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Vers une défaite militaire et diplomatique de Kiev
Le camp otano-ukrainien dévale de manière accélérée le tobogan d’une défaite à la fin du conflit de type classique en cours. À la guerre des tranchées et de type urbain à laquelle nous assistons depuis trois ans, succède depuis plusieurs semaines une guerre de mouvement marquée par une progression plus soutenue des troupes russes.
Kiev, par ailleurs divisé en interne, manque d’hommes et affronte, semble-t-il, un fort taux de désertion. Sa conduite de la guerre relève plus de la communication comme à Koursk, que d’une réflexion stratégique. Le camp atlantiste n’est pas en mesure de fournir le matériel de combat au sol nécessaire. Tous les jours des territoires et des villages sont perdus.
À l’évidence l’Ukraine n’est plus en mesure de gagner cette guerre de type classique pour autant qu’elle l’ait été un jour. Elle ne peut donc plus que la perdre.
Quelles sont ses solutions ?
– Présenter officiellement, comme elle l’a déjà fait, ses exigences de paix à la Russie qui pourraient être celles d’un vainqueur : cessez-le-feu inconditionnel le temps de souffler et de se réarmer, droit d’intégrer l’UE et l’OTAN, possibilité de stationnement de troupes étrangères sur son territoire, aucune reconnaissance des gains territoriaux de la Russie : folie qui aurait permis de prolonger le conflit, inacceptable et refusée par les Russes ;
– Mener une stratégie de terrorisme que l’Ukraine pratique d’ailleurs depuis plusieurs années et « faire des coups » comme celui d’il y a quelques jours à l’encontre de terrains d’aviation, de bombardement avec des résultats matériels très moyens. Certes ces opérations font délirer LCI de plaisir mais – Jacques Baud insiste beaucoup là-dessus – ne constituent pas une stratégie qui permette de gagner une guerre. En fait dans le conflit ukrainien, l’OTAN connaît une grave crise de la pensée stratégique et, selon Xavier Moreau, c’est particulièrement vrai dans le cas de la France ;
– Multiplier les provocations envers la Russie pour pousser l’OTAN, c’est-à-dire aujourd’hui l’Europe, à s’engager concrètement dans le conflit sur le sol de l’Ukraine et déclencher une guerre mondiale, possiblement atomique.
La Russie s’achemine vers une victoire sur le terrain mais n’a pas encore gagné la guerre.
L’idée, difficilement crédible, mais couramment exprimée et entendue chez nous, que la Russie n’est pas si forte que l’on pourrait croire et ne dispose pas de la puissance suffisante pour affronter les forces coalisées de l’OTAN. Qu’en est-il ?
Si la Russie dispose maintenant de forces supérieures en technologie militaire sauf, semble-t-il, pour ce qui concerne les drones, elle se voit renforcée par l’arrivée continuelle de volontaires, de munitions et de nouveaux matériels en nombre considérable. Elle semble avoir corrigé ses erreurs et ses failles et suivi une stratégie qui lui est propre et qui lui permet d’avancer d’une manière régulière et dorénavant de remporter des succès d’une manière continue.
En revanche la Russie n’a pas encore reconquis l’intégralité des oblats qui sont à l’origine du conflit. À titre d’exemple : la bataille autour de Siversk fait rage depuis des mois. Sloviansk et Kramatorsk qui font partie de l’oblast de Donetsk semblent toujours hors d’attaque et il y a des mois qu’a été annoncée sur internet la chute imminente de Prokovsk qui n’a toujours pas eu lieu. Il est vrai que c’est une guerre urbaine et de fortifications, propice à de lourdes pertes humaines que Vladimir Poutine souhaite évidemment éviter en souvenir des réactions de colère des mères et des babouchkas face à celles provoquées par la guerre d’Afghanistan il y a quarante ans.
Certes les Ukrainiens ont été chassés du Koursk mais au bout de six mois, au terme d’une bataille d’attrition.
