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LES VARIANTS NEUFS DE L’EMPEREUR

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Dans une lointaine contrée nordique vivait un petit empereur de province qui aimait par-dessus tout le prestige et le pouvoir. Il dépensait l’argent du peuple pour bien paraître et enrichir les membres de son entourage. Fidèle à ses supérieurs, il ne s’intéressait nullement aux citoyens sous sa gouverne, ni à leur santé ou bien-être, ni aux petites entreprises indépendantes, ni aux aînés ou aux enfants.



Un jour, un vilain virus respiratoire nouveau fit son apparition et commença à se propager. Pris de panique devant les prédictions horrifiantes projetées par les prophètes de malheur de l’establishment, de nombreuses voix exhortèrent le petit empereur de les protéger du malheur et de la mort.

Ainsi se présentait à lui une occasion unique de se dépeindre en sauveur, mais il ne connaissait pas la marche à suivre pour y arriver. C’est alors qu’on mandata vers lui une petite escouade d’escrocs cravatés, se désignant à titre des consultants d’un puissant cabinet-conseil international, qui se vantaient d’offrir les plans d’action les plus savants qui soient. Non seulement le plan qu’ils proposeraient serait exceptionnellement brillant, mais encore, les mesures prescrites avaient l’étrange vertu d’être perçues comme cohérentes que par les bien-pensants et les plus maniables.

« Ce serait de précieux conseils, pensa le petit empereur, en les suivant, je saurais aussitôt qui sont les personnes les plus rebelles et opiniâtres de mon royaume, et je distinguerais les penseurs indépendants des plus soumis. Nous pourrons ensuite dénigrer, démoniser et déshumaniser les premiers, en les qualifiant de complotistes, d’édentés et éventuellement de criminels, pour peu qu’on entende leurs opinions. Ces conseils, il faut au plus vite les mettre en action! »

Il donna des millions de dollars aux escrocs pour qu’ils se mettent à l’ouvrage. Ceux-ci installèrent bien des bureaux, mais firent semblant de travailler, car le plan qu’ils devaient pondre avaient déjà été écrit bien avant l’avènement du virus.

Après quelques temps, ayant soumis les gens du pays à une incessante campagne de terreur au cours de laquelle il avait verrouillé à clé l’économie locale au profit des grands monopoles corporatifs, le petit empereur et son entourage constatèrent que le pathogène avait fait plus de peur que de mal. Le risque de succomber des gens en bonne santé était près de zéro alors que la mortalité et les hospitalisations avaient chuté au point d’être bien inférieures à maints autres drames humains, notamment les suicides.

Néanmoins, ils n’allaient pas laisser passer une pareille occasion de changer les règles du contrat social et de s’approprier des nouveaux pouvoirs sur le peuple en décrétant des mesures qui briseraient la cohésion sociale et les liens de solidarité entre les habitants du pays.

Les escrocs-conseils eurent alors une idée de génie. Ils proposèrent que les sbires médiatiques maquillent la dangerosité du virus par la mise de l’avant de tests de dépistage qui transformeraient des gens en pleine santé en des cas asymptomatiques et par la promotion de nouveaux variants du virus, tous réputés plus menaçants les uns que les autres. Les escrocs réclamèrent encore de l’argent, qu’ils mettaient dans leurs poches.

Un jour, le petit empereur décida de visiter les compères escrocs, accompagné d’une populeuse suite de courtisans et d’influenceurs triés sur le volet. « Que Votre Majesté admire ces mesures de santé publique! » lancèrent les escrocs. « C’est parfait, s’exclama le petit empereur, je leur donne ma plus haute approbation! »

Tous les membres de la suite qui l'accompagnait acquiescèrent à l’unisson. « Ça va bien aller! » était la phrase qu’on entendait sur toutes les lèvres pendant qu’on se félicitait à l’unanimité du Grand Plan adopté. Les escrocs recommandèrent alors de le présenter, en grande pompe, au Peuple à l’occasion d’une conférence de presse à laquelle tous seraient convoqués par écran interposé.

Ce fut ensuite au tour de membres des partis d’opposition de décider de s’enquérir des travaux de la brigade du cabinet-conseil. « Mon Dieu! s’inquiétèrent certains des visiteurs après avoir pris connaissance du plan. Ceci est une mise à mort de la vie démocratique de notre société! » Toutefois, de peur d’être qualifiés de complotistes et pris à parti, ils se gardèrent bien d’exprimer tout haut ce qu’ils pensaient.

« Eh bien, qu'en dites-vous? » demanda l'un des escrocs-en-chef. « Nous dirons que cela nous plaît infiniment » de répondre les visiteurs. « Ah! nous en sommes bien heureux », se réjouit le premier. Il enseigna ensuite aux membres des partis d’opposition les messages clés justifiant le Grand Plan et les mesures prescrites, pendant que ces derniers écoutaient de toutes leurs oreilles en vue de répéter plus tard chaque mot devant les caméras et sur leurs tribunes publiques respectives.

Le jour de la pompeuse conférence de presse, entouré de ses courtisans, le petit empereur se présenta sous les projecteurs pour exposer les ordonnances du Grand Plan. « Voyez, gens du peuple, les mesures que nous imposerons pour vous sauver de la mort. » Elles incluaient l’abrogation des plus essentielles libertés naturelles; de conscience, d’expression et de mouvement tout en instaurant un apartheid sanitaire qui s’appuieraient sur de nouvelles bases de conformité violant le droit à l’intégrité de son corps et criminalisant les récalcitrants.

« Ce Grand Plan est admirable! Enfin, nous serons en sécurité face aux nouveaux variants de ce virus! », s’exclama à l’unisson le gratin présent pour l’occasion. D’aucun voulait laisser paraître qu'il savait que les mesures liberticides décrétées n’avaient rien à avoir avec la protection de la santé du public; au milieu d’une épidémie de cas asymptomatiques. Néanmoins, jamais l’establishment au grand complet n’avait affiché un consensus aussi soudé.

Tandis que les caméras transmettaient en direct les images, dissimulé tout au fond de la salle, une âme pure sous les traits d’un enfant s’écria : « Mais vous violez nos libertés pour un virus qui n’a rien d’un ebola! ». « Entendez la voix de l’innocence! », s’exclama le père; et chacun murmura à son voisin les paroles de l’enfant.

C’est alors que, devant l’édifice où se tenait l’événement, tout le Peuple commença à se rassembler et se mit à scander d’une seule voix : « CE VIRUS N’A RIEN D’UN EBOLA! ».

Ne pouvant ignorer le tumulte réprobateur grandissant à l’extérieur, le petit empereur frissonna. Il savait que le peuple disait vrai et que son temps était compté, mais il se résolut à tenir bon jusqu’à la fin de la procession. Il se redressa encore plus fièrement et, le regard agité, il incita ses courtisans à applaudirent de plus belle; tentant en vain d’enterrer la voix du Peuple comme si elle n’existait pas.

Conte original :

« Les habits neufs de l’empereur », Contes et histoires de Hans Christian Andersen : https://www.andersenstories.com/.../les_habits_neufs_de...

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