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C’est dommage, mais je ne sais pas comment prendre un bain de mer avec un appareil photo en bandoulière, et discrètement. Dommage, dommage.
Hier, de passage dans le Var, j’en ai profité pour aller me jeter à l’eau, qui était à 27°.
En sortant de l’eau, j’ai découvert la voilée qui était arrivée à la plage en même temps que nous, dans une « délicieuse » robe longue orange recouvrant une tenue noire.
Elle avait retiré cette robe orange, et par dessous elle avait une autre robe, noire celle-ci, large et flottante, car on ne devait vraiment rien voir, rien deviner de son corps, et avec encore en dessous ce que j’ai identifié comme étant un burkini, qui dépassait de tous les côtés et qui lui enveloppait aussi les chevilles, le cou et les cheveux. On ne voyait que son long et gros nez et probablement pour ses coreligionnaires c’était encore trop.
Cela faisait beaucoup d’épaisseurs pour aller à la plage par 34° à l’ombre alors que tous les autres, les gens comme vouzémoi, se déshabillent le plus possible pour aller se baigner . Mais pour plaire à Allah rien n’est trop difficile ! Même et surtout quand c’est absurde, surtout quand c’est comme une punition malsaine.
Comme le dit si bien cette autre voilée, qui explique qu’il faut (sic) avoir chaud l’été pour plaire à Allah et que si on ne le fait pas, « la chaleur de l’enfer sera beaucoup plus pire » (resic). Je ne sais pas si elle a besoin de voiles, mais d’un Bescherelle c’est certain. Et de retourner en primaire pour qu’on lui explique l’utilisation de « pire » et du superlatif.
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De plus Allah n’aime pas les femmes, puisqu’il leur enjoint de se cacher. Alors pourquoi chercher à plaire à ce dieu qui n’aime pas celles qu’il a pourtant créées ? Belle incohérence.
Revenons à la voilée du moment. Elle était assise en bord de mer, n’ayant pas pu, pas su ou pas osé se baigner. Elle a donc dû voir comme moi la jeune femme qui sortait de l’eau comme une naïade, juste devant elle. Et devant moi car je la suivais.
Bien en chair, grande et belle, dans un étroit string vert clair, lumineux. J’avais ces deux femmes sous les yeux. Les deux ont été côte à côte quelques instants et se sont frôlées. C’était surréaliste. L’Occident vainqueur et l’obscurité islamiste. Poséïdon le dieu de la mer et Hadès le dieu des enfers. La vie et le malheur.
D’habitude je n’aime pas le string. Mais là je l’ai aimé, subitement et subtilement. La femme qui le portait était à l’évidence bien dans sa peau et sûre d’elle, juste ce qu’il fallait. Décontractée, concentrée dans le moment qu’elle vivait. Entre les deux femmes il n’y avait pas photo, comme on dit.
La voilée étant assise a paru toute petite à côté de la grande et belle jeune femme en string. Petite, cette voilée l’était assurément, dans tous les termes et pas seulement en nombre de centimètres. Elle ne tenait pas la comparaison. Recroquevillée sur ses talons, elle était seule avec deux femmes, l’une étroitement voilée, l’autre non. On avait dû lui dire qu’elle devait se montrer, pour faire progresser le voile étendard de l’islam, mais c’était raté.
Certainement un barbu frustré l’attendait à la maison pour la battre, tandis que le compagnon de la jeune femme en string avançait tranquillement à ses côtés, l’air jovial, sportif, faisant de grands gestes comme tout méridional qui se respecte, tout en en parlant joyeusement à sa compagne.
Une femme occidentale bien sans sa peau cela se salue, surtout en comparaison avec une voilée malheureuse. Car il faut être bien malheureuse pour se couvrir de ces oripeaux qui grattent et gênent évidemment, générateurs de sueur et de transpiration, sans parler des problèmes de peau et d’hygiène, quand dans d’autres pays que la France, des femmes sont battues ou tuées en raison de leur refus du voile. Mais en France cela viendra aussi, si l’on continue ainsi.
Femmes battues. Comme Roya Heshmati, qui en Iran a reçu 74 coups de fouet pour avoir osé apparaître sans voile. Elle a chanté pendant qu’on la fouettait. Un courage héroïque et un combat pour la liberté.
« À toutes les femmes d’Iran, d’Irak, d’Afghanistan, de tous les pays où l’islam sert la cause des dictatures théocratiques. À toutes celles qui arrachent leur voile avec des larmes et du sang : vous êtes les vraies héroïnes de notre temps. Signé Jin, Jiyan, Azâdi. » (Mouvement Femme, Vie, Liberté.)
Femmes tuées comme Mahsa Amini, battue à mort en Iran pour avoir laissé passer quelques cheveux. Et Amal en Algérie, qui osait aller à la fac de droit sans voile. On l’a fait descendre du bus et on l’a abattue. Comme tant d’autres. Pour avoir voulu vivre.
Quand on entend Hani Ramadan, frère du faux universitaire mais vrai serial violeur Tariq, dire qu’une femme sans voile est comme une pièce de monnaie qui passe de main en main, ceci explique cela, on est révolté.
Le soir j’avais mis le spectacle de la voilée à la plage, car c’en était un, dans un coin de mon cerveau. Et puis voilà que sur la promenade où je prenais un verre, se tenait également un salafiste, qui m’a fait penser à elle : longue barbe, moustache rasée, djellabah. Avec un autre du même genre, et sans femmes. Tout le monde se tenait éloigné de lui et les tables dans son coin étaient vides. Car ces gens-là inspirent la terreur. Ce sont des terroristes qui semblent toujours prêts à sortir une kalachnikov.
J’aurais aimé voir l’ensemble des dîneurs et des buveurs se lever, marcher comme un seul homme sur ce salafiste et lui dire « dehors, on ne veut pas de vous avec nous » mais personne n’a bougé. C’est pourquoi ces islamistes persistent à se montrer dans leurs délires.
Qu’attend-on pour expulser ces gens de France, car ils n’ont rien à y faire, que semer la terreur, la violence et l’abomination ?
Si on attend suffisamment longtemps, on aura le plaisir de voir voilées toutes celles qui disent que le voile est une liberté, un choix, un symbole, les Clémentine Autain, Sardine Ruisseau, et autres collabos. Et de les voir battues. Je n’ai pas dit tuées.
Est-ce que voir la France sombrer dans une ignorance débilitante, une intolérance agressive, une régression plus que moyenâgeuse, la perte de nos libertés et de nos valeurs, sera une consolation ? Il semble bien que non.
Sophie Durand