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C’est le monde à l’envers. « Le Parisien » avait soutenu l’Algérie française, et Sophia la vipère traitait de gros cons les électeurs de JMLP. Jusque là, rien à signaler. Chacun dans son rôle. Jusqu’à ce qu’un tsunami de bien-pensance vienne tout chambouler.
Greta-Rima : Les petits pains pour l’une et des pains dans la gueule pour l’autre
Un billet d’humeur de la franco-marocaine qui sévit dans les médias d’État a été la goutte d’eau qui a mis le feu aux poudres. Elle a osé railler les deux plus belles vaches sacrées du moment, Greta et Rima. La première affublée du surnom de « Miss Krispolls ». L’autre du sobriquet de « Lady Gaza ».
Selon les codes de la cenSSure, il est interdit de traiter avec légèreté un sujet aussi grave, et de renvoyer les deux beautés fatales à leurs origines. J’ai du mal à comprendre cette honte des anciens. Moi qui suis si fier d’avoir des aïeux cannibales des îles.
L’outrage est consommé lorsque Sophia à rames rappelle que la flottille tombée à l’eau a été financée par un certain Zaher Birawi, dont les liens avec le Hamas sont troubles. Fallait pas le dire ! Les délateurs du « Parisien » exigent le renvoi immédiat de la naufrageuse, et insistent pour qu’elle soit déférée enchaînée devant un tribunal islamique comme en Somalie. C’est une récidiviste !
Elle était déjà dans le collimateur des LFI pour avoir islamisé Aymeric Coran en « Abou Aymeric al Versailly » à la façon djihadiste de Daech. Les donneurs de leçons de dhimmitude ne sont pas loin d’accuser cette malheureuse d’apostasie. Elle se dit athée, mais avec une mère qui s’appelait Khadidja, comme la cougar du chamelier pédophile, elle 50 ans et lui 25 – Brichelle est enfoncée – elle aggrave son crime. Passible de la peine de mort. Avec l’embarras du choix. Lapidation à Kaboul. Pendaison à Téhéran. Décapitation au sabre à Djeddah.
Comme Allah est miséricordieux, quand il n’est pas au bar, elle a plusieurs options pour échapper à ce juste châtiment. Porter la burqa. Filer son pognon au Hamas. Ou se faire sauter. Avec un ceinture explosive.
Quelle mouche a piqué Sophia qui avait un parcours sans faute de parfaite gauchiste lobotomisée pour qu’elle passe à l’ennemi ? Par humour déçu ? Le Merluchon lui aurait-il refusé une petite place dans son harem de houris ?
Archétype de la génération Macron, immature, capricieuse, sans culture ni structure, cette militante de SOS Racisme s’était vigoureusement élevée contre la récupération politique, selon elle, des attentats contre Charlie Hebdo (janvier 2015) et du Bataclan (novembre 2015). Salauds de fachos ! Pour eux, tout est bon pour dire du mal des Arabes !
Ses facéties antinomiques se vautrent dans la provocation adolescente. À 52 ans, il serait temps de mûrir un peu. N’étant guère fan, il m’arrive de parcourir des brèves relatant ses extravagances, ou de zapper des commentaires à la Mylène Micotton, valorisant son habileté à nager dans les eaux les plus troubles sans mouiller sa petite culotte.
Avec des personnages tels que Ludovine de la Malbaise, réac, homophobe et islamophobe, et Laurène défendant la vacuité woke d’une voix de crécelle (on croirait entendre Cécile Duflot ou la Tondelière), elle fait du sous San Antonio. Loin d’être aussi piquante que Dard.
L’association Acrimed qualifiait en 2021 ses venimeuses chroniques matinales sur Rance Sphincter de mascarades teintées de démagogie. Puisqu’elle s’en prenait avec une égale véhémence aux Gilets jaunes, aux anti-vaccins, aux Russes, à Bolsonaro et à Donald Trump, comme si quelque fil invisible les reliait. Des philippiques enragées qui lui valurent des rappels à l’ordre du CSA. Mais aucune condamnation de l’ARCOM.
Elle dépasse rarement 3 % d’audience, privant de recettes publicitaires ses employeurs. Son meilleur score est d’avoir planté de 600.000 euros en 3 semaines ces enfoirés de BFM avant d’être virée. Un exploit qui lui valut d’être honorée d’un Gérard de la télé. De mauvais esprits suggèrent que sa longévité tiendrait moins à son talent qu’à la nécessité de disposer d’une « Arabe de service » parce que c’est tendance.
