DESTOCKAGE DES LIVRES DE LAURENT GLAUZY – LIVRES A 5 €

DEMANDEZ LA LISTE ([email protected])

POUR NOUS SOUTENIR ACHETEZ NOS LIVRES SUR LA VRAIE TRADITION CATHOLIQUE

Les mêmes personnes qui ont encouragé la recherche risquée en laboratoire gagnent depuis longtemps de l’argent sur la prochaine « épidémie ».

COVID-19 n’était pas un échec – c’était un modèle commercial.

Et ce sont précisément les mêmes acteurs qui ont rendu possible une recherche dangereuse sur les gains de fonction qui se préparent aujourd’hui au prochain cycle de profit. Il ne s’agit pas d’alarmisme, mais de reconnaissance de modèles.

Et oui – vous pouvez faire quelque chose à ce sujet.

Les informations suivantes proviennent du travail d’un médecin du Midwest américain. Vous trouverez la version complète avec plus de 15 000 mots, toutes les sources et les détails clés à la fin de ce rapport.
Pourquoi les pandémies ne finissent-elles jamais vraiment ?

Parce que les pandémies représentent de l’argent.

Elles sont un modèle commercial : Chaque nouvelle « menace » signifie plus de pouvoir pour les autorités sanitaires.
Plus de subventions pour Big Pharma.
Plus de clics pour les campagnes médiatiques de peur.

Les remèdes sont rarement efficaces – mais l’argent coule toujours à flot.

Derrière ce cycle se trouve l’industrie de la biodéfense – un empire perverti qui produit exactement les catastrophes qu’il est censé empêcher.

Elle mène des recherches sur le gain de fonction et produit des agents pathogènes dangereux. Et si une fuite survient dans un laboratoire ? Tous ceux qui posent des questions sont traités de conspirationnistes.
Sans les médias, ce serait impossible.

Il faut de la panique. Un battage médiatique. Un virus effrayant. Des vaccins à la rescousse.

Qu’il s’agisse du COVID, de la grippe aviaire ou d’autre chose, le scénario est toujours le même. Et les médias jouent le jeu, car leurs plus gros clients publicitaires sont Big Pharma.
COVID en a réveillé plus d’un

Des fuites en laboratoire ? Réalité de la situation.
La recherche sur les armes biologiques ? Dangereux pour la santé.
Des laboratoires qui fuient ? De tous les jours.

Selon un rapport, rien qu’aux États-Unis, des pannes de laboratoire se produisent jusqu’à quatre fois par semaine.

Et ce sont les mêmes personnes qui financent ces laboratoires dangereux qui exigent les prochains vaccins.
Un médecin révèle tout

Un médecin du Midwest a publié un rapport de révélation qui fait le lien entre :

de fausses pandémies,
la cruauté envers les animaux et
la fraude médicale
révèle au grand jour.

Peter Hotez, l’une des voix les plus fortes contre la théorie des fuites de laboratoire, a aidé à financer la recherche sur le coronavirus à Wuhan en 2017 – avec des fonds qui étaient en fait destinés à des mesures de sécurité en cas d’accident de laboratoire.

Quand la fuite s’est produite ? Il a tout nié. A haute voix.

Si ce n’était pas aussi catastrophique, on pourrait presque en rire.
Et tout devient encore plus sombre

De la variole à l’anthrax, en passant par l’Ebola et la variole du singe, nombre de ces épidémies pourraient avoir commencé dans des laboratoires.

Saviez-vous que la maladie de Lyme est apparue pour la première fois à côté d’une installation d’armes biologiques du gouvernement américain ?

Ou que la marine américaine a pulvérisé des bactéries sur San Francisco en 1950 – avec des décès à la clé ? L’agent pathogène est ensuite devenu endémique.
Les animaux – torturés par millions

Des millions d’animaux sont utilisés abusivement dans les laboratoires, souvent sans aucune nécessité scientifique.

Pourquoi ?

Parce que cela rapporte des subventions.

Certains laboratoires infectent délibérément des animaux avec des virus dangereux afin de développer des « traitements futurs ». C’est une question d’argent.

