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Ce 31 mai, plus qu’une victoire, ce fut un naufrage étalé à la face du monde.
Victoire, certes, parce que le PSG a joué un jeu de maître de bout en bout, débordant un Inter de Milan pourtant habituellement coriace – ce soir-là l’ombre de lui-même – et dont le palmarès ferait trépigner de jalousie n’importe quel club.
Naufrage parce que la France est désormais comme ces pays d’Afrique qui ne peuvent rien célébrer autrement que par la violence tribale. Bilan : deux morts : un à Dax (Landes), poignardé, et l’autre renversé en scooter par une voiture, dans le 15e arrondissement de la capitale.
Le PSG, j’en connais les débordements depuis pas mal d’années, à commencer par cette finale de la Coupe de France que j’étais allé voir au Parc des Princes, en 1985, et gagnée par l’AS Monaco contre l’équipe parisienne. En sortant du stade, je me souviens avoir été exfiltré manu militari par l’adulte qui m’accompagnait parce que les supporters des deux équipes se bastonnaient sévèrement entre eux.
Ensuite, dans une autre vie – je vous parle d’un temps ! – j’étais animateur dans une école primaire juste en face du Parc des Princes et souvent, mes collègues et moi avions des sueurs froides en voyant déferler les supporters du PSG pour un match, particulièrement contre ceux du Galatasaray d’Istanbul, tandis que nous étions bloqués dans un bus et ne pouvions en descendre pour rentrer dans l’école. Ces mêmes mômes que nous avions une autre fois emmenés au Camp des Loges, à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), traités avec dédain par les joueurs du club, sauf un : le grand et modeste Raí, champion du monde en 1994 avec le Brésil. Un Raí toujours aussi sympathique hier soir sur M6, présent à Munich pour la victoire de son ancien club.
Mais cette violence était circonscrite alors et n’atteignait pas toute la France, encore un peu préservée de la « religion diversitaire » qui autorise maintenant ses fidèles à tout détruire, excusés systématiquement, notamment par les immondes traîtres à la Nation de LFI, qui n’ont pu s’empêcher de parler de « violences policières » lorsque, en réalité, la violence était du côté de leurs protégés samedi soir.
Et lorsque le co-éborgneur des Gilets jaunes historiques, Laurent Nuñez, se félicite du bilan « ferme » de samedi soir, il y a de quoi rire ! Non, il n’y a pas eu de réponse ferme, « monsieur » le préfet, tout simplement parce qu’à la tête de l’État on préfère traquer l’extrême droite plutôt que l’extrême pourriture !
Parce que la victoire aurait dû être belle et seulement belle au regard de ce match historique pour le club parisien, quelle tristesse de voir une fête – toutes les fêtes en réalité – saccagée par ces bandes diversitaires qui expriment ainsi, sans doute, leur frustration d’être des minables stériles, allant jusqu’à agresser ceux d’entre eux qui refusent ce déterminisme du chaos et tentent de réussir leur vie de façon saine.
Et même si Hakimi, après avoir ouvert le score, s’est couché pour remercier Allah, s’entourant plus tard les pattes avec le drapeau marocain – gestes contrebalancés par les signes de croix, dont ceux de Désiré Doué, auteur d’un magnifique doublé –, même encore si les drapeaux palestiniens étaient une nouvelle fois de sortie, je n’aurais voulu, de mon côté, retenir que cette image de victoire, et cet hommage rendu à l’entraîneur Luis Enrique avec un immense tifo représentant sa petite fille de neuf ans décédée d’un cancer et à qui il avait adressé, au moment de sa mort, ces mots : « Tu seras l’étoile qui guidera notre famille ». La petite Xana aura aussi été l’étoile du match d’hier. Une étoile ternie par des hordes diaboliques.
À propos de l’entraîneur espagnol, il aura jeté un sacré pavé dans la mare, prouvant que les stars égocentriques sont un handicap plutôt qu’un atout dans une équipe, ce qui changera sûrement la face du Mercato. Dommage pour le prétentieux Mbappé, ce « petit ange » parti au bon moment pour laisser gagner le PSG !
Sinon, petite joie mesquine mais que j’assume : voir le fils du raciste Lilian Thuram, Marcus, se ramasser tout au long du match a été pour moi un bonheur inénarrable !
Charles Demassieux