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Incapables de juguler la criminalité en croissance exponentielle en France, refusant de condamner « certains » assassins sous le prétexte qu’ils manquent de discernement, et libérant à tours de bras des voyous et des terroristes pour des vices de formes dont ils sont responsables, des Zorros de prétoire voudraient imposer à la terre entière leur conception de la justice politique. Stalinienne et tiersmondiste.

Dernière cible de leur vindicte, une « unité fantôme » franco-israélienne

Des informations fournies par le Hamas, qu’on est tenus de croire, et cautionnées par des traîtres israéliens, dhimmis d’extrême gauche, ont tartiné de miel les croûtons malfaisants de LFI. Ces énergumènes dont on connaît l’agressivité pro-islamiste, soutiennent le procès que des ONG gazaouies, complaisantes envers le terrorisme, réclament contre des snipers franco-israéliens qui auraient éliminé un certain nombre de djihadistes.

Pour les téléphages lobotomisés, on emploie tout se suite les grands mots : crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Dont seraient victimes les djihadistes qui ignorent les conventions de Genève et font preuve d’une immense inhumanité. Allant jusqu’à égorger des enfants et des bébés. Et s’en prévalent comme autant d’actes héroïques.

Sans jamais suggérer dans les médias vendus aux pétro-dollars que l’élimination de ces tueurs implacables, ayant commis des crimes horribles et prêts à recommencer, relève de la légitime défense. Et de la prévention des récidives. Même si ces fanatiques endoctrinés dès le berceau renouvellent en permanence leurs troupes en y incorporant leurs propres enfants.

Le tribunal judiciaire de Paris serait donc compétent pour juger des soldats ennemis (puisque Macronescu est en guerre contre Israël, de même que contre la Russie) appartenant à l’armée régulière d’un pays belligérant.

Il ne s’agit pas de milices recrutées dans les bas fonds, ni de va-nu pieds commandés par des mercenaires comme en Ukraine. Mais du 9e peloton « Refaïm » unité fantôme en hébreu, de la compagnie auxiliaire du 202e bataillon incorporé à la 35e brigade de parachutistes « Shfifon ». Une unité d’élite où les recrues doivent passer des tests très sélectifs pour être admis. Leur furtivité et leurs capacités de réactions rapides sont des conditions sine qua non pour la réussite des opérations de nettoyage.

Ces commandos et ces snipers opèrent en territoire ennemi, au milieu de populations hostiles, à la merci de tireurs en embuscade et de pièges mortels de toutes sortes. Et on leur reproche des ruses de guerre et l’approche discrète de leurs cibles, comme si l’ennemi islamique opérait au grand jour et en fanfare. Alors que ces pleutres n’ont pas d’uniforme reconnu. Et se terrent dans les égouts, quand ils n’utilisent pas leurs coreligionnaires comme boucliers humains. Logements, commerces, écoles, mosquées, hôpitaux, dispensaires, ONG tout est bon pour servir de camouflages.

La guerre ne laisse souvent d’autre alternative que tuer ou être tué. Mais c’est trop facile après l’assaut de qualifier de bavures, les civils derrière lesquels les moudjahidines se sont planqués. Surtout quand l’initiative des poursuites est laissée à Karim Ahmed Khan, mahométan rigoriste, procureur général de la CPI Commission Pan Islamique de l’ONU.

La définition des délits et des crimes internationaux varie selon la confiance qu’on accorde à des sources polluées et l’interprétation très orientée qu’on en donne.

Un terroriste qui pose sa kalach pour aller déféquer, devenu une cible plus facile, sera considéré comme un civil désarmé victime d’une action militaire illégitime. Idem pour un assassin multirécidiviste lorsqu’il roupille. Avec une telle jurisprudence, on n’aurait jamais dû toucher aux anciens dignitaires nazis réfugiés en Amérique du Sud ou au Proche Orient. Du moment qu’ils n’étaient plus en situation de nuire.

Mais il y a des exceptions. Toujours à la tête du client. Des juges européistes se sont arrogés une compétence universelle, et ont traqué d’anciens subalternes de Papy Nochet et de Videla. Ils ont même poussé l’audace jusqu’à pourrir la vie de quelques sous-fifres de Sadamucène, de Kadhafi ou des Assad père et fils. Mais ils n’ont jamais été assez couillus pour s’en prendre aux tueurs Tchétchènes de l’émirat du Caucase infiltrés en Europe. Pas plus qu’aux islamo-mafieux albano-kosovars.

