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Tandis qu'en France, l’Assemblée nationale débat sur le projet de loi sur la fin de vie, en Suisse, les cantons peaufinent un système en place depuis 1942. Une méthode dont voudraient s'inspirer certaines régions italiennes en s'appuyant sur le soutien populaire, en dépit d'une opposition du gouvernement de Giorgia Meloni.
La Suisse, ses montagnes, ses coucous qui sortent en chantant d’une fenêtre pour annoncer l’heure, ses fondues et… ses associations qui proposent le suicide assisté. Alors qu’à Paris, les députés débattent sur le projet de loi sur la fin de vie, la Confédération helvétique s’interroge sur le fonctionnement de son dispositif autorisé depuis 1942 et différent de l’euthanasie, qui est, elle, interdite. Chaque année, en Suisse, plus de 1 500 personnes, dont des étrangers qui choisissent de passer la frontière, mettent fin à leurs jours moyennant un chèque d’environ 10 000 euros pour couvrir les frais. L’idée des Suisses n’est pas de remettre en cause un système soutenu par la majorité des habitants mais plutôt de l’améliorer notamment au niveau des coûts pour les cantons et de la traçabilité des doses mortelles de pentobarbital sodique, un puissant barbiturique également utilisé en médecine vétérinaire comme euthanasiant, remises aux patients qui veulent mourir.