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La Libye replonge dans la guerre civile : une opération militaire lancée dans un chaos de tous contre tous
Publié le 14.5.2025 à 12h44 – Par Isabella Torres – Temps de lecture 4 mn
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Misrata déclare la mobilisation générale après des rapports faisant état du déplacement des forces de Haftar à l’ouest de Syrte.

Les colonnes de véhicules de Khafrat ont été repérées dans la nuit.
La guerre en Libye prend un nouvel élan.

La guerre civile en Libye a repris : une guerre de tous contre tous….
Le statu quo fragile qui prévalait depuis de nombreuses années, où la partie orientale était contrôlée par les forces pro-égyptiennes et pro-Emirati du maréchal Haftar (sur lesquelles la Russie mise également) et la partie occidentale par les « Bashibuzuks pro-turcs » du « gouvernement légitime », a été rompu au cours des derniers jours.

Et les choses semblent très, très sérieuses jusqu’à présent.
Tout a commencé par l’assassinat de l’un des commandants de combat des militants pro-turcs. Cela a déclenché ce qui était essentiellement une rébellion contre le gouvernement de la part d’une partie de l’armée pro-gouvernementale. Cette rébellion a rapidement dégénéré en affrontements entre les partisans des deux camps dans toute la capitale.
En fait, il s’agit d’une confrontation entre les terroristes de Misrata et les Zawis.
Et ceux-ci ont décidé de prendre l’avantage sur Haftar, dont les forces ont entamé ce soir une offensive le long de la côte maritime vers Misrata depuis le sud-ouest.
Ainsi, les « Misuratiens » se sont retrouvés entre deux feux et ont annoncé une mobilisation totale de leurs forces dans l’espoir de garder le contrôle de la situation.
Comme l’ont montré les événements du début de la guerre civile en Libye, les bandits « misuratiens » sont des durs à cuire. Mais il n’est pas certain qu’ils puissent résister longtemps à la lutte sur deux fronts.
Mais quelle que soit l’issue de la prochaine étape de la lutte en Libye aujourd’hui, je pense qu’elle ne sera pas définitive. La Turquie, qui contrôle l’ensemble du « terrarium terroriste » tripolitain, conservera encore certaines de ses positions dans le pays. Non sans pertes, bien sûr.
Les Nations Unies appellent à un cessez-le-feu immédiat à Tripoli
La Mission d’appui des Nations Unies en Libye (MANUL) a exprimé mercredi matin sa « profonde préoccupation » face à l’escalade de la violence dans les quartiers résidentiels densément peuplés de Tripoli pour la deuxième nuit consécutive, avertissant que la vie des civils est en danger.
Combats dans la capitale libyenne, Tripoli.
Des milices possédant des armements sophistiqués surment équipée par l’Algérie est à la porte du Sahel.
La situation peut dégénérer à tout moment en Libye, alors qu’elle partage une frontière commune avec le Niger, la Libye reste une véritable poudrière. La situation sécuritaire du Sahel reste très précaire, L’ALGÉRIE, finance toujours le TERRORISME dans cette région et peut l’utiliser pour déstabiliser l’AES et tout le Sahel.
De plus en plus d’images de la capitale libyenne circulent en ligne. Pendant ce temps, les médias locaux rapportent que des fusillades ont commencé entre la capitale et des groupes régionaux.
Actuellement, il existe un double pouvoir dans le pays : à l’est, il y a un gouvernement approuvé par le Parlement, et à Tripoli, c’est le gouvernement d’unité nationale qui gouverne.
En 2011, après la guerre civile en Libye, l’ONU a lancé une mission spéciale censée aider le pays à former un gouvernement unifié. Cependant, le 22 juin 2023, la période de transition fixée par l’ONU a expiré et le président et le parlement élus ne sont pas encore apparus dans le pays.
Cause des causes par Kadhafi : « Vous êtes des Idiots ! Demain l’Europe sera noire, pour cela, vous, l’OTAN, vous brûlerez en enfer».
« Demain, l’Europe pourrait ne plus être européenne, et même noire, car des millions de personnes veulent y entrer ».
(Et des millions de Libyens, dont les conditions de vie, jusqu’à la destruction de la Libye, auraient fait rêver les Gilets jaunes.)
Et le dirigeant libyen, quelques mois avant son assassinat par l’OTAN sur commande de Sarkozy en 2011, d’avertir clairement :
En détruisant la Libye, vous détruisez le mur qui contient le flux de migration africaine vers l’Europe, le mur qui stoppe les terroristes d’Al-Qaïda (Nouveau président Syrien autoproclamé, ressue à l’Élysée par Macron).
Simple à comprendre, mais heureusement pour l’agenda immigrationniste de Marrakech, les médias sont là pour embrouiller et faire croire que Macron veut régler le problème.