Nuit complètement folle entre lundi et mardi où se sont entremêlés guerre psychologique, guerre électronique, menace nucléaire et poker diplomatique à très haut risque.

Selon des séquences diffusées sur les réseaux et plusieurs sources croisées par des analystes OSINT , des batteries du système israélien Iron Dome auraient lancé des missiles… contre elles-mêmes ou dans des directions erratiques, retombant sur le sol israélien. Certains évoquent un brouillage ou un piratage électronique venu d’Iran, qui aurait neutralisé toute la nuit le système de défense aérienne israélien, voire en aurait pris le contrôle. Déjà, des phénomènes similaires avaient été observés la veille à Haïfa avec le système Arrow, plus avancé technologiquement et conçu en coopération avec les États-Unis.

L’attaque iranienne (moins massive que prévu et annoncé) aurait pourtant traversé les défenses sans interception, confirmant l’hypothèse d’un contournement électronique. Les autorités israéliennes, conscientes du désastre informationnel potentiel, auraient tenté d’empêcher la diffusion d’images en menaçant ceux qui filmaient les impacts.

Mais surtout, une véritable nuit de guerre psychologique aurait secoué les lignes diplomatiques. Les Américains auraient, selon plusieurs fuites concordantes, émis des menaces très sérieuses à l’encontre de l’Iran.

Certains parlent de menaces nucléaires, transmises via des canaux discrets, afin de dissuader Téhéran de mener l’attaque massive à laquelle il semblait se préparer. Une escalade évitée de justesse ? Une ligne rouge électronique franchie ? La dissuasion est-elle désormais cybernétique ?

Selon plusieurs sources concordantes, l’état-major interarmées américain lui-même aurait été divisé, une partie s’opposant farouchement à la réthorique nucléaire erratique de l’administration. Une fronde interne aurait contraint Trump à revoir sa communication, dans un climat de tension extrême.

Si cette hypothèse se confirme, nous assistons à une bascule stratégique inédite dans la guerre hybride : la supériorité électronique pourrait désormais primer sur la suprématie balistique.

Nous entrons peut-être dans une nouvelle ère de guerre algorithmique »