By Michael Baxter - 31 aout 2021

L'animosité a atteint de nouveaux sommets au début de la deuxième journée du tribunal militaire de Bill Gates, avec son avocat, le déshonorant David Baluarte, accusant le corps du juge-avocat général de "faire rouler" son client sur des accusations manifestement fausses. Baluarte a contesté l'affirmation du tribunal selon laquelle Gates avait eu des relations sexuelles avec des hommes et des femmes mineurs, affirmant que de telles allégations étaient impossibles car Gates était impuissant depuis 1999.

"Même si cela était vrai, et nous pouvons prouver que ce n'est pas le cas", a rétorqué le vice-amiral John G. Hannink, "nous avons toujours des preuves irréfutables, y compris le témoignage de son ex-femme, qu'il a fait le trafic d'enfants."

Le vice-amiral Hannink a réprimandé Baluarte et Gates pour avoir fait perdre du temps au tribunal en affirmant que Gates avait contracté Covid-19 alors qu'il était détenu au GITMO; La PCR Covid-19 et les tests d'anticorps ont prouvé que Gates n'avait pas été victime du virus. Gates a également affirmé qu'il n'avait pas reçu de vaccination contre le Covid-19, une affirmation qui s'est avérée correcte par des tests sérologiques. Les événements de la journée, cependant, ne se sont pas concentrés sur les liens de Gates avec l'industrie des vaccins. Au lieu de cela, le Bureau des commissions militaires a continué à porter les accusations de trafic d'enfants.

Steven Sharpe a montré au tribunal plusieurs photographies de lui et de Bill Gates se prélassant au ranch du Wyoming. Une image montrait Gates allongé sur une civière tandis que Sharpe, se profilant au-dessus de sa tête, lui administrait une perfusion intraveineuse dans le bras gauche de Gates. Sharpe a insisté sur le fait que la photo était celle de Gates recevant une perfusion d'adrénochrome. De plus, Sharpe a présenté des images de Gates entourées de ce qui semblait être des femmes mineures.

"Ils étaient tous drogués et n'avaient aucune idée d'où ils se trouvaient ni de ce qu'ils faisaient", a déclaré Sharpe. « Et j'ai fait beaucoup pour lui. Je suis également un spécialiste de la cybersécurité et j'ai aidé son équipe avec un algorithme qui nettoyait la presse négative de Bill sur Internet. Je ne parle pas de la merde de complot; Je parle de vraies photographies et vidéos qui mettent Bill sous un mauvais jour. Dès que quelque chose comme ça arrivait sur Internet, c’était immédiatement supprimé. Bill ne se souciait pas des accusations de vaccin parce que la plupart des États-Unis pensent que ce sont des conneries, même si c'est 100% vrai. Mon travail consistait à préserver son image publique, à tout prix, et j'en ai fait un sacrément excellent travail. C'est pourquoi les photos de lui et d'Epstein ou de lui et de sa maîtresse ne sont même pas apparues sur Internet qu'après que l'armée a pris d'assaut son ranch, trouvé le serveur exécutant l'algorithme et l'a fermé », a déclaré Sharpe.

Sharpe a poursuivi en racontant un incident où un Gates trop agressif, fraîchement sorti d'une infusion d'adrénochrome, a battu et assassiné une fille de 13 ans qu'il avait importée de Thaïlande aux États-Unis. Sharpe a déclaré qu'il avait "purifié" plusieurs événements similaires au cours des années où il avait travaillé sous Gates.

« Et aviez-vous connaissance que Gates a fait le trafic d'enfants ? a demandé le vice-amiral Hannink.

"Je le savais. En fait, j'étais présent à deux reprises lorsque des conteneurs maritimes sont arrivés au port de New York et du New Jersey. Chaque conteneur contenait une douzaine ou plus de garçons et de filles. Il n'y avait aucun manifeste à signer. Bill s'en est assuré. Il a payé beaucoup d'argent pour garder tout cela sous la table et silencieux », a déclaré Sharpe.

De plus, il a produit des talons de paiement pour prouver sa relation avec Gates. Deux portaient la signature de Gates, tandis que les autres portaient un cachet « Microsoft Corporation ». Chacun des dix talons a été payé à Steven Sharpe pour 365 000 $.

Le vice-amiral Hannink a renvoyé le témoin et a rappelé l'ex-femme de Gates, Melinda Anne French, à la barre, également via ZOOM.

« Mademoiselle French, vous étiez au courant de la déposition des derniers témoins. Je n'ai que quelques questions à vous poser. Avez-vous déjà été témoin de Steven Sharpe en présence de l'accusé ? » a demandé le vice-amiral Hannink.

« Je l'ai été», a-t-elle répondu. "Et il a fait pour Bill ce qu'il a dit qu'il a fait", a déclaré Melinda.

« Et vous n'avez aucune raison de mentir à ce tribunal ?

"Ma vie de mensonges est terminée", a déclaré Melinda. "Je suis juste heureuse d'être enfin libérée de ce sociopathe et de ses machinations."

Le vice-amiral Hannink a ensuite suspendu le tribunal jusqu'à mercredi matin, affirmant qu'il commencerait la journée en se concentrant sur la relation intime de Gates avec Big Pharma.

Alors que Gates s'asseyait docilement et calmement - en tenant compte des conseils de son avocat - le vice-amiral Hannink a présenté le premier témoin de l'accusation de la journée, un homme qui s'est identifié comme Steven Sharpe, un "fixateur" autoproclamé à qui Gates avait payé des dizaines de millions de dollars. pour « ranger » les incidents malheureux. Ce Ray Donovan réel a réfuté les allégations d'impuissance de Gates. Apparaissant sur vidéo via ZOOM, il a déclaré au tribunal qu'il avait vu Gates prendre des médicaments contre la dysfonction érectile et des perfusions d'adrénochrome pour contrer la dysfonction érectile.

« Vous avez personnellement vu ça ? » Le vice-amiral Hannink a demandé à Sharpe.

"À plusieurs occasions. Bill n'allait pas chercher ce truc lui-même, et l'une de mes responsabilités, faute d'un meilleur mot, était de le lui procurer. Deux fois, j'ai mis en place l'infusion moi-même. Et je peux dire ceci : s'il était impuissant avant, il ne l'était pas après. Je sais avec certitude que Bill a eu des relations sexuelles avec des garçons et des filles mineurs dans son cachot au ranch du Wyoming », a déclaré Sharpe.

Gates, enchaîné aux poignets, a bondi de son siège et a crié: «Je n'ai jamais vu cet homme de toute ma vie. C'est une erreur judiciaire."

"Contrôlez votre client, M. Baluarte", a déclaré le vice-amiral Hannink