De plus la Russie, pays gigantesque et dont il est difficile de garder les frontières, subit des attentats – des dizaines d’assassinats de journalistes et de militaires ont été perpétrés – et des agressions de plus en plus nombreuses et puissantes de drones.
Les ripostes russes sont certes violentes mais il s’agit de bombardements de sites industriels, énergétiques et militaires.
En réalité la balance de ces frappes est inégale au détriment de la Russie. Celles des Ukrainiens n’existent et ne trouvent une efficacité que grâce aux renseignements américains et aux directives et instructions opérationnelles provenant des services spéciaux anglo-saxons et plus particulièrement britanniques, inspirés par leurs propres war-rooms. Sans eux les efforts de guerre ukrainiens seraient vains. Les Britanniques, hargneux, attachés à la disparition de la Russie, jouent, c’est dans leur ADN, un rôle répugnant de « pousse-à-la-guerre » discret en prenant le moins de risques possibles. Poursuivre et amplifier ce carnage de centaines de milliers d’Ukrainiens ne les gêne pas. Seule leur haine des Russes compte à leurs yeux.
Or les Russes peuvent difficilement contrer efficacement et châtier leurs véritables ennemis hors de l’Ukraine sans risquer de déclencher l’article 5 de l’OTAN.
L’OTAN se trouve dans une situation incertaine et paradoxale
C’est une coalition militaire avec ses défauts habituels de ce type d’alliance. D’autant plus que les pays qui la composent et, avec eux, ceux de l’Union européenne, ne parlent pas d’une seule voix et certains, tels la Hongrie ou la Slovaquie, font valoir des positions contraires au camp otanien.
Les populations des pays européens ne penchent pas en faveur d’une participation active de leurs troupes à ce conflit contre la Russie. C’est à un point tel que Bruxelles a posé la fraude électorale comme principe fondamental du fonctionnement politique de l’Union européenne « démocratique ! » pour éviter que des nations comme la Roumanie expriment officiellement leur opposition.
Les moyens militaires, au moins ceux de l’Europe, connaissent une grave crise de moyens humains, de matériels après tout ce qui a été donné à l’Ukraine, de niveau technologique et surtout de motivation. Et cela concerne les trois premières puissances militaires européennes : le Royaume-Uni, l’Allemagne et enfin la France dont le budget militaire connaît actuellement un grave déficit.
En sens inverse, on assiste actuellement, sinon à un renforcement, du moins à un regroupement et à une certaine forme de coagulation de la russophobie et de la volonté de s’opposer à la Russie des « élites » européennes que l’État profond mondial, les pouvoirs financiers oligarchiques et mondialistes ont intronisées en poussant au sommet des pantins serviles, et pour certains, lourdement tarés, corrompus et tenus par des chantages. Ceux-là sont capables du pire, c’est-à-dire d’un conflit atomique apocalyptique. Comme l’imposteur français, ils ont beaucoup à perdre en cas de défaite. D’ailleurs ils semblent pousser des troupes au plus près de la frontière ukrainienne comme, semble-t-il, une brigade allemande d’environ 4000 feldgraus dans les pays baltes et, pour ce qui nous concerne une unité de chasseurs alpins français en Roumanie qui, en cas de clash grave, sera en première ligne du massacre.
En tout cas malgré la situation catastrophique des finances de la plupart des pays de l’UE, un projet de financement d’un budget militaire global de l’UE d’environ 800 Md € a été formulé par la commission de Bruxelles soumise aux ordres et menaces du « parrain » américain exigeant que chaque pays dédie 5 % de son PIB aux dépenses militaires.
Cet objectif est proclamé pour répondre au conflit qui ne manquera pas, selon l’OTAN, d’éclater entre la Russie et l’UE dans quatre ou cinq ans. Dans la mesure où la Russie n’a jamais menacé l’Europe et n’a aucun intérêt à le faire, ces ambitions de réarmement démontrent la volonté de l’OTAN-UE de se donner le temps et les moyens de relancer le conflit avec la Russie au terme de ce délai. En l’occurrence la Grande-Bretagne et l’Allemagne montrent leurs ambitions militaires. C’est la bonne nouvelle pour la France : le militarisme agressif allemand resurgit !
