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La grogne contre les restrictions budgétaires en éducation ne s’essouffle pas

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La grogne contre les restrictions budgétaires en éducation ne s’essouffle pas, alors que la coalition s’agrandit et que la pétition sur le site de l’Assemblée nationale approche les 150 000 signatures.

De nouveaux groupes viennent de se joindre à la coalition, a annoncé lundi la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). Il en est ainsi de l’Association des commissions scolaires anglophones, de la Société québécoise de la déficience intellectuelle, de la Fédération québécoise de l’autisme et de la Coalition de parents d’enfants à besoins particuliers du Québec, entre autres.

Des employeurs se retrouvent donc dans la même coalition que des syndicats qui représentent des enseignants, du personnel de soutien scolaire et des professionnels de l’éducation, en plus de parents d’enfants.

« Le but, c’est d’avoir quelque chose qui ne s’est jamais fait : regrouper tout ce monde-là et d’envoyer un message : on ne peut pas tolérer les coupes en éducation », a lancé le président de la CSQ, Éric Gingras, en entrevue lundi.

Même si le ministre de l’Éducation a demandé de toucher le moins possible aux services directs aux élèves, les acteurs du milieu estiment que cela sera impossible, vu l’ampleur de la commande de Québec.

« Les premiers touchés sont ceux qui n’ont pas cette espèce de plancher [d’emploi] là. Et ça, ce sont, par exemple, les techniciennes en éducation spécialisée — on va retirer des heures — le personnel qui s’occupe des élèves handicapés, que ce soit nos collègues psychoéducateurs, que ce soit nos collègues psychologues. Ce sont eux les premiers touchés, parce qu’on vient couper des heures. Et, après ça, c’est tout le monde qui est touché. On touche aux services de ceux qui en ont le plus besoin. Puis après ça, ce sont les autres, parce qu’ils perdent du temps, ils perdent de l’énergie, ils perdent de la capacité d’intervention, parce qu’il y a plus d’élèves auprès desquels il faut intervenir. Donc, à la fin, tout le monde est touché », a résumé M. Gingras.

À la fin de l’année scolaire, Québec a annoncé que le réseau devra réduire ses dépenses de l’ordre de 570 millions de dollars. Québec nie qu’il s’agit de véritables coupes, disant simplement ralentir le rythme de croissance du budget en éducation, qui augmentera de cinq pour cent au lieu de sept pour cent, lors des années précédentes.

Par ailleurs, la pétition qui demande de ne pas procéder à des restrictions budgétaires en éducation, mise sur le site de l’Assemblée nationale le 23 juin, avait recueilli 149 000 signatures, lundi midi.

Les intéressés ont jusqu’au 15 septembre pour la signer. Elle est parrainée par le député péquiste Pascal Bérubé, porte-parole de son parti pour les dossiers d’éducation, et lui-même enseignant de formation.

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