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Macron, Starmer et Carney ont récemment publié un communiqué anti-israélien absolument odieux.

Ils ne sont pas les seuls chefs d’État ou de gouvernement à vouloir sauver le Hamas. Leurs positions sont, hélas, assez largement partagées dans le monde occidental, mais ils ont choisi de se mettre en avant, de manière hypocrite et ignoble.

Non seulement ils ont dit s’opposer aux opérations israéliennes à Gaza, et vouloir que l’aide humanitaire à Gaza soit de retour (elle l’est), mais ils voudraient que ce soient les Nations Unies qui gèrent la distribution de l’aide, donc l’UNWRA, dont les employés sont presque tous membres du Hamas. Et ils disent être opposés à tout déplacement de la population de Gaza, ce qui signifie qu’ils veulent que les Arabes de Gaza continuent à vivre dans les décombres et à servir de boucliers humains au Hamas, et qu’ils veulent aussi que les Arabes de Gaza restent enfermés sur le territoire de la bande de Gaza.

Et ils menacent le gouvernement israélien !

Ils ne menacent pas le Hamas, bien sûr.

Ils profitent de l’opportunité pour dire leur hostilité à l’existence de villes et de villages juifs en Judée-Samarie, car cela mettrait en cause leur volonté de voir se créer un État palestinien sans présence juive, donc ethniquement pur (judenrein, comme disait Adolf, l’auteur préféré des dirigeants palestiniens), et ils montrent qu’ils sont en faveur de l’épuration ethnique quand ceux qu’il s’agit d’éliminer sont juifs.

Ils remettent en avant la « solution à deux États » et font comme s’ils ne savaient pas ce qu’ils savent pourtant parfaitement, à savoir que ni le Hamas ni l’Autorité Palestinienne ne veulent d’un État vivant en paix à côté d’Israël, et veulent explicitement l’annihilation d’Israël et qu’il n’y a donc pas de solution à deux États, sauf aux yeux de ceux qui veulent l’annihilation d’Israël. De fait, un État palestinien serait un État terroriste voué à l’annihilation d’Israël. Qui peut souhaiter la création d’un tel État ?

Ils apportent leur soutien au plan égyptien de reconstruction de Gaza qui ne se concrétisera jamais (il est impossible de reconstruire Gaza avec deux millions de personnes et des terroristes à l’intérieur), et se montrent ainsi hostiles au plan israélo-américain de reconstruction de Gaza qui, lui, peut se concrétiser et permettre de rendre Gaza pacifique et prospère.

Ils profitent de l’opportunité pour dire leur hostilité à l’existence de villes et de villages juifs en Judée-Samarie, car cela mettrait en cause leur volonté de voir se créer un État palestinien sans présence juive, donc ethniquement pur (judenrein, comme disait Adolf, l’auteur préféré des dirigeants palestiniens), et ils montrent qu’ils sont en faveur de l’épuration ethnique quand ceux qu’il s’agit d’éliminer sont juifs.

Ils remettent en avant la « solution à deux États » et font comme s’ils ne savaient pas ce qu’ils savent pourtant parfaitement, à savoir que ni le Hamas ni l’Autorité Palestinienne ne veulent d’un État vivant en paix à côté d’Israël, et veulent explicitement l’annihilation d’Israël et qu’il n’y a donc pas de « solution à deux États », sauf aux yeux de ceux qui veulent l’annihilation d’Israël. De fait, un « État palestinien » serait un État terroriste voué à l’annihilation d’Israël. Qui peut souhaiter la création d’un tel État ?

Ils apportent leur soutien au plan égyptien de reconstruction de Gaza qui ne se concrétisera jamais (il est impossible de reconstruire Gaza avec deux millions de personnes et des terroristes à l’intérieur), et se montrent ainsi hostiles au plan israélo-américain de reconstruction de Gaza qui, lui, peut se concrétiser et permettre de rendre Gaza pacifique et prospère.

Ils évoquent leur soutien à la conférence que Macron va organiser aux Nations Unies très bientôt, et par laquelle Macron veut imposer la création d’un État terroriste « palestinien » sans frontières et institutions définies, malgré l’opposition d’Israël. (Il se dit que Macron ne veut pas vraiment cela, mais l’objectif de la conférence tel qu’il est défini est celui-là.)