Enfin cette sorte de période de simili-transition est marquée par l’explosion du conflit irano-sioniste qui se traduit par une mise au second plan du conflit ukrainien au grand dam de Zelensky qui doit supporter et affronter les palinodies de Trump dont on ne sait pas de manière certaine s’il va abandonner l’Ukraine ou non.
L’OTAN demeure donc une menace pour la Russie et pour le monde entier. Il est même question de la mêler à la situation conflictuelle de l’Asie-Pacifique.
Des propositions russes limitées et périlleuses.
Dans la pénombre ce contexte complexe et indécis, le Président Poutine a présenté par l’intermédiaire de ses diplomates un mémorandum de règlement de la crise ukrainienne. Les points les plus marquants sont, entre autres, les suivants :
– reconnaissance de l’adhésion de la Crimée, des républiques de Lougansk et du Donetsk, des oblasts de Kherson et de Zaporoje à la Fédération russe ; retrait complet des formations militaires et paramilitaires de ces territoires ;
– dénucléarisation, démilitarisation et neutralité complète de l’Ukraine, c’est-à-dire le refus de participer à toute alliance dont évidemment l’OTAN. Cessation de toute aide à caractère militaire à l’Ukraine. Dissolution des formations nationalistes de ce pays ;
– garantie des droits, des libertés et des intérêts de la population russophone en Ukraine. La langue russe redevient une langue officielle ;
– suppression de toutes les sanctions économiques entre la Russie et l’Ukraine ;
– garantie de l’engagement de l’Ukraine de ne pas se livrer à des activités de sabotage et de terrorisme ;
– retrait complet des troupes ukrainiennes du territoire de la fédération de Russie pendant une période de cessez-le-feu de 30 jours à partir du moment où le retrait de ces troupes commence.
La nation russe, ses dirigeants – on peut évoquer le magistral ministre des Affaires étrangères qu’est Serge Lavrov – et surtout Vladimir Poutine, l’un des plus grands chefs d’État de l’histoire russe et peut-être de l’histoire européenne, mènent admirablement leur barque depuis un quart de siècle. Ils savent ce qu’ils font et le font de manière réfléchie et rationnelle. Leurs propositions sont nombreuses et exigeantes. Cependant sont-elles suffisantes pour écarter tout danger futur pour la Russie ?
Évidemment Zelenski ne peut pas les accepter. Mais le destin politique et même personnel de cet imposteur corrompu et criminel connaîtra une fin à court terme. De toutes façons la décision sera prise par les Anglo-Saxons, en l’occurrence le Président des États-Unis.
Au cas improbable où ceux-ci accepteraient ces propositions russes et s’engageraient à garantir la sécurité de la Russie, ce qui constitue l’objectif premier du Président Poutine, en signant formellement des documents diplomatiques écrits et signés, il convient de rappeler quelques données historiques :
Les USA et leur servile valet, la Grande-Bretagne, sont des pays sans foi ni loi. Ils ne respectent pas leur parole par mépris de leurs interlocuteurs. La preuve la plus éclatante aura été à partir de la chute de l’URSS, l’extension de l’OTAN jusqu’à la frontière de l’Ukraine, menaçant directement le cœur de la Russie malgré les promesses formulées par Bush père à Gorbatchev.
Nous en avons eu une expérience amère en 1919 lors de la signature du traité de Versailles. Très préoccupés par leur sécurité face au danger allemand, les Français souhaitaient avoir des garanties de la part des Anglo-Saxons. Ceux-ci refusèrent une forme de neutralisation politique de la rive gauche du Rhin qui aurait permis d’écarter ce péril et ont substitué par écrit dans le traité qu’en cas d’agression allemande, les deux pays viendraient au secours de la France. Comme le traité, signé par le Président démocrate américain Wilson, prévoyait la création de la Société des nations, ce que refusaient les Républicains isolationnistes, maîtres du Congrès, celui-ci ne le ratifia pas. La garantie américaine étant tombée, les Britanniques, fidèles à eux-mêmes, se désistèrent. La France était bernée.
