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Comment ne pas être ému aux larmes en lisant les mots publiés par la mère du jeune Elias, tué à coups de machette en plein Paris pour un téléphone portable ? Au-delà du chagrin, c’est l’impuissance de l’État, la faillite de la justice, l’aveuglement médiatique et le renoncement collectif à l’autorité qui sont pointés du doigt par Natacha Polony, éditorialiste pour « Marianne ».
Ce dimanche, j'ai pleuré. Des larmes irrépressibles qui montaient du plus profond de mes tripes, de cet endroit où chaque mère sait que se loge cette boule pesante qui ne la quitte plus depuis la naissance de son premier enfant, depuis qu'elle a donné la vie et craint plus que tout au monde que cette vie ne s'arrête. Ce dimanche, une femme que je ne connais pas, Stéphanie, a publié sur le site du Figaro un texte pour parler de son fils, Elias, tué à 14 ans par deux voyous qui voulaient lui voler son téléphone portable. Tué à coups de machette en plein Paris, devant le stade où il jouait au foot. En quelques mots sobres et déchirants, cette femme raconte avoir été appelée par le meilleur ami de son fils, être accourue en dix minutes, et avoir assisté aux derniers instants de son enfant, tentant désespérément de le rassurer, de l'embrasser, de le retenir.