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Bastien Ohier / Hans Lucas
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La domination de la gauche par Jean-Luc Mélenchon et Raphaël Glucksmann, bien installés dans les sondages en vue de 2027, rend très incertaine l’hypothèse d’une primaire souhaitée par leurs rivaux.
Combien sont-ils à se partager un petit tiers de l’espace électoral français ? Jean-Luc Mélenchon, Raphaël Glucksmann, François Ruffin, Clémentine Autain, Marine Tondelier, Fabien Roussel, Bernard Cazeneuve, François Hollande… qui d’autre encore ? Afin d’arbitrer la bataille pour la domination de la gauche et présenter un front uni en 2027, d’aucuns, comme l’ex-candidate du NFP au poste de Première ministre Lucie Castets, réclament une primaire de la gauche. L’idée, parée de toutes les vertus démocratiques, suggère surtout la faiblesse de candidatures alternatives peinant à exister par elles-mêmes, quand le duo Mélenchon-Glucksmann, conforté par des sondages entérinant leur duel, semble pouvoir se passer de l’onction du fameux « peuple de gauche ». D’où cette question : sinon souhaitable, une primaire de la gauche est-elle du moins possible ?