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L’islamiste n’est pas le nazi de notre temps, il est tout simplement le vrai musulman.

Les musulmans exaltés à l’extrême rêvent tous de faire de la terre le Grand Royaume d’Allah.

Qu’ils soient fanatiques ou islamistes, ils souffrent tous d’un manque pathologique d’humilité et sont incapables de se remettre en question.

Ils sont tels des adeptes d’un mouvement sectaire messianique, obnubilés par une seule idée : suivre à la trace, emboîter le pas des pseudo-ancêtres vertueux, illusoires, fantasmés et inventés de toutes pièces.

Au point que l’opprobre est jetée sur tous ceux qui osent dresser le portrait fidèle de leurs fantasmes mégalomaniaques.

Plus on flatte leur ego, plus ça les réjouit et les conforte dans leur délire de grandeur en leur procurant un sentiment de puissance démesurée.

Ils ne connaissent rien à la morale de la fable « Le corbeau et le renard », de Jean de la Fontaine : « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute ».

Mais convaincus religieusement de la suprématie de leur foi et de ses mirages sur toutes les autres croyances, ils refusent de reconnaître que l’humilité est la mère de toutes les vertus.

Absolutistes et à l’ego surdimensionné, ils ne peuvent se résoudre à entendre la voix de la raison et admettre qu’il puisse y avoir une autre vérité la leur.

Enfermés dans cette sorte de prison mentale, vivant dans leur tour d’ivoire, tels des reclus qui refusent tout contact avec le monde extérieur afin de ne pas mesurer le cap qui les sépare du monde réel, toute critique ou remise en cause de leur représentation sublimatoire de leur foi est perçue comme une offense à leurs dogmes.

Angoissés à l’idée de se regarder dans le miroir du monde, ils transforment leurs peurs en autant de mécanismes de défense, un bunker pour se réfugier dans les méandres de leur pensée tourmentée et obsédée par la plus-value qu’ils pourraient tirer de leur totale obéissance aux prescrits de leur religion.

Un musulman fanatique n’investit jamais à perte. Tout ce qu’il fait et entreprend, c’est pour s’attirer les bonnes grâces de son Démiurge.

Se sentant éternellement persécutés, ils voient des ennemis partout, épiloguant et dissertant sur les fantasmagoriques complots dont ils se croient victimes.

Ils sont comme des enfants capricieux et possessifs qui ont besoin d’être couvés de regards et d’attentions pour exister. Depuis ces trois dernières décennies, ils ont plutôt tendance, pour manifester leur mauvaise humeur, à avoir recours à une nouvelle forme de thérapie comportementale, sociale et intellectuelle : faire régner la terreur pour exister.

Au point qu’il ne viendrait à l’esprit de personne de les contrarier pour ne pas susciter leur ire et troubler leur émoi. C’est pourquoi l’on doit se garder d’écorner leur image de soi idyllique, surfaite, surréaliste, inconsidérée et irréelle.

Qui oserait les faire « dénombriliser » et leur faire toucher du doigt la dure réalité de leur vie et l’amertume de leur existence ? Personne !

De crainte d’être taxé de haine pour les musulmans, et non pas de la phobie de l’islam dont ils sont la force de frappe sanguinaire et destructrice.

Culpabilisant à outrance et traitant de takfiristes, blasphémateurs, les musulmans qui osent leur porter la contradiction. Fermés comme des huîtres… autant dialoguer avec des fous en pleine crise de démence. Bourrés de certitudes, se considérant comme investis de la mission divine de défendre la parole du prophète, et de lui rendre justice en cas d’offense à l’islam.

Atteints d’une espèce de pathologie mentale qui frappe tous ceux qui n’ont pas la pureté du sang musulman, y compris leurs coreligionnaires à l’esprit clairvoyant et lucide et non gagnés par l’ivresse du fanatisme.

Sang et foi se confondent chez les musulmans fanatiques qui sont légion partout dans le monde. On les reconnaît à leur mode d’accoutrement vestimentaire et au port de barbes hirsutes et fort probablement pouilleuses.

Leur discours est en tout point de vue comparable au discours nazi sur les inégalités raciales entre les hommes. Il est vrai qu’ils ont remplacé le mot race par religion.

Au point que les qualificatifs employés laissent supposer qu’il y a un nouveau gène cellulaire musulman. Un caryotype islamique.

Comme si être musulman dotait celui qui professe l’islam d’un nouveau marqueur génétique. Ils se prennent pour les nouveaux pharaons, ils sont au sommet de la pyramide humaine. Ils se prennent pour le nec plus ultra de l’humanité au motif qu’ils ont la plus merveilleuse religion jamais donnée à l’homme.

De cela, personne ne doit douter, et malheur à celui qui se montre incrédule. N’est-il pas écrit dans leur littérature sacrée que les musulmans sont les seigneurs de l’humanité, la meilleure communauté jamais envoyée sur terre au grand dam de nos amis maoris ou zoulous qui n’ont pas cette chance d’avoir été adoubés par Dieu pour mériter ses faveurs ?

En attendant qu’ils redescendent de leur nuage, ils font vivre l’enfer sur terre au monde qui n’est pas le leur. Il n’y a pas photo entre eux et les Zoulous qui mordent la vie à pleines dents, ils chantent, dansent, boivent et s’amusent comme des fous.

Et surtout ils ne polluent la vie de personne et ils sont tout le contraire de la sublime et parfaite communauté des croyants que Mahomet a promis à ses fidèles.

Ils ne sont dotés d’aucune vertu humaine, à l’âme tourmentée et à l’esprit torturé. Négateurs de la vie, suicidaires et jusqu’auboutistes, cherchant leur salut dans la destruction de leur propre vie et celle d’autrui. Connus pour leur arrogance, violence, morbidité, messianisme, sectarisme, expansionnisme, intolérance, fanatisme, tempérament inquisitorial et incurie intellectuelle et mentale.

Accumulant tous les péchés originels qui devraient leur valoir de finir sur les bûchers ardents de l’enfer, à supposer que ce lieu sinistre puisse exister, ils excellent dans le vice et les dépravations morales, leur suffisance légendaire n’a d’égale que leur esprit obtus, se croyant détenir la vérité absolue à portée universelle qui doit s’imposer au monde entier.

Leur manque d’humanisme et leur bellicisme puisent leur source dans l’enseignement du prophète autoproclamé. De même que les traits de leur caractère sont l’exact reflet de la personnalité de leur figure tutélaire : bornés, schizophrènes, paranoïaques, archaïques, passéistes, souffrant de troubles de la personnalité, dégoûtés de la vie, nombrilistes, vaniteux, moi-musulman-maître-du-monde-et-de-l’univers, nazillon, imprécateurs, impulsifs, sanguins, écorchés vifs, exubérants, haineux, fourbes, manipulateurs, antisémites, à l’ego surdimensionné, cosmiques, calculateurs, falsificateurs, hautains, faux dévots, profanateurs, sexistes, racistes, méprisants, agressifs et bien d’autres scories qui laissent apparaître les musulmans fanatiques à des années lumière des 10 commandements et de tous les Livres de Loi que Dieu aurait révélés aux hommes à l’exception du Coran – qui aurait pu inspirer Hitler pour la rédaction de Mein Kampf.

Une question : ne vaut-il pas mieux être zoulou et jouir de la vie que d’être musulman fanatique et vivre l’enfer au cours de sa vie – et le faire subir à autrui ?

Salem Benammar