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Libération a donc eu accès au journal intime de Florian, le policier qui, dans l’exercice de ses fonctions, à tiré sur le voyou sans permis Nahel Merzouk, interrompant définitivement une carrière qui promettait du sang et des larmes à nombre de Français. Les bonnes pages du journal de Florian, rédigé pendant les premiers jours qu’il a passé en prison, ont été reprises sur Fdesouche. Voir ci-après.
Merci et bravo à Florian d’avoir si bien analysé les choses et eu le courage de nommer la lâcheté de Macron, pas fichu d’assumer, et de balancer des canons à eau et autres tirs dans les jambes et dans les yeux – une dizaine de Gilets jaunes y ont perdu un œil – contre les émeutiers, chose qu’ils n’avait eu aucun scrupule à faire face à ces cons de Français, bien élevés, n’agissant pas en meute, respectant et les hommes et le bien public, et la vie, eux.
Quel aveu !
Je ne nie pas que la perspective d’émeutes géantes mobilisant une partie des immigrés ou issus de l‘immigration vivant en France soit effrayante (et on sait que Macron n’a jamais touché un fusil de sa vie). Ils sont des millions et quand ils sortent en meute, ils ne mégotent pas, on l’a encore vu récemment à la fête de la musique, mais…
Mais alors ? Qu’attend Macron pour avouer ouvertement à la France entière, à 20 heures, que nous ne sommes plus chez nous, que les politiques immigrationnistes et islamophiles, depuis 50 ans, ont produit leur but, islamiser la société française et l’offrir aux conquérants musulmans sans demander une seule fois leur avis aux Français ?
Un petit référendum, Macron : pour ou contre l’islamisation de la France ? Si c’est non, rétro-pédalage, plus d’immigration de pays musulmans, expulsion des clandestins et autres délinquants musulmans – Bukele les prendra si les pays d’origine n’en veulent pas – fin des aides sociales et autres allocations pour les étrangers, modification bien sûr de nos lois, et bras d’honneur à der Leyen, soutenu par Orban, Meloni, Fico et pas mal d’autres…
Parce que, Macron, figure-toi que la peur n’évite pas le danger… elle l’accroît. Mais sans doute est-ce ce que tu veux, ce que tu as promis à tes maîtres bruxellois et qataris : que la submersion migratoire musulmane soit telle que nous soyons vaincus par la démographie, par les ventres et que nous suivions le Royaume Uni en passe de devenir le 58e pays musulman de la planète. Et nous le 59e.
« Le président de la République E. Macron s’est positionné, il a choisi de me sacrifier et de donner raison aux émeutiers.
Les écrits, manuscrits, tiennent sur une trentaine de feuilles quadrillées d’un carnet. Depuis sa cellule qu’il appelle parfois sa grotte ou sa chambre d’hôtel, le policier Florian M., 40 ans, aujourd’hui poursuivi pour le meurtre de Nahel Merzouk, couche sur le papier les pensées qui le traversent, quelques jours après les faits.
…
L’agent détaille tout d’abord la fin de sa garde à vue et la perspective d’un emprisonnement. « Le major de la brigade de nuit qui est responsable de moi en GAV me propose un café. Ça va bientôt faire quarante-huit heures que je suis en garde à vue », écrit-il. Et il poursuit : « Je me dis que je vais finir en détention provisoire pour calmer ces pauvres jeunes en colère. »
« Comment stopper autrement une personne qui ne voulait pas être interpellée et qui aurait pu blesser gravement ou tuer une tierce personne », interroge-t-il de façon rhétorique. Et il ajoute : « Je suis en détention pour avoir voulu faire mon travail ». Il n’exprime à aucun moment une forme de remords.
«Le président de la République E. Macron s’est positionné, il a choisi de me sacrifier et donner raison aux émeutiers, en qualifiant mon geste d’inexcusable, dit l’agent. J’ai pourtant sacrifié une partie de ces dernières années à protéger ses institutions, lors des mouvements sociaux mais malgré ça ils ont préféré prendre position en faveur d’un jeune délinquant multirécidiviste. »
…
« Un élan de solidarité et de soutien s’est mis en marche, une cagnotte aurait même été mise en ligne et aurait récolté un montant colossal. Je ne m’attendais pas à une telle masse de soutien, je n’en reviens pas !!! »
Christine Tasin
French (CA)