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Au lendemain des frappes américaines contre les sites nucléaires iraniens, saluées par Donald Trump comme une "destruction totale", les Israéliens oscillent entre soulagement et crainte. Si l’intervention de Washington est perçue comme un soutien décisif, beaucoup redoutent désormais des représailles de Téhéran.
"Plein dans le mille." C’est ainsi que Donald Trump a salué sur les réseaux sociaux l’opération militaire américaine menée dimanche matin contre les sites nucléaires iraniens. Le président américain s’est félicité de ces frappes spectaculaires, évoquant des "dommages monumentaux" et une "destruction totale" des infrastructures visées.
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"Ça installe un autre rapport de force"
À Tel-Aviv, l’intervention américaine suscite un mélange de soulagement et d’inquiétude. Après plus de dix jours de guerre, l’attente était palpable en Israël, d’autant que les déclarations parfois contradictoires de Donald Trump entretenaient l’incertitude. Pour Yaëlle, Israélienne rencontrée dans les rues de la ville, l’annonce des frappes a été un moment de soulagement : "Avec le peu de soutien que nous recevons du reste du monde, c’est un soulagement. Ça installe un autre rapport de force qui va sûrement remodifier un peu l'équilibre dans le Proche et Moyen-Orient et ouvrir la voie à un possible retour de la paix."
"C’est une force de frappe que nous n’avons pas"
Pour beaucoup ici, seuls les États-Unis disposaient des capacités militaires nécessaires pour atteindre certaines des infrastructures nucléaires les plus protégées du régime iranien. "Les bombes qu’ils ont utilisées n’existent nulle part ailleurs, les avions non plus. C’est une force de frappe que nous n’avons pas", explique Etan. Si Israël a pu, selon certains, mener seul l’offensive, cela aurait exigé une longue et risquée campagne militaire.
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Mais derrière le soulagement pointe désormais la crainte d’une escalade. Lorenza exprime cette inquiétude partagée par de nombreux Israéliens : "C’est un signal fort d’avoir les États-Unis, notre allié historique, à nos côtés. Mais en même temps, ça nous angoisse. On a peur d’une surenchère." Une peur d’autant plus vive que, dans la nuit, de nouvelles salves de missiles se sont abattues sur le territoire israélien.
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