Language

         

 Publicité par Adpathway

Le photographe franco-britannique Ed Alcock remporte le prix Niépce Gens d’images 2025

1 month_ago 10

         

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway

Cet article vous est offert

Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous

Se connecter

Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement

 Hobbledehoy (2013)

Photo © Ed Alcock / MYOP

//

Title: Mother and son (II), Greece (2009)
Series: Hobbledehoy (2013)

Photo © Ed Alcock / MYOP Ed Alcock/MYOP

Par Christophe Sales

Publié aujourd’hui à 15h28, modifié à 16h59

Article réservé aux abonnés

Les faitsDécerné par l’association Gens d’images, le prix a cette année récompensé le photographe Ed Alcock pour ses travaux sur les thèmes de la famille, de la transmission et de l’identité.

Créé en 1955 par Albert Plécy, le prix Niépce Gens d’images est le plus ancien prix de photographie professionnelle lancé en France. Le double objectif de son fondateur : sortir les photographes de l’anonymat et les aider à déployer leur influence auprès du grand public.

Il a été décerné cette année à Ed Alcock, né en 1974 à Norwich au Royaume-Uni et installé à Paris depuis 2000. Membre de l’agence MYOP depuis 2011, le photographe franco-britannique est un fréquent collaborateur du Monde, et travaille aussi pour la presse internationale. « Ma pratique photographique s’inscrit dans une exploration intime et narrative du réel, explique-t-il. Elle entend tisser des liens entre l’individu et son environnement affectif, politique ou symbolique. »

C’est dans cette zone poreuse, entre le documentaire et l’autofiction, qu’Ed Alcock dit construire ses images, avec une attention particulière portée à la lumière, à l’ambiguïté des gestes et à la « narration fragmentaire ». « Une part essentielle de mon travail concerne mon histoire familiale. Mes projets, comme Buried Treasure, Love Lane ou The Wait, interrogent les non-dits, les secrets enfouis de ma famille, les failles générationnelles, développe-t-il. J’ouvre ainsi un dialogue avec une histoire plus large, celle de la classe ouvrière britannique, dont je suis issu. »

Collaborateur régulier du Monde depuis 2006, Ed Alcock a notamment travaillé sur le Brexit et ses ramifications sociales, politiques et culturelles des deux côtés de la Manche, réalisant une dizaine de reportages entre 2016 et 2021.

Il vous reste 0% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.

read-entire-article

         

        

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN  

Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway