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Battus par des femmes, la plus grande honte pour des coraniques
De 1948 à 1967, la bande de Gaza fut administrée par l’Égypte qui refusait d’accueillir ses frères arabo-musulmans sur son territoire. Dix-neuf ans de grande pauvreté, de criminalité, de famines et de détresse sanitaire. Avec l’honnêteté intellectuelle qu’on lui connaît, Wikimerdia accuse les Israéliens d’avoir empoisonné les puits avec le germe de la typhoïde.
On ne comprend pas le présent si on ignore le passé
Après la Guerre des Six Jours en 1967, la bande de Gaza, qui avait été investie pendant trois mois lors de la crise de Suez (fin 1956-début 1957), est reprise par Tsahal. Des Israéliens s’y installent, apportant avec eux, l’eau, l’électricité, la voirie, l’assainissement, des emplois, des dispensaires. Et aussi une police efficace.
En 1976, les Frères musulmans chassés d’Égypte, où les plus agités ont été pendus, créent à Gaza une université islamique et diverses institutions coraniques pour la santé et l’éducation. Israël laisse faire. Première erreur.
Les prédicateurs prennent le temps de préparer le terrain et de chauffer les esprits. Le 9 décembre 1987 débute la première Intifada. Des flics et des soldats isolés sont caillassés, des civils en petit nombre molestés. Des bombes artisanales explosent dans les bus et les marchés. Entretenant une insécurité dont les merdias et les organisations internationales vendues aux pétrodollars rendent Israël responsable.
D’une émeute à l’autre, d’un pillage au suivant, d’un assassinat à sa réplique, au bout de sept ans de troubles, de guerre lasse, Israël concède à son pire ennemi de l’époque, l’OLP, la gestion de Gaza. Arafat s’installe à Gaza en mai 1994. Deuxième erreur.
Après une décennie de guérilla urbaine menée par des fanatiques qui jouent les victimes en Occident où ils prétendent vouloir la paix, en 2005 les Israéliens retirent leurs forces armées de Gaza et abandonnent aux barbares les ateliers, les puits, les fermes, les vergers, les potagers. Pensant ainsi favoriser les « modérés ». Troisième erreur.
Pour Netanyahou, on ne fait pas de cadeaux à des forcenés qui ont juré de vous éliminer. Il ne commettra pas la quatrième erreur : traiter avec des terroristes.
Le 25 janvier 2006, le Hamas s’empare du pouvoir lors de simulacres d’élections et Ismaël Haniyeh devient Premier ministre de Gaza. La coopération avec le Fatah est difficile. Elle prendra fin dix-sept mois plus tard en juin 2007, quand le Hamas chasse les sous-chefs de l’Autorité palestinienne. Du moins ceux qui courent assez vite pour échapper aux balles des tueurs et aux lames des égorgeurs.
Haniyeh, qui n’a plus de raisons de finasser, assume le statut du Hamas comme organisation djihadiste. Israël, qui avait gardé le contrôle des frontières, des eaux territoriales et de l’espace aérien, renforce le blocus de l’enclave hostile. Puisque ce chancre sert de camp d’entraînement, de bastion offensif, de bases de repli et de caches d’armes pour les terroristes.
Le 7 octobre 2023, les ennemis passent des escarmouches, des sabotages et des crimes isolés à une opération structurée et préméditée de massacre collectif. Avec la bénédiction de l’URNWA qui sert de paravent aux assassins. Embauchés comme chauffeurs, interprètes, comptables, enseignants, infirmiers, pseudo-journalistes…
L’offensive actuelle, les « Chariots de Gédéon » a pour objectif de reprendre le contrôle de la bande de Gaza. Les positions fortifiées du Hamas seront pilonnées jusqu’à leur complète disparition. Des unités de Tsahal patrouillent dans les ruines pour en éradiquer les derniers terroristes. En invitant les civils à s’éloigner. Alors que la majorité de ceux-ci fêtaient dans une bruyante liesse les assassinats de femmes, d’enfants et de bébés, lors du pogrom de 2023. D’un côté, on voit des gens civilisés. De l’autre, des barbares.
