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LE BLOC-NOTES - Les condamnations dérisoires prononcées par la justice contre les casseurs qui ont saccagé Paris après la victoire du PSG en Ligue des champions montrent la nécessité d’un renversement de l’ethos judiciaire.
À l’aube du XXIe siècle, Philippe Muray, chroniqueur acerbe de la modernité, moquait « l’Homo festivus », cet animal en transition, occupé à travestir le temps en une sorte de « happening » permanent, à organiser la « festivisation » du monde, cette dissolution du réel, entamée en 1968, et tendant, notamment, à l’indifférenciation des sexes ou des âges - tous confondus dans une « mélasse générale ». « Derrière les fumigènes, prédisait-il, un autre monde, que probablement on ne veut pas voir. »
À l’évidence, les choses ne se sont pas améliorées depuis la disparition de l’écrivain : c’est peu dire que l’usage contemporain du mot « fête » suscite la perplexité. Comment ne pas voir dans l’hyperviolence qui accompagne, avec systématisme, les « liesses » d’après-match dans le foot une forme de dégénérescence culturelle ? Dans la liturgie moderne, les destructions, les pillages, les agressions et les drames humains viennent désormais se greffer aux réjouissances…