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Un djihadiste restera un soldat d’Allah, quoi qu’il dise ou qu’il fasse.
L’histoire démontre qu’une infime partie seulement des soldats du djihad renoncent à tuer et à mourir sur le chemin d’Allah, car l’attrait du paradis avec ses 72 vierges, ses éphèbes, ses rivières de vin et de miel est plus fort que n’importe quelle autre idéologie.
Les Français doivent se mettre en tête qu’il n’y a qu’un seul et unique islam, c’est celui de la conquête, de la soumission, de la terreur, de la razzia et du viol (sexe à volonté lors des foutouhats). Toute autre explication est de la masturbation de l’esprit, de la pure taqîya de haute voltige pour noyer le poisson.
Pour commencer, il n’y a pas que les Frères musulmans qui attaquent la France mais aussi les salafistes et bien d’autres mouvances islamiques. Et ça, l’oligarchie politico-médiatique semble l’oublier.
Avec le rapport frappé du sceau de la République sur l’infiltration des Frères musulmans dans toutes les strates de la société française, l’oligarchie politico-médiatique semble découvrir le fil à couper le beurre. Des cris d’orfraie sont lancés par cette dernière pour se blanchir de l’entrisme des frérots, si comme elle ne le savait pas. La couleuvre est trop grosse pour être avalée d’un trait. Et la vaseline ne tient pas.
Seul le gourou de l’islamo-gauchisme hadji Rachid reste égal à lui-même, en condamnant par un tweet ce rapport qu’il considère comme infamant et islamophobe. Lui au moins ne perd pas le nord. Il continue d’envoyer ses filets dérivants pour pêcher les voix musulmanes. Avec cette stigmatisation supposée des musulmans, l’imam caché Rachid, qu’Allah le protège et le bénisse, espère rafler la mise en 2027. Quant à la situation que vivent des femmes musulmanes en terre d’islam, il n’y pense même pas, c’est le dernier de ses soucis. Pour lui et ses suiveurs, le palais de l’Elysée vaut quelques sacrifices, même en marchant sur les cadavres de ces femmes. « Allah ghallab », scandent les musulmanes qui l’entourent.
Pour comprendre les turpitudes, l’escroquerie intellectuelle, la mégalomanie, la ruse et la lâcheté de hadji Rachid, il suffit de lire l’ouvrage « La meute » édition Flammarion.
Avec ce rapport établi par les services de sécurité français, donc officiel et sans contestation possible, la dangerosité de l’islam va-t-elle enfin être mise sur la table ?
Ce rapport est-il un miracle qui vient de se produire dans le ciel obscurci de France et de Navarre ? L’oligarchie politico-médiatique s’est-elle aperçue de la présence de la secte des Frères musulmans et ses ramifications qui sont en train de saper les fondements de la République française ? En un mot, il y a apparemment péril en la demeure, à entendre le tintamarre qu’elle fait.
Ce rapport vient confirmer ce qu’on savait déjà depuis 1928, date de la création de la secte des Frères musulmans par Hassan Al-Banna, l’Égyptien.
L’infiltration et le prosélytisme de l’islam par le djihad passif ne sont pas nés avec la secte des Frères musulmans. Ils sont connus et documentés depuis le IXe siècle.
On n’apprend rien de nouveau dans ce rapport sur la technique de l’entrisme des Frères musulmans qui ne font que reprendre les savants de l’islam comme Ahmad Ibn Hanbal, un des fondateurs des quatre écoles (madâhib) du sunnisme, appelé aussi cheikh islam et ses disciples tel qu’Ibn Taymiyya qui suivent pas à pas les salafs.
Qui sont les salafs ?
Le mot salaf vient de la langue arabe qui signifie ancêtre ou pieu prédécesseur.
Les premiers salafs désignent les premières générations de l’islam à savoir Mahomet et ses compagnons (sahaba), et les deux autres qui suivent (tabi’un) les suivants et (tabi at-tabiîn) et les suivants des suivants.
Hassan Al-Banna, en créant sa secte, s’est inspiré des enseignements de Mahomet et des quatre califes biens guidés (Abou Bakr, Omar, Otman et Ali, selon le narratif islamique qui est mis fortement en cause par les historiens révisionnistes) et surtout de l’imam Ahmad Ibn Hanbal (780-855) et son mahahb (école) rigoriste : le hanbalisme. Il ne faut pas non plus oublier les écrits de l’imam Ibn Taymiyya (1263-1328) et de l’imam Mohammad Ibn Abdelwahhab (1703-1792) qui étaient des disciplines acharnés d’Ibn Hanbal.
Hassan Al-Banna a adopté en réalité la hanbalisme aux temps modernes mais le principe reste le même : l’islam doit dominer le monde par n’importe quel moyen. Par le djihad offensif ou passif, les musulmans ont l’obligation de porter la parole d’Allah et de son Envoyé à travers toute la planète et aucune contrée ne doit échapper à sa domination. Le meilleur moyen reste la guerre (le djihad) et, en cas d’empêchement, le prosélytisme et l’infiltration des sociétés mécréantes pour les soumettre à la charia par la ruse.
