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Pourquoi 150 000 Juifs se sentent-ils en danger en France ? Sont-ils entre l’enclume et le marteau ?…
Il y a 75 ans, le père du philosophe Alain Finkielkraut, d’origine polonaise et rescapé de la Shoah disait à son fils qu’il avait choisi de se réfugier en France pour être « heureux comme un Juif en France ». 75 ans plus tard, le monde a réellement changé. La submersion migratoire a eu raison du vivre-ensemble, et le bonheur de vivre en France a disparu pour les Juifs et certains autochtones. Pour cette raison, beaucoup de Juifs ne sentent plus en sécurité en France. Deux auteurs ont compris leur désarroi, et pensent même qu’ils vont disparaître, en termes de population recensée.
Je rappelais précédemment le titre de leur livre : La Fin des Juifs en France (Ed. Le Cherche Midi).
Je mentionnais le nouveau livre coécrit par Dov Maïmon, par ailleurs chercheur au Jewish People Policy Institut à Jérusalem et docteur en islamologie, mais aussi Conseiller du gouvernement israélien sur les relations avec le monde musulman, et Didier Long, ancien moine bénédictin, consultant écrivain et théologien français, auteur de plusieurs ouvrages en lien avec le judaïsme et le christianisme. Ces deux pointures intellectuelles se sont réunies dans ce livre, dans lequel, chacune dans son domaine d’excellence respective, apporte sa compétence et expérience.
Pour eux, les Juifs sont en plein désarroi. La solitude, la tristesse les gagne, ils vont mal. Ils disent en avoir assez des actes d’agressions physiques et de vandalismes ciblés sur les symboles représentatifs de leur identité, de leur communauté. Marre d’être méprisés, discriminés sur la scène diplomatique. Marre du harcèlement, des insultes, de l’indifférence. Marre des assassinats et viols de Juives.
Dans ces territoires perdus de la République, l’État a reculé, pour se retirer ensuite sur la pointe des pieds, contrairement aux Frères musulmans qui eux ont avancé. L’État aura fait preuve de lâcheté et de perfidie. De par son indifférence en mettant les communautés dos à dos, puis ensuite par son irresponsabilité dans le tumulte d’un face-à-face entre elles, sachant pertinemment qu’elles sont en conflit depuis Mathusalem. La nature ayant horreur du vide, devinez qui va occuper ce vide ?
Didier Long est un ancien moine bénédictin, converti au Judaïsme. Oui ça arrive quelque fois.
À la suite du Concile Vatican II, Didier Long était, avec d’autres frères, passionné par le Judaïsme, par la tradition juive, par la civilisation judaïque, par l’étude de la liturgie juive, ce qui lui a valu d’écrire de nombreux ouvrages sur le Jésus juif. De fil en aiguille dans sa vie, il retrouva ses origines juives depuis la famille de sa mère marrane en Corse. En 2010, il rencontra un rabbin exceptionnel, âgé de 80 ans et né dans le Mellah de Marrakech, le rabbin Haïm Harboun.
Il était docteur en histoire et en psychologie clinique. C’est suite aux enseignements de cet homme d’exception qu’il a voulu devenir Juif. Un Juif de Corse, comme sa mère. Préfacé par le Grand rabbin de France Haïm Korsia, le livre reflète leurs convictions communes, religieuses et juives. Mais, Dov et Didier préfèrent se présenter comme des chercheurs spécialistes de sociologie et de dialogue interreligieux. Les chiffres et les faits sur lesquels ils s’appuient brillamment sont la colonne vertébrale de leur témoignage pour avertir les Juifs en France du danger imminent qui les guette. Humanistes, ils pensent que les musulmans seraient eux-mêmes les premières victimes de l’islam politique radical dans le monde, mais personnellement je n’en suis pas convaincu, car ils n’évoquent pas ou peu les chrétiens d’Orient, dont je me sens proche.
Nourris de statistiques, issues des services de renseignements israéliens et français, et de plus de 200 entretiens avec des personnes de partout en France, les auteurs dressent un constat alarmant, implacable et tragique sur la situation de 150.000/440.00 français-juifs, en France, principalement à la périphérie des grandes métropoles françaises : Sarcelles, Toulouse, Nice, Villeurbanne et Marseille.
Le terme de leur enquête conclut à la disparition en termes de recensement complet des Juifs en France en 2050. C’est presque demain ! Mais si le titre du livre est brutal, il rappelle aussi l’ouvrage de Raul Hilberg sur la Shoah et la destruction des Juifs d’Europe, mais leur constat, issu d’un rapport de terrain, est incontournable, sans appel. Ce n’est pas un plaidoyer, c’est un pavé dans la mare.
