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Boualem Sansal, emprisonné depuis près d’un an, vient d’être condamné à 5 ans de prison par le régime algérien. Personne ne peut être surpris, vu que la France, derrière son président de la République soumis et son pathétique ministre des Affaires étrangères, n’a utilisé aucun rapport de forces à l’encontre du président Tebboune et de la junte qui dirige le pays. Encore pire, comme pour mieux narguer la France, un deuxième prisonnier politique, le journaliste Christophe Gleizes, a pris 7 ans de prison.
Chacun aura remarqué la différence de ton de Macron et de toute la gauche, entre Boualem Sansal et Rima Hassan. Pour cette dernière, qui n’est resté qu’à peine deux jours en Israël, c’était la mobilisation générale, tandis que l’écrivain, qui a demandé et obtenu la nationalité française, a été abandonné par toute la classe politique, Macron en tête.
Ce qui est curieux, mais guère surprenant pour qui connaît les mahométans, c’est justement que parmi les millions de disciples d’Allah qui sont en France, qu’on présente souvent comme des musulmans laïques, républicains, patriotes, il y a un grand silence complice, quand des Zeribi ou des Stora ne se réjouissent pas ouvertement de l’emprisonnement du dissident. C’est que Boualem Sansal a osé critiquer, non seulement le régime algérien, non seulement le Hamas et le Hezbollah, mais également l’islam. Donc, en toute logique, vue l’idéologie totalitaire qui est la leur, il est à leurs yeux considéré comme un traitre, un apostat, et c’est pour cela qu’ils se réjouissent que le régime algérien l’ait jeté en prison, et qu’ils espèrent qu’il y meure, pour faire un exemple.
De même, ils sont reconnaissants à toute la gauche de ne pas voter les motions déposées à l’Assemblée nationale ou au Parlement européen, et donc de signifier clairement qu’ils souhaitent que l’écrivain reste en prison. Ils n’auraient pas compris que Delogu, qui a embrassé le drapeau algérien, ce qui peut l’aider à devenir maire de Marseille, plaide auprès de la junte militaire d’Alger pour la libération de Boualem Sansal.
La conclusion de tout cela est fort clair : nous avons en France une cinquième colonne qui prône l’installation de la charia, la loi de l’islam où il est interdit de critiquer l’islam, et nous avons des collabos qui les soutiennent.