En effet, Allah exige des musulmans d’imposer l’islam comme l’unique religion universelle, valable dans le temps et l’espace. Il est prescrit dans le verset 55 de la sourate 24 : « Allah a promis à ceux d’entre vous qui ont cru et fait les bonnes œuvres qu’Il leur donnerait la succession sur terre comme Il l’a donnée à ceux qui les ont précédés. Il donnerait force et suprématie à leur religion qu’Il a agréée pour eux. Il leur changerait leur ancienne peur en sécurité. Ils M’adorent et ne M’associent rien et celui qui mécroit par la suite, ce sont ceux-là les pervers ».
C’est par le djihad que l’islam est parvenu à dominer et asservir des nations entières. Pour le musulman, il n’existe pas d’acte plus noble que celui-ci.
Le djihad est toujours d’actualité, en France et ailleurs.
Bukhari rapporte ce Hadith : « Quelqu’un a demandé au Prophète : « Ô messager d’Allah ! Qui est le meilleur parmi le peuple ? » Le messager d’Allah répondit : « Un croyant qui lutte dans le chemin d’Allah avec sa vie et ses biens ». (Sahih Bukhari, Livre du djihad, Hadith 2)
Ce hadith définit le djihad tel que Mahomet l’a conçu. Et comme le précise un second hadith, Mahomet a obtenu la victoire par la terreur qu’il a suscitée. « J’ai été envoyé avec des paroles concises. On m’a donné la victoire par la terreur que je suscite dans le cœur des ennemis. Et pendant que je dormais, on m’a donné les clés des trésors de la Terre et on les a mises dans ma main ». (Sahih Bukhari, Livre du djihad, Hadith 122)
Il faut savoir que tous les djihadistes des temps modernes sont sortis des rangs des Frères musulmans.
Le théoricien du djihad est Sayyid Qutb (1906-1966). C’est un poète égyptien, un haut cadre des Frères musulmans. Son œuvre majeure est Fi Zalal al-Koran (Sous l’ombre du Coran), un commentaire du Coran. Il se déclare favorable à l’application stricte et exclusive de la charia. Il qualifie de jahilite (ignorante-mécréante) toute société, musulmane ou non, qui n’applique pas la charia et appelle au djihad offensif violent.
Son ouvrage ‘Sous l’ombre du Coran’ est un appel au meurtre des ‘musulmans modérés’, des Croisés (chrétiens), des Juifs et des incroyants.
D’ailleurs, les chefs des djihadistes modernes sont passés par l’école des Frères musulmans (Cheik Yassine, Abdallah Azzam, Ben Laden, Ayman Al-Zawahiri, Al-Zarqaoui, Al-Baghdadi et même Al-Joulani, le président autoproclamé de Syrie). Et même le grand mufti de Jérusalem, le cheikh Husseini et l’ayatollah Khomeiny ont été irrigués par la pensée frériste.
Les Frères musulmans ont essaimé en Occident au début des années soixante, avec l’installation d’un centre islamique en Europe à Genève (Suisse) en 1961 par Saïd Ramadan, le gendre de Hassan Al-Banna qui est devenu ensuite un honorable correspondant des services secrets des Britanniques, selon les sources gouvernementales helvétiques. Ce centre islamique fut alimenté par les pétrodollars arabes.
L’installation des Frères musulmans en Occident a été encouragée par l’oligarchie politico-médiatique. Mais ça, il est interdit de l’évoquer. C’est top secret.
Venir soixante ans après verser des larmes de crocodile sur les méfaits de la secte des purificateurs, c’est prendre les Français pour des demeurés.
Ne pas comprendre l’idéologie de l’islam conquérant, c’est ouvrir les portes de l’enfer à ses citoyens, et c’est ce qu’ont fait les dirigeants occidentaux en acceptant une immigration islamique incontrôlée et surtout inassimilable.
Ce qui se passe actuellement en Europe a été vécue par l’Espagne du Moyen Âge à compter du IXe siècle (vers 840). Prétendre que les musulmans ont conquis l’Espagne en 711 après J.C. comme le rappelle la doxa dominante est une escroquerie historique, car à cette date l’islam n’existait pas encore.
Et doit-on encore croire à l’existence de la bataille de Poitiers (appelée bataille du Pavé des Martyrs) en 732 entre Charles Martel et Abd Al-Rahman, émir d’Al-Andalus ? A-t-elle réellement existé ?
Lire l’article paru le 30 mai 2023 sur RL : ripostelaique.com> les français-veulent-t-ils-subir-le-sort-que-lespagne-du-IX-siècle- ?
