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L’Iran est partie prenante dans la préparation d’un Troisième Conflit mondial. Le 8e tome des SUPER-LOGES atteste bien que les super-loges ont investi le pays des mollahs.

L’ancien chef d’État iranien, Akbar Hashemi Rafsanjani, est décédé le 8 janvier 2017, à Téhéran, à l’âge de 82 ans. Un correspondant du Neue Zürcher Zeitung au Proche-Orient a résumé, à cette occasion, sa carrière politique comme suit : « Depuis la révolution de 1979 à laquelle il a participé en tant qu’ami de l’ayatollah Khomeini, il a occupé presque tous les postes importants en Iran. C’était un politicien de premier plan qui tirait les ficelles ; il faisait partie de l’élite corrompue, il était un confident et en même temps un rival du chef suprême. Il a puissamment participé à l’édification du programme nucléaire iranien et a fait partie, plus tard, des partisans du traité sur le nucléaire.

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Valiollah Seif est un membre fondateur iranien de l’« Hathor Pentalpha », qui occupait le poste clé de directeur de la banque centrale iranienne,

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Les supra-maçons extérieurs à l’Iran lancent des ballons à ceux qui sont à l’intérieur de l’Iran — et inversement. Tout l’art consiste à faire en sorte que les radicaux islamistes fanatiques, qui n’ont aucune connaissance de l’existence des loges supranationales de très haut grade, voire même de loges maçonniques sur le territoire iranien, ne remarquent pas la terrible mise en scène.

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Khomeini est décédé en 1989. Les super-loges comptaient sur Rafsanjani, dont elles ont toujours été proches sans toutefois pouvoir exercer une grande influence sur lui, espérant récupérer le contrôle maçonnique total du pays. Après avoir constaté que cette espérance était illusoire, la nouvelle super-loge « Hathor Pentalpha », en particulier, pensa utiliser les attentats terroristes du 11 septembre 2001, qu’elle avait elle-même mis en scène, comme prétexte pour une intervention militaire américaine en Iran aussi, d’autant plus qu’elle y maintenait en alerte quelques-uns de ses membres fondateurs, notamment le célèbre Rafsanjani, pour ensuite prendre immédiatement le pouvoir.

Bien qu’à l’époque, la totalité des médias occidentaux aient tenu, pendant des mois, des propos particulièrement haineux vis-à-vis de l’Iran, et que de nombreux observateurs pensaient qu’une guerre contre le pays était imminente – il y avait là une preuve suffisante que l’« Hathor Pentalpha » n’était pas la seule derrière ce plan ! Cependant, la conquête envisagée, en secret, en tant que campagne militaire contre l’Iran, l’Afghanistan et l’Irak par les troupes des États-Unis, dans les années 2001 à 2004, a finalement échoué, et a conduit les États-Unis et, généralement le monde occidental, à un changement de mentalité. Il n’était plus question d’attaquer militairement l’Iran.

C’est la raison pour laquelle, en 2006, l’État d’Israël se laissa embrigader par les super-loges, qui le dirigent aussi fermement, pour mener au Liban une guerre par procuration contre les miliciens iraniens du Hezbollah, guerre qui se termina cependant de façon inattendue et sans gloire pour l’État juif au bout de quelques semaines et profita davantage aux ayatollahs de Téhéran qu’elle ne leur causa de tort.

Il s’en suivit le lancement du programme nucléaire iranien porté expressément par le maçon de très haut grade Rafsanjani. Il ne fait aucun doute qu’il l’a uniquement soutenu pour que le régime clérical puisse être attaquable sous cet aspect, et l’a même peut-être déclenché ! L’énorme pièce de théâtre qui se jouait depuis des années tout autour de la soi-disant intention de l’Iran d’effacer de la surface de la terre Israël avec des armes atomiques construites par ses soins, fut le prétexte à de lourdes sanctions économiques. Cependant, aucune d’entre elles ne fut fatale pour le régime théocratique, comme on l’espérait. Celles-ci débouchèrent à la place sur un contrat nucléaire qui, sur le fond, n’apporta aucune satisfaction ni aux super-loges, ni aux mollahs les plus radicaux. Et, certainement pas aux super-loges, parce qu’elles n’affaiblirent pas les ayatollahs, mais les renforcèrent plutôt grâce à la levée partielle des sanctions !

Il était grand temps de remettre en place les sanctions avant qu’elles n’expirent complètement et c’est la raison pour laquelle Donald Trump dénonça à nouveau le contrat nucléaire. Ce n’était pas davantage une solution éprouvée car les sanctions étant des armes à double tranchant, l’opposition tant européenne que chinoise pouvaittout aussi bienrefléter de très graves conflits d’intérêts entre boycott économique de l’Iran et bonnes affaires en milliards de dollars pour des entreprises impliquant de nombreux supra-maçons.

Le traité iranien sur le nucléaire est entré en vigueur, sous le signe d’une symbolique maçonnique secrète, le 16 janvier 2016. La grande majorité de nos contemporains ne se sont aperçus de rien. C’est Share international, organe contrôlé par les super-loges, qui attira l’attention sur le fait que l’événement avait eu lieu précisément le même jour, où 37 ans plus tôt, le shah (membre de deux super-loges) « avait quitté son pays pour toujours. C’était donc le jour à partir duquel les super-loges n’avaient pas réussi à reprendre le contrôle de l’Iran en toute fiabilité.

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