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L’Université était un sanctuaire, les islamo-gauchistes en ont fait une pétaudière

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En France, comme en Amérique, des crétins instruits qui se prenaient pour des intellectuels sont balayés par le monstre protéiforme qu’ils ont créé. Hybride de wokisme, d’antisémitisme, de décolonialisme, de trotskisme, de prosélytisme islamique et de racisme anti-Blancs.

Il n’y a pas qu’en Ukraine que des croix gammées souillent les murs

Qui aurait imaginé, 80 ans après la fin de l’hitlérisme, que des étudiants juifs seraient chassés des amphis, bannis de certaines résidences universitaires et pris à parti dans la rue par des milices inspirées des SS ?

« Rien ne vous prépare à l’irruption de 400 activistes envahissant votre campus en criant des slogans de haine » témoignait le 5 juin Andrew Martin, président de l’université Washington à Saint-Louis (Missouri), au cours du premier forum franco-américain sur l’antisémitisme.

Mais Martin n’est pas une couille molle comme ses homologues français. Il dispose d’une police universitaire forte d’une quarantaine d’hommes grands, forts et musclés. Appuyés par les forces de police de la ville, ils ont libéré le campus. Une centaine de manifestants ont été arrêtés. Et la justice américaine n’est pas tendre avec les fauteurs de troubles. Ces futurs prix Nobel étudieront désormais dans la promiscuité des voyous. Très affectueux avec eux, on l’espère.

Mais les présidents d’autres universités, imbibés de wokisme, de multiculturalisme et de gauchisme, ou tout simplement pétochards, tolèrent l’intolérable. À Columbia (New York), des étudiants juifs sont harcelés, molestés, contraints de se cacher ou de quitter le campus. Des milices islamiques prennent possession des locaux. La présidente Claire Shipman capitule. Les cours se poursuivront en visioconférence. À Harvard, le même scénario de dévastation et de démission se produit.

La complaisance de nombreuses universités envers les militants pro-palestiniens opposés à l’existence d’Israël a atteint des sommets. On accepte comme allant de soi un harcèlement des étudiants juifs, complices d’un prétendu « génocide » à Gaza. Une attitude qui exaspère les Américains. Et pas seulement ceux qui ont voté Trump.

En France, on accepte l’inacceptable parce que, dans l’université comme dans la société, les agressés n’ont pas le droit de se défendre.

Sur les murs de la cafétéria de l’université de Lyon 2, des tags maculent le bâtiment sur toute sa longueur : « De la mer au Jourdain, la Palestine aux Palestiniens ». Dans les couloirs s’affichent les gueules des assassin du Hamas, brandissant des couteaux et des kalachnikov, devenus des héros de BD. Assortis d’incitations aux meurtres : « Tue un islamophobe ! Tue un Juif ! ».

Des débordements encouragés par la complaisance de l’administration. On a offert des coins-prière aux islamistes, et accepté l’interruption des cours pour leur permettre de se livrer à leurs simagrées. Puis la direction a sanctionné le géographe Fabrice Balanche, chassé par une bande de djihadistes qui lui reprochaient de ne pas prendre le parti du Hamas et du Hezbollah. Il s’était opposé à la mise à disposition d’un amphi pour y fêter le ramadan par des mahométans étrangers à l’université.

Les signes avant-coureurs de cette déliquescence étaient perceptibles dès mars 2024, quand des étudiants juifs de Sciences Po Paris, suivi par des succursales de province, se sont vu interdire l’accès à des amphis « en tant que sionistes ». Menaces de mort, coups de matraques, pneus crevés. Pourquoi se gêner puisque Macron est de leur côté avec sa reconnaissance d’un pseudo-État palestinien ? Il serait temps de réactiver la branche française du Betar !

Dépassé, le directeur de Sciences Po a démissionné. Son successeur Luis Vassy, un ancien diplomate qui dirigeait la cellule de crise du quai d’Orsay, essaie de redresser la barre. Trop tard. Des enseignants incorporent dans leurs cours des éléments de propagande antisémite empruntés aux nazis. L’institution vacille et passe sous le contrôle des djihadistes. Terrorisant et expulsant ceux qui ne se soumettent pas à leurs fatwas. Dans la cour de l’établissement, ils organisent des expositions et des manifs en faveur des terroristes du Proche-Orient.

