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L’Etat macronien s’apprête à accueillir une première fournée de 100 des gros narcotrafiquants du pays qui fournissent les Français en substances certifiées de bonheur et de détente.
C’est dans ce cadre que le Macron a visité mercredi dernier la nouvelle résidence dite ultrasécurisée de Vendin-le-Vieil où doivent se reposer ces 100 narcotrafiquants avant de reprendre leur boulot.
Ce sont des narcotrafiquants, mais ce sont aussi des bienfaiteurs.

Outre qu’ils permettent aux Français de se détendre dans un monde assombri par la présence oppressante du Macron depuis 8 ans, ils vont permettre de soulager les finances de l’Etat en participant au coût de leur incarcération, suite à la décision du Moussa de la Justice de faire casquer tous les détenus. Une idée qui réjouit le Macron et son Bayrou.
Avec les 80.000 détenus en France, on peut espérer faire bonne recette pour aider le pauvre Bayrou.
Le montant de la contribution des détenus pourrait atteindre 800 euros par mois, soit 750 millions par an.
Mais on compte surtout sur la participation des 17.000 détenus pour des faits liés au trafic de stupéfiants et à la criminalité organisée. Et particulièrement sur la « générosité » des 200 plus gros trafiquants qui vont bénéficier d’une résidence 5 étoiles.

Dans ces prisons Moussa-ennnes, on applique le principe communiste : « De chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins ».
Un chef narco bien nanti pourrait solliciter une chambre ou même une suite (on ne dit plus « cellule ») avec l’essentiel (télé, AC, ventilateur, kitchenette…), mais aussi avec fenêtre sans barreaux, vue sur mer ou sur jardin, massage quotidien, coiffeur, prof de gym, pédicure, manucure, hammam et sauna pour se soulager des efforts de l’inactivité, menu à la carte pour les repas, etc.
Mais le narco va payer pour tout ce confort, ce qui fera entrer des sous dans les caisses perforées du Bayrou.

Dans les nouvelles prisons dites « moussa-ennes », le régime est pareil à l’hospitalité légendaire marocaine. Elle se décline en 3 options : chambre avec ou sans petit-déj, demi-pension et pension complète. C’est la nouvelle hospitalité marocaine. Vous payez selon l’option choisie. La légendaire hospitalité marocaine est morte depuis longtemps. Il ne reste plus que l’hospitalité hôtelière.
Cette « contribution », librement consentie par les détenus, pourra être financée de trois façons :
⦁ Grâce au salaire du travail réalisé en prison,
⦁ Via un prélèvement dans le patrimoine personnel,
⦁ Via les ressources des descendants et ascendants du prisonnier.

Une quatrième façon est examinée actuellement par les autorités françaises. Les narcotrafiquants pourraient payer en nature, en livrant périodiquement des quantités substantielles de coke directement à l’Elysée.
En cash ou en nature, la France va être sauvée par le narcotrafic.
Qu’Allah (le gaulois – ça existe) bénisse les narcotiques et les narcotrafiquants.
Maintenant, imaginez le Macron condamné à une peine d’emprisonnement. Il paierait combien pour son incarcération ? Lui, il s’en fout d’avoir une fenêtre sans barreaux avec vue sur jardin ou sur mer. Ce qui lui importe est qu’il soit en bonne compagnie. De préférence avec de jeunes et virils Antillais.

Mais pour quels motifs pourrait-on le condamner ? En fait, il y en a plein. C’est :
⦁ Incitation à la guerre contre la Russie (c’est bizarre qu’il y ait un délit d’incitation à la haine mais pas à la guerre),
⦁ Ingérence dans les affaires d’Etats étrangers (Roumanie, notamment),
⦁ Importation illégale de masses humaines avariées (du Maghreb et d’Afrique notamment),
⦁ Association de malfaiteurs avec la Leyen,
⦁ Endormissement des Français par de longs blablas insignifiants à la télé,
⦁ Dissimulation d’objets louches dans les trains polonais,
⦁ Grattage répété suspect du nez.
On ne parle pas des domaines dans lesquels le Macron excelle, comme la dilapidation du patrimoine militaire, la destruction de l’agriculture, la destruction du système de santé, de l’Education, etc. Mais, on ne peut pas lui en vouloir. Tous les présidents précédents s’étaient acharnés sur ces domaines.

Alors, notre Macron, client ou complice du narcotrafic ?
L’un ou l’autre ou ni l’un ni l’autre, mais, en tout cas, un grand nuisible à la France.
Pire que tous les narcotiques qui circulent dans le pays.

Messin’Issa