NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
Vous naviguez sur le site de Radio-Canada

Plus tôt en mai, la province a indiqué que Michael Bryant avait été nommé consultant pour un contrat de six mois, soit jusqu’en août, d'une valeur de 150 000 $. (Photo d'archives)
Photo : Radio-Canada / Ben Nelms
La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.
Le gouvernement de la Colombie-Britannique a annoncé la fin du contrat de consultant attribué à l’ex-procureur général de l’Ontario, Michael Bryant, qui avait pour mission d’améliorer les conditions de vie dans le quartier du Downtown Eastside à Vancouver.
Le bureau du premier ministre indique que le contrat de Michael Bryant, qui avait été signé en février, s’est terminé le 18 mai.
L’attribution de ce contrat de six mois, discrètement annoncé publiquement plus tôt ce mois-ci, a semé la controverse dans la sphère politique et communautaire, tant pour sa valeur monétaire que pour le manque de transparence et de clarté qui l’entourait.
Steve Kooner, porte-parole du Parti conservateur de la Colombie-Britannique pour le bureau du procureur général, a déclaré la semaine dernière que le gouvernement n'avait rendu publique la nomination de M. Bryant qu'à la suite de questions posées par Global News.
La solution de ce gouvernement est de nommer Michael Bryant comme le soi-disant « tsar » du Downtown Eastside sans annonce publique, sans transparence publique, sans consultation, a déclaré M. Kooner lors de la période de questions du 13 mai.
La déclaration du bureau de David Eby indique que le débat sur le contrat de Michael Bryant a détourné l'attention du travail important effectué dans ce quartier défavorisé.
Selon la déclaration, le gouvernement et Michael Bryant ont une volonté commune d'améliorer les conditions de vie dans le Downtown Eastside, et le gouvernement reste déterminé à améliorer la vie des personnes qui y vivent.
Avec les informations de La Presse canadienne