Aux USA, les lâches et les déserteurs doivent rendre des comptes

Les présidentes de trois des plus prestigieuses universités américaines ont été convoquées mardi 5 décembre 2024, devant la commission de l’éducation et du travail de la Chambre des représentants, à Washington. Claudine Gay (Harvard), Elizabeth Magill (université de Pennsylvanie) et Sally Kornbluth (MIT) ont été interrogées sur les moyens qu’elles comptaient employer pour mettre fin à la déferlante antisémite constatée sur leurs campus depuis le pogrom du 7 octobre en Israël.

En attendant une réponse satisfaisante suivie d’effets concrets, des crédits fédéraux ont été suspendus. Trump a retiré 2,2 milliards USD à Harvard et 7 milliards USD aux autres pétaudières de luxe. Même des petites facs ont perdu des centaines de millions USD de subventions. La criaillerie progressiste se répand en imprécations dénonçant les atteintes à la liberté d’enseigner (sic). Ces salopards ne manquent pas de culot !

En France, la même volonté de fermeté se heurterait à un obstacle majeur : l’absence délibérée d’outils juridiques.

Là où Andrew Martin dispose d’une force de police universitaire, Luis Vassy navigue entre les récifs. « Notre personnel n’a aucun droit de toucher les étudiants. Tout contact physique pourrait constituer une infraction pénale ». Rien de plus normal dans un pays où les racailles de tout poil sont intouchables. Et où l’on condamne les flics qui les empêchent de nuire. La droite émasculée ne veut plus des appariteurs musclés et des groupes d’autodéfense de la FNEF comme en 1968.

Des politiques pressent Vassy d’expulser les fauteurs de troubles ? « Je n’ai aucun droit de le faire ! » objecte-t-il. Les comités disciplinaires, composés à parité de professeurs et d’étudiants, sont majoritairement politisés à l’ultra-gauche. Ces juridictions d’exception ne sanctionnent que ceux qu’elles tiennent pour des fachos. Pour les autres, c’est open bar, toute l’année ! Et puisque le budget de l’État voyou leur a octroyé des crédits quasi illimités, on ne reviendra pas dessus.

Et tandis que des doctorats sont attribués sur des thèses-plagiats, au nom des équivalences, à des infiltrés islamiques infoutus d’être reçus en première année de licence, les idiots utiles du djihad sont récompensés par de somptueux voyages d’études, des colloques et des conférences grassement rémunérés, et des postes de choix dans des centres de recherches et d’analyses, financés par les pétrodollars.

La publication et la diffusion d’ouvrages et d’articles indigents dont les revues à comité ne veulent pas s’ensuivent. Une mine d’or pour toutes les fausses sciences dont le réchauffisme, le covidisme et le genrisme. Bannis presque partout chez les coraniques. Mais instrumentalisés pour finir de démantibuler l’Occident.

Les voix de la raison et du courage sont rares en France

Après la demande de suspension du partenariat avec l’université Reichman de Tel-Aviv, portée par un mystérieux « comité d’usagers » jailli ex nihilo, Jean-Philippe Heurtin, directeur de Sciences Po Strasbourg, s’est déclaré le 31 octobre 2024 sur BFM Alsace, « honteux et choqué par la situation ». Rappelant que ce boycott est contraire à la liberté de pensée, de savoir et de recherche, qui font partie des prérogatives des facultés et de tous les organismes de recherche français.

Les conquérants du Francistan et leurs janissaires se moquent bien de l’article L.141-6 du code de l’éducation : « Le service public de l’enseignement supérieur est laïque et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique ; il tend à l’objectivité du savoir ; il respecte la diversité des opinions. »

Indignation à géométrie variable

Des partenariats avec des pays tels que l’Égypte, la Chine ou la Turquie qui, contrairement à Israël, ne sont pas des démocraties n’ont en aucune façon été remis en cause. Le tropisme compassionnel de ces étudiants porte uniquement sur les « Palestiniens » présentés comme des victimes en cours d’extermination par Israël. Une inversion de réalité puisque l’État hébreu est menacé dans son existence même par des terroristes fanatiques qui appellent à sa disparition, et ne font pas la différence entre civils et militaires quand ils assassinent.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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