Enfin rappelons les accords de Minsk non respectés par Kiev avec la complicité de Merkel et de Hollande-Macron qui ont déshonoré la parole de l’Allemagne et de la France sous la férule du « parrain » Washington.
Poutine, qui est né en 1952, n’est pas éternel. Mais surtout, Donald Trump a beaucoup de mal à imposer une volonté dont l’expression est à la fois brutale et changeante, à l’État profond US et au puissant néo-conservatisme. Or il devra affronter les mid terms dans un an et demi. Quel sera son poids s’il perd ses faibles majorités au Congrès ? Et, en 2028, si les démocrates remportent les élections, ils violeront les traités signés par Trump et déclencheront à nouveau un conflit contre la Russie. Et ce d’autant plus que, dans le cadre des propositions poutiniennes, un État ukrainien n’est pas appelé à disparaître. Le monde, et plus particulièrement l’Europe, connaîtra à nouveau les affres de cette guerre que nous vivons depuis plus de trois ans. C’est bien ce qu’ils annoncent pour dans trois ou quatre ans.
Des accords de paix conclus dans de telles conditions apparaissent d’autant plus dangereux qu’ils donneront aux atlantistes et possiblement aux Ukrainiens le délai nécessaire pour refaire leurs forces et transformer l’Europe en un bloc humain compact, homogénéisé, totalitaire, réorganisé et surtout réarmé, comme nous en menace le nouveau chancelier boche Friedrich Merz, l’homme de Black Rock, celui à qui, comme le dit Jacques Baud, il manque une mèche et une petite moustache.
Autre exemple, la Russie dispose d’une arme quasi absolue qui est celle des missiles hypersoniques dont les Américains auraient échoué à trouver la formule. Du moins c’est ce que ceux-ci annoncent. Disent-ils la vérité ? C’est tout de même étonnant que la recherche scientifique et technique du complexe militaro-industriel US se heurte à un tel échec.
Par ailleurs, historiquement, la capacité et l’énergie des États-Unis à mobiliser leur population et l’industrie de leur pays pour bâtir des armées de terre, de mer et dans les airs en un délai de deux à trois ans a été prodigieuse pendant les deux guerres mondiales. En 1940, l’armée US, c’était 250 000 militaires. En 1944/45, c’était des millions surarmés sur deux fronts. Après avoir connu le mépris envers les Russes, ne nourrissons pas excessivement celui envers les États-Unis. Le temps pourrait presser pour la Russie.
La Russie ne connaîtra une véritable sécurité que par une victoire totale sur l’Ukraine et sa capitulation.
Militairement la Russie domine la situation. La porte d’une victoire complète est aujourd’hui entrouverte.
Deux rappels historiques
En 1918, sur le front français, l’armée allemande était vaincue. Cependant la progression des armées alliées, continue et puissante, était ralentie par une croute de troupes bien armées et combatives s’appuyant sur les lignes de fortification, un peu comme en Ukraine aujourd’hui. En octobre, les généraux Pétain et de Castelnau préparèrent une offensive en Lorraine où les Allemands n’avaient plus grand-chose à leur opposer. Elle aurait permis de prendre rapidement ce qui restait de l’armée ennemie à revers avant son franchissement du Rhin et de provoquer une possible capitulation. Cela n’eut pas lieu. Les Anglais et Foch s’y opposèrent et la demande d’armistice boche arriva. Cette terrible erreur permit aux troupes allemandes de rentrer chez elles à peu près en ordre et d’être accueillies par le chancelier socialiste Ebert avec le discours « Vous revenez invaincus. Aucun ennemi ne vous a surpassés ». Vingt ans après ils défilaient à Paris.
De même lors de leur interrogatoire du procès de Nuremberg en 1945, des généraux allemands (Keitel, Guderian) ont déclaré que l’une des plus graves erreurs stratégiques de Hitler, après celle du haltebefehl de mai 1940 qui a permis de sauver l’armée anglaise à Dunkerque, avait été d’accorder un armistice à la France, de ne pas aller border la Méditerranée et de ne pas avoir occupé l’Afrique du Nord, c’est-à-dire de ne pas être allé au bout de sa victoire.