La situation est catastrophique partout en France, disent ces intellectuels, pourtant habitués à des analyses nuancées. Ce livre est un choc. Il est issu de la compilation de centaines de rapports alarmants. Il dénonce un antisémitisme en France qui s’accélère et dont les agressions se multiplient avec un coefficient de x10 depuis le 7 octobre 23. Un antisémitisme poussé par l’expansion vertigineuse de l’islam politique autrement dit islamisme, partout dans le monde et qui fatalement va fracturer, fragmenter la société française, si ce n’est déjà fait.
Ces agressions antisémites visent une population vingt fois moins nombreuse, minoritaire, isolée et majoritairement âgée, sans défense. Ce nouvel antisémitisme reprend à son actif et manipule, dans une concurrence victimaire, le vocabulaire récupéré lors des persécutions des Juifs dans leur passé. Un vocabulaire culpabilisant, blessant est alors utilisé et retourné pour nourrir la propagande antisioniste-antisémite et islamo-nazie : sioniste, peuple génocidaire, tueurs d’enfants… Les intellectuels juifs n’ont pas encore pris conscience que leur belle prose est inversée pour les accabler.
Les Juifs sont devenus les boucs émissaires obsessionnels des échecs et malheurs de leurs ennemis héréditaires. Les musulmans représentent actuellement 10 % de la population française, alors que les Juifs en France représentent 0,6 %. Mais, avec l’expansion démographique, issue de la submersion migratoire en 2050, la France comptera 25 % de musulmans. Ce quart de la population française représentera 18 à 20 millions de musulmans en France en 2050. Or, dans les pays occidentaux, où vivent 25 % de musulmans, qui pratiquent un islam sécessionniste, rigoriste, radical et politique, il ne restera aucun Juif ! Ces pays seront appelés Judenrhein, sans Juifs. Et, avec 25 % d’électeurs désignés et 60 % d’abstentions, un président musulman peut facilement se faire élire en 2050 ou même avant. Souvenez-vous du livre de Michel Houellebecq : « SOUMISSION ». Ed. Flammarion.
En France, déjà 7 millions de gens mangent halal et se déclarent musulmans. Puis selon un sondage IFOP, 3 millions de personnes déclarent avoir de la sympathie pour les Frères musulmans, sûrement aussi le Hamas, et sont favorables à une contre-société sur le territoire national.
Ce que l’on feint d’ignorer, c’est que ces personnes favorables à une contre-société demain en France sont majoritairement mobilisés, focalisés pour Gaza, disons en solidarité avec la foi musulmane. Les Gazaouis et le Hamas font partie intégrante de leur Oumma. Les marches dans les rues de Paris et les drapeaux palestiniens qu’ils déploient dans nos stades et dans nos rues depuis les années 2000 sont la preuve de leur solidarité vénielle avec le Hamas, avec le terrorisme palestinien, avec les familles palestiniennes qui éduquent leurs enfants au djihad, à la haine depuis la naissance.
La Fin possible du Hamas à Gaza s’accompagnera fatalement d’une Intifada en France et dans le monde.
Un jour, le Hamas défait à Gaza choisira certainement de mourir à l’image les héros juifs du ghetto de Varsovie, les armes à la main. Cette situation à l’identique se produira inéluctablement Pensez-vous que les millions de soutiens du Hamas, dans le monde, accepteront la capitulation du Hamas ?
La haine est tellement ancrée depuis Abraham, que JAMAIS aucun accord de paix ni de reconnaissance de l’existence de l’État d’Israël ne sera accepté, ni reconnu.
Dans ces conditions, il n’y aura plus aucun doute, il faudra s’attendre à ce que la défaite et la fin du Hamas à Gaza et en Cisjordanie soit concomitante au déclenchement d’une Intifada sans précédent en France, pire qu’en 2005. L’armée, la police, les autorités devront s’y préparer. La situation semble déjà irréversible, et préparée comme décrite plus loin.
En outre, toute ces personnes favorables à une contre-société demain interrogées vivent au milieu de 150.000 Juifs. Unanimement, elles ont manifesté la nécessité de les chasser au plus vite avant qu’ils ne le fassent plus violemment eux-mêmes. L’avertissement est on ne peut plus clair. Sinon attendons-nous à assister à un autre 7 octobre, corrélé par un islam qui se radicalise avec des centaines de milliers de Juifs au milieu de tout cela. Voilà les conditions idéales d’un cocktail explosif, et antisémite. L’analyse de Dov Maïmon et Didier Long deviendra prédictive. Peu de monde y croit.
