à l’espoir d’un cessez-le-feu.
Âgée de 40 ans, mère de six enfants, Nihal* vient de retrouver sa maison de Cheikh Radwan, un quartier du nord de la ville de Gaza. Bombardée, la maison a brûlé en partie. Elle y vit tout de même, tant bien que mal, dans la peur constante des bombardements : « La nuit dernière, les avions ont visé trois maisons à côté de chez nous. Nous nous sommes réfugiés dans une petite pièce et nous avons attendu. »
« Mon quotidien est difficile », reconnaît-elle. Les journalistes étrangers n’ont pas l’autorisation d’entrer dans la bande de Gaza, elle a été contactée à distance. Nourrir sa famille et la tenir propre lui prend tout son temps. Il faut se procurer du bois pour le feu, préparer des galettes de pain, trouver de l’eau.
Mais elle s’est habituée à cette vie rudimentaire : comme elle, les quelque 2,2 millions d’habitants de la bande de Gaza vivent désormais dans la guerre depuis vingt et un mois, quand le Hamas a déclenché la pire attaque terroriste jamais subie par Israël…