Lazzarini, le patron de l’URNWA, une succursale de l’ONU qui a facilité les massacres, ose s’en prendre aux décisions de Bibi pour garantir la sécurité de son pays.
L’extension des opérations israéliennes devrait permettre d’éradiquer le Hamas et, avec un peu de chance, s’ils sont toujours vivants, de libérer les derniers otages. Mais cela indiffère Philippe Lazzarini. Alors que depuis des années son organisation emploie sans états d’âme des djihadistes, il s’émeut maintenant des milliers de Gazaouis, complices des tueurs au moins pour l’intendance, chassés de leurs maisons.
Avec un vocabulaire moins emphatique que l’Anglo-Pakistanais Karim Ahmed Khan, le Suisse Lazzarini accuse le chef du gouvernement de Jérusalem de « visées dystopiques ». Craignant que Gaza ne soit bientôt une terre où ses protégés ne pourront plus vivre, compte tenu de l’intensification des frappes aériennes et des opérations terrestres.
Pour le haut fonctionnaire international qui ne cache pas ses sympathies pour les islamistes, le projet des forces israéliennes d’appliquer provisoirement la loi martiale jusqu’à ce que la situation décante serait scandaleux. Il reprend mot à mot la dialectique des djihadistes sur la destruction de Gaza et l’assassinat des « Palestiniens ».
Tandis que Lazzarini et ses séides en rajoutaient dans la dénonciation d’un prétendu génocide, le Premier ministre israélien autorisait l’entrée de nourriture et de médicaments à Gaza. À condition que la distribution se fasse sous le contrôle des Israéliens. Étant donné que, jusqu’alors, l’aide ne bénéficiait qu’au Hamas, qui la pillait, en profitait et revendait le reste à la population.
Les bonnes âmes qui annoncent une révision de leurs relations diplomatiques et commerciales avec Israël refusent de voir que les convois d’aide humanitaire servaient aussi à entrer des armes. Les imprécations de la clique politico-médiatique sont réservées à Israël qui n’aurait pas le droit de se défendre.
Avec le concours des USA, la Gaza Humanitarian Foundation (GHF) devrait mettre en place, d’ici fin mai, des centres d’aide.
GHF a annoncé que les civils de Gaza iraient collecter des paquets jusqu’à 20 kg à des points de distribution sécurisés. Le chef de l’UNRWA hurle à la lune comme un coyote enragé parce qu’on l’a évincé et viré son officine de subversion, interdite à Gaza depuis janvier.
De nombreux membres du personnel de l’UNRWA ont été suspendus l’année dernière parce qu’ils avaient participé aux attentats du 7 octobre. Le gouvernement israélien a présenté des preuves selon lesquelles les installations de l’UNRWA à Gaza étaient utilisées par des agents du Hamas pour abriter et stocker des armes et servir de postes de tir. Se croyant protégés par une extension des privilèges diplomatiques.
Bien que les caciques de l’UNRWA se réfugient dans l’ignorance, leur budget a souffert du retrait de donateurs importants comme les États-Unis, qui allongeaient jusqu’à 422 millions de dollars par an à l’agence. Tandis que le Royaume-Uni, la Suisse, l’Allemagne et la France ont réduit leurs contributions au cours des derniers mois, sans toutefois les supprimer.
Le mieux serait de mettre en œuvre le plan pour Gaza de Donald Trump
Le Président étasunien avait proposé que tous les habitants de Gaza soient réinstallés dans des pays voisins, contre des compensations, puis que les États-Unis supervisent le contrôle de l’enclave.
Ainsi les Gazaouis pourraient vivre en paix, heureux au milieu de leurs riches coreligionnaires, délivrés de la tentation quotidienne de nuire à leurs voisins. Ce qui, évidemment, ne saurait convenir aux monarchies, émirats et théocraties qui ne tiennent pas à s’encombre de cette population agressive qui les sert si bien dans leur projet immuable de rejeter à la mer tous les Juifs qu’ils n’auront pas égorgés sur place.
Christian Navis