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Publié le 30 mai 2025 à 21:24. / Modifié le 30 mai 2025 à 21:25. 2 min. de lecture
L’échange le plus tendu de cette première semaine de Roland-Garros a eu lieu vendredi matin dans la salle de presse numéro 2. Il a opposé la directrice du tournoi, Amélie Mauresmo, et un journaliste américain, secondé par d’autres, à propos de l’absence répétée de match du simple dames dans la programmation des sessions nocturnes. La polémique, qui est aussi ancienne que l’apparition de la night session porte d’Auteuil en 2021, a rebondi cette année encore, avivée par les critiques de la Tunisienne Ons Jabeur et les questions d’une presse anglo-saxonne plus sensible à la thématique.
– Service du journaliste de The Athletic: «Quelles sont selon vous les conséquences de dire en résumé aux femmes qu’elles ne sont pas dignes de jouer en night session?»
L’histoire ne s’arrête pas là.
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