N’oublions jamais que 100 000 musulmans sont morts pour la France et la plupart d’entre eux sont très respectueux de la France et de ses valeurs, en particulier le peuple berbère Amazigh. Didier et Dov se disent lanceurs d’alerte. Ils sont convaincus que 150.000 Juifs en France sont menacés de mort, et dans le souci de les protéger, ils leur conseillent de partir.
Dans n’importe quel pays du monde, disait Alfred Sauvy (sic) : « C’est la démographie qui pilote ».
Depuis l’an 2000, soit depuis 25 ans, 60 à 100 000 Juifs ont déjà quitté la France pour faire leur Alya à cause de l’antisémitisme. Certains d’entre eux, venus en France, fuyaient déjà les pays arabes hostiles aux Juifs : Algérie, Tunisie, Maroc.
Lire en Livre de poche « Les Juifs en pays arabes. Le grand déracinement ». Georges Bensoussan.
Un antisémitisme qui n’a fait que proliférer en France, avec les assassinats d’Ilan Halimi, des trois enfants Sandler, de leur père à Toulouse, de quatre français Juifs à l’Hyper Casher de Vincennes, de Sarah Halimi, de Mireille Knoll, etc. parce que le dénominateur commun de tous ces crimes étaient leur Judaïté, haïe par leurs assassins, en dehors des bouffées délirantes de ces criminels.
L’antisémitisme est devenu l’argument électoral d’un parti honni, infréquentable, qui espère se faire élire ou trouver dans les urnes les 400.000 voix qu’il manquait pour gouverner au stratège d’une France métissée auprès des électeurs des banlieues islamisées. La fraternité républicaine s’étant disloquée en multiples partis, elle a fini par dissoudre ses propres représentants républicains. Ce qui a incité beaucoup de Français juifs à refuser de finir leur vie dans ce pays pour des raisons d’insécurité.
Leurs dirigeants avaient dit aux Français juifs qu’en dehors des Ors de la République, ils n’auraient point de salut. Or, depuis le 7 octobre, visiblement la République a abandonné cette communauté juive qui l’aura porté et plébiscité au pouvoir pour être protégée. La voilà trahie, trompée, abusée, cocufiée, et tous ses espoirs disparus. Pas étonnant alors, d’assister à leur retournement politique notable. Le choix de migrer vers un vrai parti de droite, comme celui de Reconquête, s’est fait et se fera sans aucune hésitation, quand d’autres ont fait leur Alya pour migrer en Israël.
Quant aux jeunes de nos banlieues, entre le narcotrafic, l’islam politique véhiculé par de pseudo-imams ou des associations chaleureuses d’entraide dissimulant le frérisme, quels choix feront-ils ?
Deux exemples rapides
À Sarcelles, vivaient 12 000 juifs. Beaucoup ont fui cette ville du Val-d’Oise depuis deux décennies, les uns pour Créteil, les autres pour Levallois, selon leurs moyens financiers. À travers le Millî GöRü, une Confédération islamique d’obédience turque, la présence des Frères musulmans à Sarcelles est très importante.
Cette Confédération, très influente en Allemagne, fédère tous les courants musulmans de la ville. Vu leur nombre et leur influence, le maire actuel a même été élu par eux. Puis, fraîchement élu, il leur a cédé un terrain pour construire un Centre culturel, cultuel à vrai dire, en face du collège. Ce permis de construire avait bien été interdit par la préfecture, et par l’ancien maire, qu’ils ont fait battre électoralement pour acquérir ce terrain. Loi du nombre, les urnes, le jeu électoral en démocratie !
Les responsables du Millî GöRü, avancent en costume cravate, offrent des fleurs sur les marchés, mais derrière cette apparence tactique se cache un programme tactique. L’islam politique portée par Necmettin Erbakan, son fondateur appelle au rejet radical des valeurs laïques et occidentales françaises ; à une islamisation de la société mêlée d’un antisionisme et d’un antisémitisme : ancré, radical, inflexible, impitoyable. Les Frères musulmans ciblent clairement l’État français, dans lequel les Juifs en France sont gênants, dans leur ligne de mire, et sans défense. Mais, après le samedi, vient le dimanche disait Éric Zemmour. Je ne vous apprends rien !
Didier Long raconte qu’il cherchait dans les années 1985 à établir un dialogue interreligieux avec des moines tibétains bouddhistes à cause de leurs fondations en Asie. C’est, dit-il, par le vecteur ou le véhicule de ce dialogue interreligieux, utilisé dans les années 1990, que les Frères musulmans, se sont infiltrés dans la brèche ouverte sur les terres de François Mitterrand, et à son initiative. Didier Long, alors moine en l’abbaye de la Pierre-qui-Vire, a été sollicité par Mitterrand pour recevoir des représentants de l’Institut européen des Sciences Humaines (IESH) près de Château-Chinon.
