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En se conformant à la politique du président des Etats-Unis et en effaçant de ses tablettes le titre de la nageuse Lia Thomas, l’université de Pennsylvanie s’est dédouanée d’une enquête fédérale et a récupéré des subventions publiques gelées.

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La nageuse transgenre Lia Thomas, de l’université de Pennsylvanie, lors d’une compétition à Cambridge (Massachusetts, Etats-Unis), le 22 janvier 2022. La nageuse transgenre Lia Thomas, de l’université de Pennsylvanie, lors d’une compétition à Cambridge (Massachusetts, Etats-Unis), le 22 janvier 2022.

Après plusieurs mois de tension, l’affaire a trouvé un épilogue étonnamment rapide. Mardi 1er juillet, l’université de Pennsylvanie (UPenn) a déchu la nageuse transgenre Lia Thomas des titres qu’elle avait remportés sous sa bannière lors du championnat national universitaire américain (National Collegiate Athletic Association, NCAA), en 2022. Elle s’est également engagée à ne plus accepter de sportives transgenres dans ses équipes féminines.

Dès le lendemain, 175 millions de dollars de subventions publiques – gelés depuis mars –, destinés à ce prestigieux établissement privé d’enseignement supérieur, étaient débloqués, et l’enquête fédérale qui le ciblait depuis la même période n’était plus qu’un mauvais souvenir.

« Nous avons mis un terme à une enquête qui, si elle n’avait pas été résolue, aurait pu avoir des conséquences importantes et durables pour l’université de Pennsylvanie », a expliqué dans un communiqué James Larry Jameson III, le président de cette institution qui compte parmi les plus anciennes et les plus sélectives du pays, et dont Donald Trump est diplômé.

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