Le gauchiste au tact de gentleman, Daniel Schneidermann, qui qualifie Christine Kelly de bonniche d’Éric Zemmour, reproche gentiment à Aram d’épargner de son acrimonie Macron et ses séides. Courageuse mais pas téméraire, la p’tite dame. Elle ne mord pas la main qui la nourrit. En rations de survie ? Car elle est plutôt maigrelette.
Quant au « Parisien », ce torchon est à la hauteur de son ancienne pigiste de luxe qu’il renie. Avec ce manque d’élégance et de galanterie qui imprègne la nouvelle gauche LFI islamisée.
Le « Parisien » qui se disait libéré a eu son heure de gloire après WW2, quand ses échotiers traînaient dans les commissariats en quête des faits divers les plus sordides et les plus crapuleux. Escroqueries à la charité publique, faux curés thaumaturges, vendeurs de remèdes miracle contre le cancer, vieillards dépouillés par des canailles déguisées en facteurs ou plombiers, crimes de cocus dits passionnels, et assassinats non élucidés qu’on n’appelait pas encore « cold cases » en français. Rien à voir avec l’épidémie actuelle de surineurs allogènes.
Le patron du journal jusqu’en 1977, Émilien Amaury, pétainiste fréquentable comme Mitran puisqu’il avait imprimé en loucedé la presse de la Résistance, donnait pour instruction à ses reporters : « L’information n’a pas à être exacte. Il lui suffit d’être énorme. Au besoin, inventez ! ».
Partisan de l’Algérie française mais évitant d’affronter ouvertement les gaullistes, il avait eu l’honnêteté d’attribuer aux émeutiers fellaghas les noyades du 17 octobre 1961 dans la Seine, amplifiées par la gauche et qualifiées de « massacre » par tous les traîtres à la Nation. Et il dénonçait « Paris envahi par des tueurs ». Que dirait-il aujourd’hui ?
À partir de 1970, le « Parisien » est sur une pente savonneuse et a du mal à ne pas sombrer. À présent, c’est le journal le plus subventionné de France. Où les bolchos font la loi.
Alors qu’il a perdu la moitié de son lectorat, une grève de plusieurs mois à l’appel du Syndicat du crime CGT empêche toute publication du canard boiteux. Des conflits syndicaux entre 1975 et 1977 l’achèvent. Passant d’un tirage de 682 000 exemplaires à 303 000. Jamais le titre ne parviendra à récupérer son lectorat vieillissant.
Après un conflit d’héritage qui oppose les enfants d’Amaury pendant six ans, Le Parisien libéré rebaptisé Le Parisien en janvier 1986 fait peau neuve avec une nouvelle impression en couleurs, abandonnant ses positions de droite et s’ouvrant à la gauche insidieuse. Celle qui avance masquée, au nom des grands principes que ses chefs compissent, pour imposer leurs diktats et leurs ostracismes. En tendant la sébile. 13,5 millions d’euros en 2021. On dit beaucoup plus aujourd’hui.
Pendant les années Tonton-Chiracula, le journal a changé du tout au tout. Pour ne pas contrarier le pouvoir et ses affidés. Mais le robinet à fric ne coulait pas assez vite. Le journal perd encore 20 millions d’euros par an. Malgré les tentatives de renflouement par le milliardaire Bernard Arnault. Tout bénéf pour lui, puisque déductibles. Ce sera insuffisant. Le nain hongrois, le grassouillet Hollandouille, puis le paltoquet giflé mettent la main à la poche. Généreux avec le fric des Francouillons.
De nouvelles instructions sont données aux rédacteurs : « Faire court et employer des mots que tout le monde comprend ». En clair, le public ciblé est celui des bac moins dix. Avec un QI inférieur à 100. Sur un air de France remplacée ? Dans un contexte où le titulaire d’une maîtrise de 2015 en sait moins qu’un certif de 1950 qui connaissait l’orthographe, le calcul, l’histoire et la géographie.
La société des journalistes devenu un soviet d’entreprise décide du contenu, embauche par cooptation, licencie par caprice, et condamne sans appel les dissidents. L’affaire Sophia Aram a exposé sur la place publique ces pratiques totalitaires. Sans langue de bois.
Cerise sur le gâteau à l’arsenic, l’énergumène trotskiste Edwy Plenel octroie un certificat de moralité gauchiste sans barguigner : « Le Parisien relève d’une presse populaire exigeante qui n’exclut ni la rigueur ni le sérieux ». Sonnez trompettes de la renommée !
Christian Navis