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AFP
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Le documentaire, réalisé par les journalistes Julie Lerat et Armin Arefi et diffusé ce mardi 1er juillet sur Arte, nous ouvre les coulisses de l'organisation paramilitaire la plus puissante à Téhéran – les Gardiens de la révolution. Répression permanente, contrôle des opposants, accaparement des richesses… Quarante ans après leur création, leur stratégie, aussi sophistiquée que redoutable, fait désormais d'eux les véritables « maîtres de l'Iran ».
À l’écran, l’image tremble – probablement issue d’une caméra mobile cachée dans l’uniforme du policier. Rapidement, on comprend que la scène se déroule dans un aéroport. Nos yeux suivent le regard affolé d’une femme dont le visage est recouvert d’un foulard blanc. Ses bagages sont prêts. Son vol vers Londres l’attend. Mais celui qui se présente comme le « représentant du bureau du procureur » l’arrête et l'informe qu’elle est « interdite de sortie du territoire » iranien. C’était en avril 2016. Nazanin Zaghari-Ratcliffe, une Irano-Bitannique travaillant pour le compte de la Fondation Thomson-Reuters, est alors incarcérée pour motif d'espionnage dans la prison d’Evin, où elle passera six longues années.