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La sonde, qui a décollé jeudi 29 mai, doit rapporter fin 2027 des fragments de matière d’un astéroïde dont on soupçonne qu’il provient de la Lune. Elle étudiera ensuite l’objet « cométaire » 311P/Panstarrs pour tenter de comprendre l’origine de ses queues.
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Après les missions Chang’e, qui ont permis de ramener des échantillons lunaires, y compris de sa face cachée, et la première mission Tianwen, qui a exploré Mars, la Chine se lance à l’assaut des astéroïdes. Partie de la base de Xichang, dans le sud-ouest du pays, à bord d’une fusée Longue Marche 3B, la sonde Tianwen-2 a commencé jeudi 29 mai un périple de plus de dix ans qui la verra étudier deux astéroïdes aussi singuliers l’un que l’autre.
La première cible s’appelle « Kamo’oalewa », un astéroïde découvert en avril 2016 par l’observatoire hawaïen du Haleakala, qui a la particularité d’avoir une orbite très semblable à celle de la Terre autour du Soleil. Sa période de révolution est extrêmement proche de la nôtre (365,9 jours), sa distance au Soleil aussi, même si elle varie de 0,9 à 1,1 fois la distance Terre-Soleil – ce qui fait que l’astéroïde est relativement proche de notre planète.
Mais ce qui fait que ce « quasi-satellite » intéresse les scientifiques tient davantage à sa géologie : son orbite et son apparence suggèrent qu’il pourrait s’agir d’un morceau de la Lune arraché lors de la collision de celle-ci avec un impacteur. Plus précisément, Kamo’oalewa présente les mêmes caractéristiques spectroscopiques que les silicates lunaires. Il pourrait provenir du cratère Giordano-Bruno, formé après une collision sur la face cachée de la Lune il y a 1 à 10 millions d’années, une hypothèse que des modèles numériques ont validé, d’après une étude publiée par une équipe internationale dans Nature, en 2024.
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