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Un article récent a affirmé que selon une récente étude de l’INED (Institut National d’Etudes Démographiques), les enfants d’immigrés nord-africains (Tunisie-Algérie-Maroc), soit la deuxième génération née en France, représenteraient environ 11 % de la population française, soit 7,3 millions.

Je rappelle que l’INSEE définit les descendants d’immigrés comme les personnes nées en France d’au moins un parent immigré.

Selon Google, « en France, l’INSEE et d’autres organismes comme Libération et Le Monde.fr estiment le nombre de descendants d’immigrés à environ 7,3 millions, soit 11% de la population. Parmi eux, la proportion de descendants d’immigrés du Maghreb est significative, mais il est difficile d’obtenir un chiffre précis sans une analyse plus détaillée. » C’est donc profondément différent de ce que dit l’article ci-dessus. Les 7,3millions ne concernent pas que les Maghrébins et de loin.

Sur la base des chiffres de l’INSEE qui sont facilement accessibles en tapant : « France. Portrait social. Edition 2023. INSEE Références. Parution le 23 /11/2023. », en 2022, il y avait en France 7, 643 millions (M) descendants d’immigrés de toutes origines.

• Afrique : 3,590 M ;
• Asie : 0,840 M ;
• Amérique et Océanie : 0,329M ;
• Europe : 2, 884M ;
• Total : 7,643 M

Les descendants d’immigrés magrébins sont au nombre de 2,591M, soit un peu moins que les Européens : 2,884 millions et non pas 7,3M. Présenter ce dernier chiffre comme étant celui des Maghrébins revient à confondre allègrement l’immigration européenne, les Portugais par exemple, avec l’invasion africaine. C’est une erreur que l’on rencontre trop souvent.

Ce qui est vrai et conforme à ce que dit l’INSEE, est que le nombre total des descendants d’immigrés africains :3,590M auxquels on doit rajouter les Turcs et les originaires du Moyen-Orient : 0,410M se monte à 4 millions de personnes, soit un peu plus de 50% de l’ensemble des descendants d’immigrés.

C’est déjà suffisamment impressionnant sans en rajouter.

En fait, d’une manière plus générale, les immigrés et descendants d’immigrés d’origine non européenne (y compris l’Asie, l’Amérique et l’Océanie) représentent à peu près les 2/3 de l’ensemble de l’immigration que l’on peut estimer à environ 16,8M personnes y compris mon chiffre de 1,4M étrangers en situation irrégulière (les ESI).

Il est vrai que cette population est jeune face au vieillissement de notre population et à notre démographie méthodiquement détruite par la caste ennemie de la France qui s’est emparée par la fraude du pouvoir de notre pays. Pour une très large partie elle met la charia au- dessus de nos Lois et déteste notre pays. Les plus jeunes représentent un important fond humain potentiellement hyper violent, parfois criminel. Il est également vrai que le pouvoir des traitres ouvre de plus en plus largement les ports d’entrée dans notre pays

Cependant, globalement, nous, les Gallo-Romains de civilisation judéo-gréco-chrétienne demeurons encore, dans la France d’aujourd’hui largement majoritaires. Avec toutes les réserves que l’on peut formuler malheureusement, sur la loyauté envers notre nation de nos forces militaires et de maintien de l’ordre, de la justice et d’organes de l’Etat on peut espérer qu’en cas de coup dur, nous arriverons à garder la main. De surcroit on peut être certain que ni les immigrés d’origine européenne, ni ceux d’origine asiatique ou américaine, ni même une petite partie des immigrés maghrébins ou subsahariens ne souhaiteront se joindre à des forces violentes d’insurrection et de destruction.

Trop souvent il est loisible d’entendre que c’est fini et que tout est foutu. Je l’entends de plus en plus souvent. Si on continue comme ça ce sera vrai dans un avenir pas très lointain. Mais ce n’est peut-être pas, aujourd’hui, le moment de lancer sur internet des chiffres affolants infirmés par les statistiques qui contribuent au désespoir de beaucoup de nos compatriotes.

André Posokhow