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Il a suffi que Moussa Darmanin, devant l’énormité du scandale judiciaire qui frappe la magistrature, de nouveau, se permette de s’étonner de la légèreté des sanctions prononcées contre les racailles qui ont, dans toute la France, multiplié les émeutes après la victoire du PSG contre l’Inter de Milan, pour que les deux grands chefs à plume de la magistrature française montent au créneau.
Le procureur général de la Cour de Cassation, Rémy Heitz, bien connu des lecteurs de Riposte Laïque, imposé par Macron, s’est permis de contredire le ministre, se permettant de lui intimer l’ordre de laisser les juges faire leur travail dans la sérénité.
Cerise sur le gâteau, le président de la Cour de Cassation, un nommé Christophe Soulard (un nom difficile à porter), s’est carrément adressé à Mediapart pour dénoncer ce qu’il appelle une montée d’un populisme anti-judiciaire en France.
Rappelons que le dernier exploit de la Cour de Cassation a été de faire condamner Éric Zemmour, suite à un échange violent avec Bernard-Henri Levy sur la politique de Pétain avec les Juifs français dans les années 1940. À noter, ce qui accentue ce nouveau scandale judiciaire, que le président de Reconquête avait été relaxé par la 17e chambre et la Cour d’Appel.
Ce sont donc ces personnages, Rémy Heitz et Christophe Soulard, qui bafouent l’autorité du ministre de la Justice en personne, Moussa Gérald Darmanin qui, pour une fois, avait parlé juste.
Ils osent contester la notion de gouvernement des juges, et qualifient de populistes, dans Mediapart notamment – il faut oser – les Français qui en ont marre de voir des voyous remis en liberté, et des clandestins ne jamais se faire expulser.
Les Français constatent tous les jours que des juges politisés bafouent les principes les plus élémentaires de Justice. Ils relaxent régulièrement les racailles, comme on l’a vu encore cette semaine avec les incroyables verdicts qui n’ont pas frappé toutes les racailles qui ont pillé, agressé et tué lors des émeutes parisiennes et dans plein d’autres villes de France.
Des juges injurient des familles de victimes, avec le désormais célèbre « Mur des Cons ». Aucune sanction.
Des juges se permettent d’aller à des fêtes politiques comme la Fête de l’Huma, marquant une partialité incompatible avec l’équité due aux citoyens. Aucune sanction !
Des juges s’acharnent contre les patriotes, coupable d’être dissidents, et prononcent contre eux des sanctions arbitraires, qui frisent la faute professionnelle et l’acharnement judiciaire. Aucune sanction !
Des juges ne s’acharnent que contre d’anciens hauts responsables de droite (Sarkozy, Fillon), ils truquent l’élection de 2017 en faisant élire Macron, ils veulent empêcher Marine Le Pen de se présenter en 2027. Aucune sanction.
Des juges déguisés en Sages, qu’ils soient au Conseil constitutionnel ou au Conseil d’État, remettent en cause des décisions prises par des gouvernements à qui ils veulent interdire de mettre en place un programme pour lequel ils ont été élus par les Français, parce que cela dérangerait leur idéologie droits-de-l’hommiste. Aucune sanction.
Et à présent, les deux plus grands magistrats français, les duettistes Rémy Heitz et Christophe Soulard, menacent les Français de leurs foudres s’ils avaient le culot de critiquer les décisions d’une justice de plus en plus pourrie, et, sûrs de leur impunité et de leur toute-puissance, ils se permettent de désavouer publiquement leur ministre.
Si nous avions un vrai gouvernement, et un État qui sait se faire respecter, ces deux hauts magistrats seraient virés sur le champ, et toute manifestation de soutien à leur égard serait interdite, avec licenciement immédiat de tous les contrevenants.
Dehors Rémy Heitz ! Dehors Christophe Soulard !
French (CA)