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Il semble exister un étrange paradoxe entre la victoire de ce PSG, débarrassé de ses stars et servant une vision aboutie du « collectif », et ce déferlement de violences dans les rues de la capitale (mais pas que) où l'Autre n'importe que peu, analyse Natacha Polony, éditorialiste pour « Marianne ».
Peut-on à la fois célébrer et penser ? Est-il permis de s'abandonner avec plaisir à une joie collective et de suspendre, le temps de ce partage, une capacité à analyser et juger qui relève pourtant du devoir, pour quiconque prétend représenter ou incarner, pour quiconque prétend prescrire l’action.
Disons-le tout simplement : la victoire du PSG, samedi soir, était belle. Rien d'autre que belle. Cela n'efface pas tout le reste, tout ce qu'on peut penser de ce club, tout ce qu'on peut penser de ce qu'est devenu le foot et de ce que sont devenus ceux qui célèbrent le foot. Patience. Ça vient à la fin de ces lignes. Mais d'abord la joie. Celle d'avoir assisté à un magnifique spectacle.