L’islam est apparu en 750 après J.C. au Khorasan (Asie centrale), sous la houlette d’Abu Muslim Al Khorasani Ahl Mohamed originaire de la ville Balkh (actuelle ville de Mazar-i-Charif située à l’Ouest de l’Afghanistan).
Son père était un prêtre zoroastrien Il avait anéanti la dynastie omeyade qui n’étaient pas musulmane mais nestorienne (une secte hérétique chrétienne) pour le compte des Abbassides qui étaient des Sassanides zoroastriens (Perses).
Abu Muslim Khorasani était un vassal d’un prince sassanide zoroastrien, surnommé As-Saffah (le sanguinaire). Dans le narratif islamique, il est désigné comme le descendant de la famille supposée du prophète Mahomet sous le nom Ibn Al-Abbas (oncle de Mahomet). Il fut proclamé calife en 750 à la ville de Koufa-Al-Hîra (Irak) qui fut le vrai centre spirituel de l’islam naissant. À sa mort en 754, ce fut son frère cadet Abu Jafar qui lui succéda sous le nom d’Al-Mansour. C’est qu’ainsi que l’histoire des Abbassides est née.
Abu Muslim fut exécuté en Syrie par le calife Al-Mansour en 755 pour qu’il n’y ait aucune trace de la vraie histoire de la dynastie des Abbassides, des Sassanides transformés en Arabes originaires du Hedjaz (Mecque et Médine). Ce récit mensonger continue d’irriguer les neurones islamiques depuis le VIIIe siècle.
Ce mensonge a été établi par des historiens islamiques comme Ibn Hicham, Tabari et Ibn Hakam qui étaient au service des califes abbassides.
Il faut savoir aussi que la conquête de l’Egypte, de l’Afrique du Nord et de l’Espagne a été rapporté par Ibn Hakam (789-871) au IXe siècle, dans son fameux livre : « Conquête de l’Egypte, de l’Afrique du Nord et de l’Andalous (Espagne) ».
En vérité, cette conquête est le fruit du retrait des Byzantins de l’Afrique du Nord et de la conversion des Wisigoths et d’une partie des Berbères à l’arianisme, à compter du VIe siècle.
Ainsi, avec le mensonge, le silence, le déni de réalité et la lâcheté, l’oligarchie espère une fois de plus tromper les Français en leur demandant de s’adapter à l’islam oubliant que ce sont les derniers arrivés qui doivent s’intégrer à la République et non l’inverse.
Tant que cette dernière refuse de reconnaître qu’il n’y a qu’un seul islam, celui de la conquête et de la soumission, la France risque de disparaître dans le magma islamique comme l’ont été beaucoup de contrées depuis le IXe siècle.
L’islam demeure un virus mortel (existentiel) pour tout peuple non vacciné et toute autre approche n’est que du sparadrap inefficace.
Mille ans après la conquête de la presqu’île ibérique par les musulmans au Xe siècle et notamment par les Almoravides (les berbères ribats ou Imrabden-mourabitounes venus du sud marocain), l’Europe se trouve confrontée à l’invasion islamique avec l’encouragement de l’oligarchie qui fait sienne de l’Édit de l’empereur Caracalla.
Cet Édit a été promulgué en 212 de l’ère chrétienne par l’empereur romain de Caracalla d’origine berbère (211-217), appelé également constitution antonine ou constitutio antonniniana, en latin. Cette loi est la plus connue de l’empire romain qui accorde la citoyenneté à tout homme libre de l’Empire qui ne l’avait pas encore acquise. Avant cet Édit, la citoyenneté romaine était héréditaire, par filiation ou par adoption.
La question de la secte des Frères musulmans n’est que le sommet de l’iceberg islamique qui est train d’écraser l’identité de la France, avec l’assentiment d’une partie du peuple de France et de Navarre qui est lobotomisé.
La secte des Frères musulmans, indésirable au pays qu’il l’a vue naître, a trouvé les portes grandes ouvertes en Occident où elle est comme un poisson dans l’eau.
C’est open bar pour elle.
Alors de qui se moque Macron ?
Le 12 avril 2022, à Strasbourg, lors de la campagne électorale présidentielle, face à une femme voilée, n’a-t-il pas affirmé que se voiler, c’est du féminisme ?
« C’est beau. Avoir une jeune fille qui porte le voile à Strasbourg qui demande : « Est-ce que vous êtes féministe ? » C’est la meilleure réponse à toutes les bêtises que je peux entendre. »
Ce rapport sur les Frères musulmans est le summum du cynisme et de l’hypocrisie.
Pour comprendre l’origine de l’islam et ses travers, il est souhaitable de lire Souleymane Bachir (un intellectuel palestinien) et son livre « l’autre histoire » et surtout l’ouvrage de Jawad Ali (intellectuel irakien) « al-Mufassal fi Tarikh al-Arab Qabl al-Islam » (Histoire abrégée des Arabes avant l’islam).
Hamdane Ammar