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Les demanderesses ont harmonisé leurs témoignages, avance Gilbert Rozon

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Les demanderesses ont harmonisé leurs témoignages, a soutenu Gilbert Rozon mardi au troisième jour de son contre-interrogatoire lors de son procès civil de 14 millions.

« C’est très commode », a-t-il commenté, ajoutant qu’elles parlent « en chorale ».

Le fondateur de Juste pour rire est poursuivi en dommages par neuf femmes qui l’accusent de harcèlement et d’agressions sexuelles. Il a nié ces allégations dans le cadre de son procès qui se déroule depuis le mois de décembre au palais de justice de Montréal.

Il a tenu ces propos alors que l’un des procureurs des demanderesses, Me Bruce Johnston, lui faisait remarquer que plus d’une demanderesse a témoigné qu’il avait usé d’un prétexte pour les isoler dans le but de les agresser. L’une d’entre elles a soutenu qu’il lui avait dit devoir passer chez lui pour chercher des documents et une autre, qu’il devait s’arrêter afin de changer de chemise après une longue journée de travail.

Les avocats des demanderesses utilisent ces faits pour plaider un modus operandi de l’homme de 70 ans. Ce dernier a répliqué mardi matin en déclarant que leurs témoignages « s’harmonisent de plus en plus, même au niveau du langage, en utilisant les mêmes termes ».

Me Johnston lui a alors demandé s’il avançait une concertation ou une coordination des demanderesses, ce à quoi l’avocate de M. Rozon s’est prestement levée pour s’objecter à la question.

Me Jessica Lelièvre, qui fait équipe avec Me Johnston, a ensuite pris le relais du contre-interrogatoire de l’ex-magnat de l’humour.

Elle l’a questionné sur sa réplique à la version de la demanderesse Danie Frenette, qui lui reproche deux viols. L’un se serait déroulé lors d’une fête donnée par M. Rozon à son domicile d’Outremont, dans un boisé qui ceinturait sa propriété cossue.

M. Rozon nie l’existence de ce boisé et prétend qu’il aurait été impossible, vu les 400 personnes qui festoyaient ce soir-là chez lui, y compris son épouse, de violer une femme dans son jardin bondé. Il n’y a pas d’endroit pour se cacher, a fait valoir M. Rozon mardi dans la salle de cour.

Me Lelièvre lui a montré des images satellites de sa résidence et des extraits vidéos pour faire preuve de la verdure, sous les objections de Me Morin, qui soutient qu’ils sont tous postérieurs à l’agression alléguée et ne peuvent donc faire état des lieux à l’époque.

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