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Chaque jour apporte son lot d’infamies et de mépris. Yaëlle Braun-Pivet, Présidente de l’Assemblée Nationale, en ajoute une couche, présupposant le budget qui sera présenté par François Bayrou, le premier ministre en date. Et autant dire qu’il ne s’agira pas d’économie sur le budget de l’Etat, levons tout de suite l’insoutenable suspens. Elle a en effet déclaré « on ne peut pas exclure d’emblée toute hausse d’impôts », ce qui, à priori, était écarté. Il est vrai qu’il faut trouver 40 milliards d’euros d’économies, et ce ne sera pas l’État qui fera l’effort, rassurez-vous !
Elle se dit également favorable à une année blanche et estime de surcroît, que « les retraités les plus aisés pourraient davantage être mis à contribution ». Elle plaide pour la suppression de l’abattement fiscal de 10 % sur les pensions. C’est sans doute une question de sémantique, mais lorsque l’on rogne sur les avantages fiscaux ce n’est que de l’impôt, pas autre chose ! Et puis ce n’est pas comme si ce Gouvernement était responsable de cette situation de dette, évidemment, voyons.
Rappelons toutefois que le TVA sur l’abonnement d’électricité va passer de 5.5 à 20 %, que le gaz va augmenter prochainement de 6.5 % pour ne citer que ces deux exemples. La Présidente de l’Assemblée veut aussi s’attaquer aux héritages, donc aux frais de succession. Oui, vous savez, ce que vous avez pu économiser toute votre vie en payant impôts, taxes et charges sociales et que vous souhaitiez transmettre à vos enfants, et bien l’État se sert, là aussi.
Mais alors, les économies à faire sur le budget de l’État, pourquoi pas ? Vous plaisantez, il n’y a rien à voir ! Un récent rapport parlementaire épingle le CESE (Comité Économique Social et Environnemental) qui ne produit pas grand-chose en dépit de ses 154 salariés. Certains touchent 2 500 euros nets par moins pour 4 jours de travail ! Une dérive de plus, entre autres dysfonctionnements de cette instance et qui coute 34.4 millions d’euros chaque année pour ne quasiment rien produire. Doit-on répéter ici les financements de projets absurdes, à l’étranger ?
Certains ont confié les rênes du pays à des incapables, des menteurs, tous très intéressés par l’argent et la situation. Nous ne sommes pas collectivement responsables de ce déficit abyssal, ce sont eux les coupables. Il est grand temps de faire session, de dire non, halte à la gabegie, arrêtons l’hémorragie.
Sylvain Devaux