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CHRONIQUE - L’affiche de l’inter-LGBT pour la Marche des fiertés, où l’on trouve une femme voilée, une référence à la cause palestinienne et un homme blanc lynché, témoigne une nouvelle fois de la confusion mentale dans laquelle sont plongés les activistes de gauche les plus engagés.
La polémique entourant l’affiche de l’inter-LGBT dans le cadre de la Marche des fiertés du 28 juin condense à bien des égards toutes les folies de l’époque. Le slogan de la manifestation est déjà très marqué : « Queers de tous les pays, unissons-nous ». Il ne s’agit donc plus de réclamer la pleine considération juridique et sociale des homosexuels dans nos pays, elle est totalement acquise, ou ailleurs dans le monde, ce qui mériterait effectivement une mobilisation. On parle plutôt du queer. C’est-à-dire qu’on bascule de l’orientation sexuelle à l’« identité de genre », dans son expression théorique la plus radicale.
Le queer, version radicalisée du non-binaire, est celui qui se réclame de la fluidité identitaire la plus explicite, ne s’identifiant ni comme homme ni comme femme, parce qu’il entend se dérober à toutes les catégories sociales et biologiques. Figure de l’indéterminé, il représente, pour cette mouvance, l’indétermination absolue, donc la liberté absolue. Ce qui…