Macron a obtenu l’accord de l’Arabie Saoudite qui co-présidera le sinistre événement, et il est clair que Macron, en attirant l’Arabie Saoudite du côté de ses maléfiques projets (qui n’aboutiront pas, mais seront un festival d’anti-israélisme), veut saboter la possibilité que les accords d’Abraham s’élargissent et s’approfondissent.

Et Macron a osé parler de « devoir moral » ! Ce vil personnage est une horreur et un criminel.

L’hostilité active de Macron à Israël est ignoble et répugnante, et elle va de pair avec une hostilité résolue à Trump qui non, n’a jamais renoncé à l’élargissement et a l’approfondissement des accords d’Abraham. Et en voulant un État terroriste « palestinien », Macron montre qu’il veut qu’Israël reste confronté au terrorisme, aux assassinats de Juifs, aux attentats suicides et à la haine.

Dans leur communiqué, Macron, Starmer et Carney osent mentir en disant que les Etats-Unis, le Qatar et l’Égypte veulent un cessez le feu immédiat à Gaza. C’est inexact pour ce qui concerne Trump, qui n’exige pas de cessez-le feu. Steve Witkoff, le négociateur mandaté par Trump tente de négocier des libérations d’otages en échange de cessez-le-feu, mais n’est pas chargé d’exiger quoi que ce soit d’Israël !

Cette inexactitude perverse s’inscrit dans un contexte où il est question, dans la presse désinformatrice française (quasiment toute la presse française), de « dissensions » entre Trump et Netanyahou. Je l’ai écrit, il n’y a aucune dissension entre Trump et Netanyahou, et tout juste quelques désaccords qui ne portent pas sur Gaza, mais sur l’Iran, et qui ne changent rien aux objectifs qu’ils ont en commun. Et ce n’est pas un hasard si Netanyahou a été le premier chef de gouvernement à être reçu à la Maison Blanche par Donald Trump, dès le début de son second mandat.

Trump veut un Proche-Orient au sein duquel le terrorisme islamique sera vaincu, au sein duquel le régime iranien des mollahs, principal financier du terrorisme islamique, sera vaincu lui aussi, au sein duquel la question « palestinienne » sera poussée vers les marges, et au sein duquel Israël pourra vivre en paix en ayant des relations diplomatiques économiques, politiques et financières avec tous ses voisins.

Netanyahou a le même objectif. Il agit. Il est diffamé, sali, haï dans l’ensemble du monde occidental par les pseudo-bien-pensants.

Netanyahou mène une opération de destruction du Hamas à Gaza, et il veut aller jusqu’à la destruction totale du Hamas. Il a raison.

Si les opérations israéliennes ne devaient pas aller jusqu’au bout, le Hamas survivrait, continuerait à former des terroristes, à inciter à la haine antisémite et à préparer des massacres de Juifs.

Il faut être abject et monstrueux pour vouloir la survie d’une organisation qui a fait perpétrer le massacre du 7 octobre 2023 et qui veut la destruction génocidaire d’Israël.

Et il serait temps d’accuser tous ceux qui soutiennent le Hamas dans le monde occidental de complicité d’objectifs génocidaires anti-juifs, voire de complicité de meurtre avec préméditation : la crapule gauchiste qui a assassiné Yaron Lischinsky et Sarah Milgrim à Washington, DC, le 21 mai dernier ne serait pas passé à l’acte sans le climat anti-israélien et pro-Hamas qui règne dans le monde occidental.

Sont tout particulièrement coupables ceux qui accusent Israël de perpétrer un génocide à Gaza : Israël tire sur les terroristes du Hamas et fait tout son possible pour éviter les victimes civiles et veut faire le plus faible nombre possible de victimes civiles, le Hamas, lui, massacre des Juifs parce qu’ils sont juifs et voudrait en massacrer davantage. Il n’y a aucun génocide à Gaza. Le massacre du 7 octobre, lui, était porteur d’objectifs génocidaires.

C’est précisément parce qu’Israël veut faire le plus faible nombre possible de victimes civiles malgré le recours du Hamas aux civils en tant que boucliers humains, que les opérations israéliennes prennent du temps.

