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Le polar pour penser l’après-guerre, avec Pierre Courrège et Harald Gilbers

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Publié le 06 juillet 2025 à 20:52. / Modifié le 06 juillet 2025 à 22:09. 2 min. de lecture

Chaque mois, Mireille Descombes présente son coup de cœur. La spécialiste de littérature noire et policière est à suivre aussi sur son blog: «Polars, Polis et Cie».

Alors que le monde a les yeux rivés sur les grands conflits en cours, deux auteurs de polars se concentrent, eux, sur l’après-guerre. Plus précisément sur les années de désolation, d’occupation et de reconstruction qui ont suivi la fin de la Seconde Guerre mondiale. Détail qui n’a rien d’anodin, tous deux ont pris comme enquêteur principal un juif allemand qui, miraculeusement, a échappé à la déportation.

«Mais l’après-guerre, qu’est-ce que c’est vraiment? La paix, la joie, oui, sans doute, mais pas seulement. Trop facile. L’après-guerre, c’est aussi l’onde de choc. La mémoire. Demain.» Dès la première page de La Photographie, le ton est donné. Pierre Courrège, réalisateur et scénariste français, emmène ensuite son lecteur rejoindre les rangs des agents du Shay, le service de renseignement de la Haganah, l’organisation paramilitaire clandestine de la population juive en Palestine mandataire. La mission de ces militants aguerris? Trouver, par tous les moyens, un portrait d’Adolf Eichmann. Afin de pouvoir le reconnaître. Et l’arrêter.

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