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FIGAROVOX/TRIBUNE - Conférence perturbée, prières sauvages, harcèlement d’étudiants juifs... l’institution bruxelloise n’est plus un bastion de la pensée critique et du libre examen, constate le sénateur honoraire belge Alain Destexhe.
Alain Destexhe est sénateur honoraire belge et a récemment publié Mayotte : comment l’immigration détruit une société (Éditions Texquis, 2025).
Bruxelles est souvent pointée du doigt pour son communautarisme religieux et sa tolérance face à l’islamisme. Autrefois phare de la laïcité, l’Université libre de Bruxelles (ULB) incarne aujourd’hui les dérives de la capitale belge.
Créée en 1834 par des francs-maçons pour garantir l’émancipation des étudiants vis-à-vis des dogmes religieux et concurrencer l’Université catholique de Louvain, l’ULB s’est longtemps voulue un bastion de la pensée critique et du libre examen. Pourtant, derrière sa devise «Scientia Vincit Tenebras», l’institution bruxelloise est devenue un foyer d’intolérance, de communautarisme islamiste et d’antisémitisme.
La liste des renoncements est longue. Sous couvert de débats, l’université a d’abord invité à plusieurs reprises l’islamologue Tariq Ramadan, célèbre pour avoir prôné un moratoire sur la lapidation des femmes adultères…