Quant à Al-Qaïda et Daesch, on a laissé le sale boulot aux Ricains. Qui conchient les tribunaux transnationaux. Mais pas touche aux assassins du Hamas et du Hezbollah. Les éliminer est intolérable pour l’ultra gauche qui en a fait des « résistants ». Et détourne les canaux d’information qu’elle accapare pour enfumer un public qui ne dispose pas de toutes les données géostratégiques pour se forger une opinion.

Un individu qui cache une arme de poing ou une grenade sous ses vêtements, ou porte un coutelas attaché au bras ou à la jambe, est d’autant plus dangereux qu’on se méfie moins de lui. Il paraît désarmé, donc inoffensif. N’attendant qu’une occasion propice pour passer à l’action. Un moment d’inattention des incroyants trop sûrs d’eux. Et ce ne sera pas une cascade de cinéma ! Tant pis si le djihadiste périt, pourvu qu’il nuise au maximum. Puisque ces lascars ne craignent pas la mort et même la recherchent.

Grâce à des montages d’images et des témoignages bidonnés, l’objectif est de faire croire à l’opinion occidentale que des pauvres bougres pacifiques et désarmés sont abattus dans la rue, au hasard, par des snipers pour passer le temps. Dans un colossal retournement accusatoire. Puisque les tueries au hasard infligées à des civils, sont une spécialité des ennemis de notre civilisation.

Et l’instruction se fait toujours uniquement à charge. Combien de médias français ont signalé que sept soldats de « l’unité fantôme » ont été attirés dans un immeuble piégé, où quatre ont perdu la vie. Ils avaient entre 20 et 22 ans. Mais la riposte des survivants aurait été illégitime ! Forcément, puisque aux yeux des islamistes et des gauchistes qui les soutiennent, se défendre pour ne pas être égorgé, est un crime !

Ce n’est pas l’acte qui compte, mais la personnalité et les motivations politiques de celui qui le commet

A-t-on vu beaucoup de ces juridictions internationales qui poussent comme des champignons après la pluie, poursuivre et neutraliser des narco-trafiquants sud-américains, soi disant guérilleros néo castristes ? Ou les mafiosi de Maduro en cheville avec des Colombiens. Trop risqué avec ces truands qui ont la gâchette facile. Le nettoyage est laissé à l’initiative des bérets verts, des seals et autres commandos US. Dont on critique ensuite les méthodes expéditives. Sans une once de compassion pour les victimes des assassins qu’ils ont éliminé.

A-t-on déjà vu ces juridictions fantoches, phagocytées par des islamistes qui y grouillent comme des asticots sur un cadavre, s’en prendre aux djihadistes contre lesquels on n’a même pas besoin de recueillir des preuves accablantes ? Puisque, très fiers de leurs assassinats de civils désarmés, ces terroristes se filment en train de commettre leurs crimes. Des images destinées à émuler la férocité de leurs troupes, à recruter d’autres sociopathes comme eux, et à démoraliser leurs ennemis.

Les agents de la CIA, de la NSA ou du Mossad parviennent parfois à les infiltrer. Difficilement, au péril de leur vie. Lorsqu’ils éliminent quelques unes de ces pourritures qui n’ont plus rien d’humain, les bonnes âmes critiquent ces héros et parlent même de les juger. De même que les indics qui ont permis de les coincer. Pensez donc, ils n’ont pas arrêté en douceur les islamo-mafieux et n’ont pas respecté les droits de la défense.

Mais il y a des exceptions à l’habeas corpus interlope. Lorsque les banksters perdent trop de pognon. Ainsi les politicards et leurs juges assujettis aux magnats du NWO n’ont pas moufté quand les marines de guerre russe et chinoise, avec leurs commandos, ont éradiqué en grande partie les pirates qui assaillaient les navires marchands au large de la Somalie. Même si la France s’est déshonorée une fois de plus en accordant l’asile politique aux fuyards.

Christian Navis

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