Sont tout particulièrement coupables ceux qui parlent de famine à Gaza. Il n’y a jamais eu de famine à Gaza. Il y a, par contre, eu de la captation de nourriture par le Hamas, et il y a la propagande du Hamas qui parle de famine et la propagande des complices du Hamas qui parlent eux aussi de famine. Vouloir, comme Macron, Starmer et Carney, que la distribution de l’aide, soit faite par l’UNWRA est vouloir que l’aide alimentaire profite au Hamas. La distribution d’aide a repris et est faite par une organisation américano-israélienne : le crétin antisémite pro-Hamas Jean-Noël Barrot a dit que cette organisation était partiale et que la France la reprouvait. Le Hamas la reprouve, et le crétin antisémite pro-Hamas Jean-Noël Barrot se fait porte-voix du Hamas.

Sont tout particulièrement coupables aussi ceux qui, comme Macron, Starmer et Carney, prétendent s’apitoyer sur le malheur des civils de Gaza tout en voulant que la frontière entre Gaza et l’Égypte reste hermétiquement fermée.

Partout où il y a une guerre, les populations civiles sont évacuées et ont le droit de quitter le territoire de guerre, strictement partout où il y a une guerre, sauf à Gaza.

Ceux qui prétendent s’apitoyer sur le malheur des civils de Gaza sont d’ignobles hypocrites.

Ils cesseraient d’être hypocrites s’ils exigeaient de l’Égypte qu’elle ouvre sa frontière avec Gaza et s’ils demandaient que soit organisé le départ de Gaza, territoire de guerre, de tous les civils qui veulent sortir de Gaza. Plus de la moitié des civils de Gaza voudraient sortir de Gaza, c’est établi par plusieurs enquêtes.

Les Syriens qui ont voulu quitter la Syrie pendant la guerre civile l’ont pu, et des millions de Syriens sont en situation de réfugiés au Liban, en Turquie, en Jordanie et pour certains en Europe.

Les Arabes de Gaza sont traités par ceux qui prétendent s’apitoyer sur leur malheur comme des animaux sacrificiels qu’il faut condamner à vivre dans les décombres et à servir de boucliers humains au Hamas. Ceux qui prétendent s’apitoyer sur leur malheur veulent en réalité le malheur des Arabes de Gaza et veulent pouvoir photographier leurs cadavres.

Binyamin Netanyahou montre ce qu’est un homme d’État digne de ce nom. Il veut la paix pour Israël, et la paix pour Israël passe par l’élimination totale du Hamas. Il veut la reconstruction de Gaza, et celle-ci passe par l’élimination du Hamas et par la possibilité que les Arabes de Gaza ne soient pas condamnés à vivre dans les décombres. Il veut protéger son pays. C’est son rôle. Il ne veut pas que Gaza soit géré par l’Autorité Palestinienne, car l’Autorité Palestinienne est elle aussi une organisation terroriste. C’est son rôle aussi de veiller à ce que l’Autorité Palestinienne ne gère pas Gaza sans quoi le Hamas serait de retour en prenant de l’intérieur l’Autorité Palestinienne.

Ceux qui le diffament, le salissent, le haïssent, incitent à la haine contre lui et contre Israël, et qui sont dirigeants politiques sont les héritiers mentaux de ceux qui collaboraient avec ceux qui perpétraient la Shoah entre 1940 et 1945.

Ceux qui le diffament, le salissent, le haïssent, incitent à la haine contre lui et contre Israël et qui sont commentateurs sont les héritiers mentaux de ceux qui écrivaient dans la presse collaborationniste en Europe entre 1940 et 1945.

Les paroles des uns et des autres pourraient ne conduiront pas à une seconde Shoah parce qu’Israël est fort.

Qu’il y ait en Israël des politiciens de gauche pour tenir des propos abjects (Yaïr Golan a été le pire ces derniers jours) est consternant, mais pas surprenant : ils sont de gauche.

Qu’il y ait dans le monde occidental des Juifs de gauche (Delphine Horvilleur, Anne Sinclair, Bernard-Henri Lévy, Marc Knobel, Alain Finkielkraut) pour cracher sur Netanyahou et pour prétendent être les dignes représentants de l’éthique juive est consternant aussi, mais pas surprenant non plus : ils sont de gauche eux aussi.

La gauche, toujours et partout, est du côté des criminels, des crapules, des assassins, des terroristes. Les gens de gauche diront que c’est inexact, je sais. Les résultats de leurs décisions sont effroyablement visibles partout sur terre.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.