La vivisection – l’ouverture d’animaux vivants – est cruelle, dépassée, généralement inutile. Et pourtant, plus de 100 millions d’animaux sont tués chaque année dans le cadre d’expériences – souvent sans utilité médicale.
Qui fait cela ? Et qui l’arrête ?

Une organisation fait de la résistance : White Coat Waste Project.
Ils ont révélé que 20 milliards de dollars d’argent des contribuables ont été dépensés dans des expériences animales cruelles et inutiles – entre autres aussi dans des « tests transgenres » bizarres sur des animaux et des recherches de gain de fonction sur des chauves-souris en Chine.

Dans de nombreux cas, 92 % des fonds ne vont pas à la recherche, mais à l’institution elle-même. C’est un système de pots-de-vin.

C’est pourquoi les États défendent même des laboratoires dont personne ne veut – à cause des subventions du NIH (ministère de la santé américain).
Et à chaque fois, le même jeu se répète

Le public est effrayé
De nouveaux vaccins sont financés
Le cours des actions explose
Les initiés vendent avec profit
Les produits font un flop
Le public oublie

Rincer les choses. Répéter .
Qu’est-ce qui aide vraiment à lutter contre les maladies virales ?

Pas ce qui est prescrit.

Les vaccins contre la grippe ne sont guère efficaces.
Le Tamiflu est un échec.
Les masques et les systèmes de verrouillage ont échoué.

Mais la lumière du soleil, les rayons UV, la vitamine D, le jeûne et les antiviraux naturels ? Ils fonctionnent – et ils sont pratiquement gratuits.
La lumière du soleil : le remède antiviral oublié

Avant que Big Pharma ne prenne le relais, les médecins traitaient les infections avec la lumière du soleil – pour la tuberculose, la grippe, la pneumonie.

Elle est gratuite, sûre et active la vitamine D. C’est précisément pour cela que personne ne veut que vous l’utilisiez.
Ce qui fonctionne autrement (mais est supprimé)

Extrait de feuilles d’olivier
Sureau
Pots neti
Peroxyde d’hydrogène (oreilles/nez)
peroxyde nébulisé ou ozone
Jeûne
Bouillon d’os
Ne pas supprimer la fièvre
Désinfection précoce du nez et de la gorge
Lumière du soleil
Doses élevées de vitamines C & D

Tout cela n’est pas nouveau – juste supprimé.
Ce que l’histoire nous apprend

En 1918, pendant la pandémie de grippe, les personnes qui jeûnaient ou mangeaient légèrement avaient de meilleures chances de survie.

Celles qui prenaient de l’aspirine pour faire baisser la fièvre mouraient plus souvent.

Car : la fièvre est un mécanisme de défense, pas un ennemi.

Elle tue les agents pathogènes. Si on la supprime, on risque de transformer une maladie légère en une maladie grave ou chronique.
Potentiel zêta – le facteur sous-estimé

Un bon prédicteur de l’évolution d’une infection grave est le potentiel zêta – la capacité du corps à laisser les liquides et le sang circuler librement.

De nombreuses complications sont dues à l’épaississement du sang et à la congestion lymphatique.

Les vaccins et les infections peuvent le perturber.
Le jeûne et les thérapies oxydatives peuvent le rétablir.
Conclusion : réparez le terrain, pas seulement le germe.

La science pourrait résoudre tout cela – mais notre système n’est pas axé sur la guérison, mais sur le profit par la maladie.

Tant que nous récompenserons les échecs et ignorerons les thérapies efficaces et bon marché, nous aurons plus de fausses pandémies et moins de vraies solutions.
Le temps d’agir, c’est maintenant

Heureusement, le mouvement « Make America Healthy Again » prend de l’ampleur.

Avec un nouveau leadership et un public éveillé, il y a une chance de miser sur des thérapies honnêtes, peu coûteuses et éthiques.

Nous avons une chance de connaître la vérité.

La seule question est : allons-nous la saisir ?

*

Nous vous remercions de votre lecture ! Ces informations sont basées sur un rapport publié à l’origine par A Midwestern Doctor. Les détails importants ont été rationalisés et rédigés dans un souci de clarté et d’impact. Lisez le rapport original ici.