J’ai vu hier matin une vidéo sur le site de RL, qui corrobore mes explications sur cet Institut sous @frontèresmedia. L’IESH est bien l’Institut européen des Sciences islamiques. Pour Salem Benammar, l’islamisme est une négation de l’État de droit et de l’État nation. Il proclame la suprématie de la foi sur le droit.
https://ripostelaique.com/la-barbarie-de-lislam-est-de-retour-et-le-monde-fait-le-mort.html
Tous ces imans et fidèles, dit-il, étaient dans la mouvance des Frères musulmans. Ils étaient algériens et arrivaient avec des filles de Lyon, voilées et converties. Elles disaient que nous étions des « kouffards, des mécréants, des incroyants ». Pour former les imans, ils bénéficiaient de capitaux étrangers algériens au début, puis du Qatar ensuite. Il y a donc 35 ans déjà que l’islam politique s’est infiltré et installé en France. Ce problème d’entrisme n’est pas seulement posé aux Juifs mais pour toutes les démocraties et en particulier la France. Philippe de Villiers, visionnaire, annonce que le prochain président sera un « président martyr ».
Alors ce qui doit vraiment nous interpeller, c’est que cet islam politique est interdit dans de nombreux pays arabes sauf en France. Cet islam s’est enrichi avec l’argent de nos milliards de pleins d’essence dans le monde depuis plus d’un demi-siècle. Cet argent du Qatar et du frérisme aura, en réalité, financé des milliers de kilomètres de tunnels à Gaza ; la haine des Juifs dans les manuels scolaires, l’achat de millions d’armes pour effacer Israël de la carte, et aura manipulé tous les esprits candides, humanistes, sensibles à l’humanitaire et à la défense de peuples opprimés.
Explications. L’argent des musulmans du Qatar (mais aussi l’argent de votre plein d’essence), de l’islamisme halal depuis la naissance d’Israël ont permis de financer et d’orchestrer la propagande et le sacrifice humain des Palestiniens de Gaza. D’après vous, pourquoi Gaza et son peuple mythique palestinien ont-ils été considérés comme une entité sacrée ? Car, en réalité, le peuple gazaoui est une réserve potentielle de futurs sacrifiés humains pour la gloire du Hamas. Une réserve orchestrée, financée, programmée par des esprits pervers, malfaisants, psychopathes et inhumains, auxquels s’ajoutent des milliers d’antisémites antisionistes dans le monde. Mais, leur stratagème est éventé.
Le Peuple dit palestinien sert de sacrifice au Hamas comme le fit le peuple Inca.
En sacrifiant les Gazaouis en les formant dès l’enfance à devenir des Shahid (martyrs), en s’en servant comme boucliers humains, en fabriquant théâtralement des enfants innocents à mourir sous les bombes israéliennes, ils cherchent à organiser médiatiquement la culpabilité des Juifs et œuvrent pour fabriquer leur propre Shoah, dont les victimes seraient, bien sûr, les Palestiniens… et les Israéliens leurs bourreaux. Tout est dit.
Le gouvernement israélien a failli tomber dans leur piège, d’où sa guerre intelligente. Des traîtres gauchistes, à tous les niveaux de l’État, y compris par Ronen Bar, ex-dirigeant du Shin Bet devenu Chabback pour faire oublier toutes les trahisons d’État dont il est responsable s’est beaucoup investi, sans succès, pour détruire l’image d’Israël et abattre en vain le Premier ministre.
Pendant ce temps en France le frérisme grignote du terrain, achète tout : les stades, les hôtels, les restos, les équipes de foot, les autoroutes, les boucheries halal, les écoles coraniques, la politique des villes, s’octroie des terrains, construit des mosquées qui deviennent ensuite des terres d’islam conquises à jamais aux kouffards.
L’islam s’intègre aussi dans la République en prenant en charge des jeunes désœuvrés. L’islam en costume cravate ouvre des clubs de sports, de boxe ou de foot, fait de la prévention, du soutien scolaire, et surtout des conversions. Occupe tout l’espace possible et imaginable, et investit justement là où il peut avancer avec succès, avec des moyens financiers inépuisables, mais surtout là où l’État a reculé.
Dans ce cadre-là, les Juifs sont comme le canari dans la mine, quand il cesse de chanter, c’est que le danger d’explosion est imminent.
Patrick Granville