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Le Nouveau-Brunswick envisage un 2e réacteur nucléaire à Point Lepreau

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La première ministre du Nouveau-Brunswick confirme que la province étudie la possibilité d’acquérir un second réacteur nucléaire CANDU.

Susan Holt a confirmé jeudi qu'undeuxième réacteur nucléaire est de retour sur la table et est étudié.

Cette nouvelle s'inscrit notamment dans la volonté de la province à soumettre de grands projets d'infrastructure au gouvernement fédéral qui est à la recherche de projets d'envergure nationale.

La province a misé au cours des dernières années sur le développement de petits réacteurs modulaires, mais les deux entreprises responsables de livrer cette technologie au Nouveau-Brunswick, ARC Clean Energy et Moltex Energy, ont fait état de retards importants qui pourraient compromettre l’objectif de les utiliser en 2030.

Cela change le portrait financier d’un éventuel réacteur dans le contexte où le calendrier de développement des petits réacteurs modulaires n’est pas celui espéré il y a 10 ans, indique Mme Holt, sans pour autant exclure complètement l’utilisation de futurs petits réacteurs modulaires.

Susan Holt affirme que l’énergie nucléaire est la plus économique pour les Néo-Brunswickois. Elle dit que son gouvernement analyse les retombées éventuelles d’un second réacteur, notamment en sondant l’intérêt de partenaires éventuels, comme les États-Unis et les provinces voisines.

Une idée évoquée depuis longtemps

L’idée d’un second réacteur nucléaire à Point Lepreau flotte depuis des décennies. Mais selon Susan Holt, la technologie évolue suffisamment pour que le projet soit à nouveau étudié.

Il y a eu une époque où un second réacteur nucléaire était un projet sur la table. Le site était prêt, les évaluations étaient faites. Le nucléaire a beaucoup évolué depuis. L’équipe de CANDU a investi dans une nouvelle génération de réacteurs, souligne Susan Holt.

Susan Holt en conférence de presse.

La première ministre du Nouveau-Brunswick Susan Holt a expliqué lors d'une conférence de presse que la province étudie l'option de se doter d'une deuxième réacteur nucléaire.

Photo : Radio-Canada

L’intérêt d’autres provinces pourrait aussi permettre des économies d’échelle, croit la première ministre.

Mais le chef du Parti vert, David Coon, doute que le projet permette de générer des économies à long terme.

Il souligne qu’en additionnant les coûts de l’augmentation de la dette d’Énergie NB et les coûts associés au traitement de l’uranium, comme la maintenance des installations, le personnel, les mesures de sécurité, sans compter les coûts de remplacement de l’électricité en cas de bris, que le projet comporte d’importants risques financiers.

Un rapport du vérificateur général de 2020 avait mis en lumière l’augmentation faramineuse des coûts de réfection de la centrale de Point Lepreau, qui se sont élevés à 1,3 milliard de dollars, ce à quoi se sont ajoutés des coûts d’un milliard pour le remplacement de l’énergie pendant les travaux.

L’examen d’Énergie NB se penchera sur le nucléaire

La province a commandé un examen indépendant d’Énergie NB. Selon Susan Holt, la contribution du nucléaire en fera partie.

L'évaluation complète d'Énergie NB va nous permettre de savoir comment les Néo-Brunswickois se sentent au sujet de l’énergie utilisée, que ce soit le solaire, l’éolien, le nucléaire, la biomasse, le charbon, l’hydrogène, dit-elle.

Le rapport d’expert évaluera toutes les options, a promis le gouvernement, incluant une vente d’Énergie NB.

Avec des informations de Jacques Poitras de CBC

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