Si la Russie qui se trouve en position de les exiger n’obtient pas, en ce moment favorable, les garanties de sécurité qui lui sont indispensables, la seule solution réside aujourd’hui dans une victoire complète sur l’armée ukrainienne et la capitulation de Kiev. D’ailleurs Vladimir poutine l’a laissé entendre publiquement.
Cette capitulation permettrait de :
– démontrer aux atlantistes que les moyens militaires de la Russie sont plus puissants et efficaces que ce qu’ils croient afin qu’ils le retiennent pour l’avenir ;
– reprendre la totalité des républiques et des oblats qui font désormais partie de la Russie ainsi que les oblasts identifiables à Novorussia : Karkhov, Dnipro, Mykolaiev, évidemment Odessa jusqu’à la Transnitrie, peut-être Soumy ;
– border la rive gauche du Dniepr jusqu’à Kiev. Le Président de la Fédération de Russie n’y semble pas favorable, peut-être parce que « trop embrasse mal étreint ». Il convient cependant de rappeler au lecteur que le territoire ukrainien est très riche en ressources minières et agricoles sur lesquelles beaucoup de monde louche, en premier lieu les Américains : Donald Trump, lui-même et surtout les fonds d’investissement : Black Rock en particulier. La cupidité anglo-saxonne et la corruption du gang de Kiev peuvent conduire à la perte de ces richesses qui sont celles de pays slaves membres de notre continent européen. L’Europe se verrait déposséder de son patrimoine naturel au profit des grands fonds financiers oligarchiques qui tirent déjà un profit gigantesque de cette guerre qu’ils ont fait déclarer à la Russie pour l’émietter et la piller ;
– s’entendre avec la Pologne, la Hongrie, la Roumanie et la Slovaquie sur le partage de l’Ukraine de l’Ouest ;
– créer un État croupion ukrainien de dimension réduite sous contrôle et donner lieu à de véritables élections qui permettraient d’éliminer du paysage politique local les bandes mafieuses qui tiennent aujourd’hui l’Ukraine et sont en liaison étroite avec les grandes mafias du sud de l’Europe.
Ce triomphe de la Russie sur Kiev constituerait une victoire claire, visible, éclatante sur l’OTAN qui, vaincue, n’aurait aucune raison de ne pas disparaître et pourrait difficilement s’opposer à d’autres exigences légitimes :
– l’arrêt total et sanctions en cours ;
– la récupération par la Fédération russe de ses avoirs financiers détenus par les pays attentistes ;
– la création d’une zone de sécurité en faveur de la Russie en Europe de l’Ouest et centrale marquée par le retrait des ogives atomiques américaines implantées dans ces pays.
D’une manière corollaire, l’Union européenne, dont Vladimir Poutine, dans un discours récent, a bien distingué les peuples qui la composent de leurs « élites » et dirigeants criminels, sera dépouillée de toute légitimité pour imposer le régime totalitaire qu’elle ambitionne d’établir au prétexte d’une mobilisation en faveur d’une guerre perdue. Elle pourrait en perdre son existence, ce que je souhaite de toutes mes forces.
Conclusion
Les dirigeants russes ne feront que ce qui convient à l’intérêt de leur pays. Cependant si la capitulation de Kiev et la défaite de l’OTAN constituaient la conclusion finale de la lutte qu’ils ont entreprise il y a plus de trois pour garantir sa sécurité, alors, nous autres, citoyens des vieux pays de l’Europe pourrions rêver de retrouver notre liberté, notre souveraineté et notre dignité que nous ont confisquées Washington et les atlantistes depuis cinquante ans. Ce sont les raisons pour lesquelles, à titre personnel, je place en elles mes espérances en faveur de notre pays, notre France, actuellement nation esclave de Washington et de Black Rock.
André Posokhow
26 juin 2025