NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
Les craintes d'une attaque russe envers l'OTAN ne cessent de croître au fil de l'avancée de la guerre en Ukraine. En janvier dernier, l'amiral néerlandais Rob Bauer, chef du comité militaire au sein de l'Otan, avertissait que l'Alliance devait "s'attendre à l'inattendu" et se préparer à une attaque russe. Les images satellites récemment publiées par le New York Time montrant que les Russes seraient en train de construire des bases militaires le long de la frontière finlandaise, ne font qu'augmenter ces craintes. Ainsi, des experts militaires russes ont expliqué la démarche de Vladimir Poutine envers l'OTAN : "Lorsque les troupes reviendront [d'Ukraine], elles observeront de l'autre côté de la frontière un pays qu'elles considèrent comme un adversaire".
Selon un rapport du Centre d'études stratégiques et internationales, la Russie mène une campagne de sabotage et de déstabilisation de plus en plus violente contre des cibles européennes et américaines en Europe. Le rapport indique que le nombre d'attaques russes envers l'Europe a presque triplé entre 2023 et 2024.
"L'OTAN doit s'attendre à l'inattendu" : ces signes qui indiquent que la Russie ne s'arrêtera pas après l'UkraineCe mercredi, le général Sir Roly Walker, chef de l'armée britannique, a prononcé un discours devant le Royal United Services Institute (RUSI). Dans celui-ci, il est revenu sur les défis et menaces auxquels l'OTAN est aujourd'hui confrontée. Newsweek rapporte ses propos : "La menace est bien réelle pour l'OTAN. Nous avons vraiment de sérieux défis à relever collectivement. Le plus grand défi auquel nous sommes confrontés, parmi tant d'autres, est tout simplement le manque de temps. Un sentiment d'urgence est nécessaire pour répondre aux menaces auxquelles nous sommes confrontés".
Le chef de l'Otan s'attend à un accord des membres de l'alliance sur la norme de 5% du PIBFace à cette menace russe, les États-Unis estiment qu'il est urgent que les pays membres de l'Otan augmentent leurs dépenses militaires. Ils exigent du Canada et des pays européens de l'Otan qu'ils consacrent au moins 5 % de leur Produit intérieur brut (PIB) à leur défense, un effort considérable qui semble hors de portée pour la plupart des pays de l'Alliance.
Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.