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La Gazette du Tocsin du vendredi 4 juillet
Ce matin sur Tocsin : Slobodan Despot adresse un message plein d'espoir à la résistance, Fabien Bouglé décrypte le déchirement interne des LR sur la question de l'éolien, et Philippe Fabry compare la période prérévolutionnaire de 1788 à celle d'aujourd'hui.
Vous avez manqué la matinale ? La gazette est là pour faire le point.
« Les résistants au système sont plus nombreux qu’on ne le croit. »
Slobodan Despot fête le 500ème numéro d’Antipresse avec un message d’espoir.
Un invité qui a le mérite de toujours allier l’impertinence à l’humour et à la culture. C’est sans doute ce qui permet à Slobodan Despot de durer depuis bientôt une décennie en armant chaque semaine les cervelles de ses lecteurs. Il commence d’ailleurs l’interview en se permettant quelques critiques concernant les pratiques des nouveaux médias alternatifs : « Nous avons tendance à nous calquer sur les médias officiels en prenant leur contre-pied. C’est ce que certains appellent par le terme barbare de "réinformation", que je récuse. Nous faisons de la réflexion sur l’information, pas de la réinformation. Cela reviendra à dire que nous réchauffons les mauvais plats que les médias nous apportent. ».
L’émission ne tarde pas, cependant, à verser dans l’optimisme. Le nombre de lecteurs et d’auditeurs de médias libres augmente fortement et surtout, il se répand partout sur la planète. Slobodan Despot se targue même d’avoir des lecteurs d’Antipresse dans les îles Pacifiques. « Nous sommes beaucoup plus nombreux qu’on ne le pense. Nous sommes une bouée de sauvetage pour tous les esprits libres qui se sentent isolés dans leur vie. ». Et l’écrivain de renchérir en vantant l’exemple suisse, preuve vivante qu’une démocratie où le peuple défend encore crânement ses intérêts est encore possible.
Enfin, l’appel de Slobodan Despot est surtout un appel à l’insoumission. Le système qui nous gouverne a fait la preuve de son illégitimité autant que de son vice. Ainsi l’affirme-t-il sans détour à Nicolas Vidal, Slobodan n’a « jamais autant voyagé que pendant le confinement. ». « Les hôteliers étaient tellement contents de voir arriver un client qu’ils m’accueillaient comme un prince. J’ai dormi dans des hôtels de luxe à des prix imbattables. ». Que le monde a besoin de cette impertinence réfléchie, dernière poche d’oxygène d’où peut venir le vent de la révolte !
Source : Mail