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La fondation du plus grand hôpital du Canada atlantique lance un sondage pour mieux comprendre la santé des femmes des Maritimes.
La Fondation IWK est un organisme à but non lucratif soutenant le Centre des sciences de la santé IWK, situé à Halifax, en Nouvelle-Écosse.
Jennifer Gillivan, présidente de cette fondation, invite les femmes de 18 ans et plus en Nouvelle-Écosse, au Nouveau-Brunswick et à l’Île-du-Prince-Édouard à partager leurs expériences, les obstacles ou les défis qu’elles ont rencontrés, et les résultats qu’elles ont obtenus.

Pour obtenir le plus de réponses possible, la Fondation IWK a lancé une campagne de publicité sur les réseaux sociaux à destination des femmes de la région.
Photo : Radio-Canada
Les femmes des Maritimes ont des histoires de santé à raconter. Nous les partageons avec des collègues, des amies et des membres de la famille autour d’une tasse de thé ou d’un verre de vin. Pour mieux comprendre vos expériences et identifier les lacunes dans les soins aux femmes, nous voulons comprendre ce que vivent les femmes des Maritimes, indique l’énoncé du sondage, présentement en ligne (nouvelle fenêtre).
Le sondage est anonyme.
Il contient des questions comme : Qu'est-ce qui a l'impact le plus positif ou le plus négatif sur votre santé physique globale? ou Que faudrait-il pour que votre santé mentale atteigne 10 [sur 10]?
Une partie de notre mandat est d’informer les femmes et de parler en leur nom. Ainsi, nous avons réalisé que nous avons besoin d’écouter les femmes. Nous avons besoin de voix féminines, a expliqué Jennifer Gillivan lors d’une entrevue, jeudi.
Les résultats seront décortiqués par une équipe de chercheurs. La Fondation IWK espère être en mesure de les partager avec le public le 1er octobre.
Selon l’organisme, cela pourrait aider à voir où il y a des lacunes dans le système de santé, que ce soit un manque d’information sur les services et outils disponibles, ou dans la prestation des soins aux patientes.
Il y a un réel besoin de mettre l’accent sur la recherche sur la [santé des] femmes, parce que la recherche mène à de meilleurs soins, dit Jennifer Gillivan. Et nous avons besoin de mieux former les médecins à la santé des femmes.
La santé des femmes a été historiquement sous-étudiée et sous-financée, affirme-t-elle. Elle déclare que seulement 7 % du financement national total à la recherche leur est consacré, alors que les femmes représentent environ 50 % de la population.
Les résultats seront partagés avec l’hôpital IWK, mais aussi avec quiconque voudra les consulter, que ce soient les régies de santé, les gouvernements ou des organismes à but non lucratif, indique Jennifer Gillivan.
D’après le reportage d’Aly Thomson (CBC)