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Les candidats se bousculent pour diriger les Eagles du Cap-Breton

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La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.

Les dirigeants des Eagles du Cap-Breton disent que plus d’une vingtaine de candidats ont communiqué avec l’équipe pour devenir leur prochain entraîneur-chef.

Louis Robitaille a annoncé le 12 mai qu’il quittait son poste, après avoir dirigé les Eagles pendant deux saisons.

Le club de la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ) basé à Sydney, en Nouvelle-Écosse, est ainsi à la recherche d’un cinquième entraîneur-chef en sept saisons.

Le propriétaire des Eagles, Irwin Simon, attribue cette instabilité à des raisons hors du contrôle de l’équipe.

Le mauvais moment, la malchance, des raisons personnelles. Ce n’est pas comme si nous avions congédié nos entraîneurs ou qu’ils ne voulaient pas être ici, a souligné Irwin Simon, jeudi, après une rencontre virtuelle avec les supporteurs.

Un entraîneur en Sibérie

Jake Grimes a rejoint le club du Cap-Breton pour la saison 2019-2020, mais a démissionné pour des raisons personnelles en novembre 2021. Son successeur, Chadd Cassidy, a cité des motifs similaires en cédant sa place après seulement quelques mois en poste. En juin 2023, le club et Jon Goyens, entraîneur pour une seule saison, se sont entendus à l'amiable pour prendre des chemins séparés.

Un homme portant des lunettes debout devant un panneau bleu décoré de logos de la LHJMQ.

Louis Robitaille aura dirigé les Eagles du Cap-Breton pendant deux saisons. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Paul Fontaine

Louis Robitaille, qui a gagné plus de 300 matchs comme entraîneur-chef des Tigres de Victoriaville, des Olympiques de Gatineau, puis des Eagles du Cap-Breton, quitte la LHJMQ pour diriger une équipe professionnelle en Russie.

Cette équipe, alignée dans la deuxième division du hockey russe, est située à Omsk, en Sibérie occidentale. Elle est affiliée au club Avangard Omsk de la Ligue continentale, le plus haut niveau du hockey professionnel en Russie.

Une photo prise en hauteur d'un secteur urbain de la ville d'Omsk, le soir, montre une dense circulation automobile entre deux rangées d'immeubles de sept ou huit étages.

Omsk, en Russie, est une ville d'un peu plus d'un million d'habitants. (Photo d'archives)

Photo : Reuters / Alexey Malgavko

Dans les jours depuis que Louis Robitaille a remis sa démission, les Eagles ont reçu au moins 20 curriculum vitæ, et la recherche active d’un nouvel entraîneur n’avait même pas commencé, selon le propriétaire Irwin Simon.

Dans les quatre ou cinq dernières années, nous n’avons jamais eu autant de candidats à un poste, a-t-il affirmé.

Le directeur gérant Sylvain Couturier dit qu’un de ces candidats, sans le nommer, a de l’expérience dans la Ligue américaine de hockey (LAH) et la Ligue nationale de hockey (LNH).

De voir qu’il y a autant de gens de cette qualité qui voudraient venir travailler ici me donne confiance que nous allons trouver la bonne personne, déclare-t-il.

Un homme assis en conférence de presse devant un panneau jaune et noir parle avec sa bouche.

Sylvain Couturier, directeur gérant des Eagles, espère que la recherche d'un nouvel entraîneur sera bouclée d'ici la fête du Canada.

Photo : CBC / Tom Ayers

Sylvain Couturier juge raisonnable que les Eagles trouvent leur nouvel entraîneur-chef d’ici le 1er juillet. L’équipe, ajoute-t-il, n’est pas pressée d’embaucher avant le repêchage de la LHJMQ, les 4 et 5 juin.

Les Eagles du Cap-Breton ont fini deuxièmes dans la division Maritimes derrière les Wildcats de Moncton en 2024-2025. Leur fiche de 34-23-4-3 les a placés 9es sur 18 équipes dans la LHJMQ. Ils ont été éliminés par le Drakkar de Baie-Comeau dès le premier tour des séries d’après-saison.

Irwin Simon se dit déçu par ces résultats, mais il considère que le club a une fondation solide, qui rend Sydney un endroit attrayant pour un entraîneur.

En pourparlers avec la Ville pour l'aréna

En parallèle, le dirigeant des Eagles vient de rencontrer la municipalité pour discuter d’améliorations à l’aréna où ils évoluent.

Le Centre 200 a ouvert en 1987 et les Eagles jugent qu’il a besoin de nouveaux sièges, et que des améliorations sont nécessaires aux vestiaires, aux entrées, au centre d’entraînement et aux concessions.

Des gens regardent des joueuses de curling sur la glace.

Le Championnat mondial féminin de curling a eu lieu en mars 2024 au Centre 200 de Sydney, au Cap-Breton.

Photo : Radio-Canada / Paul Légère

Irwin Simon affirme que les travaux demandés ne sont pas que pour le hockey. L’amphithéâtre accueille aussi des concerts, des expositions, des salons et des compétitions de patinage.

Le Centre 200 doit être pour les sports, les arts, un lieu de rencontre pour la communauté, déclare-t-il. L’édifice a besoin d’être rafraîchi.

Le maire de la Municipalité régionale du Cap-Breton, Cecil Clarke, a préalablement affirmé que le Centre 200 fait partie de quelques projets majeurs ayant besoin de financement, et qu’il s’attend à ce que ce dossier fasse partie des priorités du conseil municipal l’automne prochain.

D’après le reportage de Tom Ayers (CBC)

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