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Le devoir de réinformer est plus que jamais nécessaire quand on voit la duplicité des crapules de la caste politico-médiatique européiste. Qui se réjouissent ouvertement lorsque le nabot souffreteux frappe la Russie avec du matos franconais, boche ou rosbif. Et couinent telles des vierges outragées quand Vladimir rend la politesse.
Mais ces péripéties tragiques ne parviennent plus à masquer l’effondrement d’une Ukraine moribonde qui craque de toutes parts. Tandis que la Russie conforte son maintien stratégique et économique, dont la progression est certes lente mais constante.
Pour finir une guerre perdue qui tourne au désastre, l’Eurocrature pouvait cesser d’armer le pygmée hargneux. Mais les eurotocrates ne veulent pas perdre la face.
La nuit du 3 au 4 juillet 2025 a été un peu plus secouée que les autres pour les Ukronazis. La riposte de la Russie aux coups d’épingle du nain turco-mongol a été plus sévère que d’habitude. Les médias menteurs découvrent que Kiev aurait « été plongé dans la terreur et la souffrance ». Sortez vos mouchoirs de soie !
Près de 600 drones et missiles leur sont tombés sur la gueule, mais l’essentiel n’est pas là. Nos politiciens véreux et leurs médias rampants déplorent les morts, les blessés et les immeubles détruits. Mais aucun boutefeu n’ose dire que, cette fois, l’Eurocrature observe, commente, vitupère, mais ne réagit plus comme avant. En menaçant le Kremlin et en accélérant le train des cadeaux au barbichu à la tronche en biais. Car cette fois, Vladimir a fait très fort.
Les historiens du futur diront peut-être que la nuit du 3 au 4 juillet a été un moment de bascule important. Changeant le cours de la guerre. Au moins psychologiquement. Démoralisant l’ennemi et ses supporters.
Avec une Ukraine exsangue et une Eurocrature à bout de souffle, Poutine et Trump discutaient tranquillement au téléphone. Et tandis qu’un déluge de feu s’abattait sur Kiev et divers centres névralgiques, le Russe qui connaît les bonnes manières, souhaitait une belle fête nationale au Ricain. Lequel venait d’annoncer la suspension des cadeaux aux oligarques néonazis.
Administrant la double preuve que les USA en ont assez de porter à bout de bras un État voyou qui n’est même pas reconnaissant à l’Amérique de son aide. Et que la Russie a sans doute bien fait d’attendre que ses ennemis s’épuisent. D’aucuns ont pu s’étonner du manque de pugnacité apparente de Poutine contre les provocations incessantes du gnome de Kiev. Vlad attendait son heure. Respectant la tradition russe de laisser l’ennemi s’enliser avant de lui porter des coups dont il ne se relèvera pas.
Un timing parfait pour faire comprendre que la Russie ne se laissera pas prendre aux fausses promesses comme après les traités de Minsk.
Une fois de plus, les cyniques de Bruxelles, les matamores de Londres et de Berlin, et notre paltoquet inconsistant ont donné la mesure de leur tartuferie. Tout en parlant de paix, ils encourageaient les illusions de l’avorton mal rasé, et soutenaient ses arrogantes exigences… Perdant chaque jour du terrain, l’homuncule et ses influenceurs européistes prétendaient imposer un cessez-le-feu limité, contrôlé par les belligérants larvés. Une pause pour se donner le temps de réarmer l’Ukraine.
La réponse du Kremin a été claire et nette. Les atermoiements et les ruses diplomatiques, ça ne marche plus. Et la nouvelle conjoncture permet de renforcer une stratégie payante. À partir du moment où l’Amérique se désengage progressivement, tandis que l’Eurocrature ruinée aux arsenaux vides se lamente, la Sainte Russie montre qu’aucune palabre, même au plus haut niveau, ne la fera plier. Il ne fallait pas réveiller l’ours qui dormait.
Jusqu’au début 2022, Poutine acceptait le référendum sur le Donbass et la Novorossia, prévu aux protocoles de Minsk 1 et 2. Mettant un terme aux harcèlement des nervis de Kiev depuis huit ans, et débouchant sur une autonomie administrative. On a cru pouvoir le rouler dans la farine. Maintenant que la Russie s’est engagée à fond, tant sur le plan militaire qu’économique, pour contrer les chantages de l’Occident, il n’est plus question de se montrer conciliant ni de temporiser.
Cela prendra le temps qu’il faut, n’en déplaise aux généraux-bouffons qui cachetonnent sur nos télés d’État, mais l’Ukraine est foutue. Non seulement, elle va finir de perdre ses provinces russes du Sud et du Sud-Est, mais sa décomposition va relancer les appétits des Polonais, des Hongrois et des Roumains, privés de leurs terres historiques lorsque le Concert des Nations a joué au Monopoly pour créer un État artificiel qui n’avait ni histoire, ni peuple homogène, ni culture commune.
Il ne reste aux bellicistes qu’une propagande vindicative et larmoyante, non pour essayer de sauver le Zygomyr qui compte pour du beurre, mais pour conserver le pouvoir dans leurs démocratures.
Ils essaient d’attirer les opinions publiques de leur côté. En saturant les écrans d’images d’explosions, d’incendies, de décombres, de morts et de blessés, accompagnées de propos fustigeant la violence des vilains-méchants Russes. Reprenant les communiqués de victoire surréalistes du minus agité et de ses séides. Un paradoxe de moins en moins crédible, qui n’échappe plus à grand monde.
Cette technique de lavage de cerveaux, en prévision des futures élections en Europe, a été employée au profit des terroristes de Gaza et des djihadistes du Liban et d’Iran. Tout le monde sait qu’ils en ont pris plein la gueule, ce qui devrait les calmer quelque temps, même s’ils chantent victoire. Mais Fripounette, Nick Strarmer, Pustula la hyène et le chancelier Hitmerz ne veulent pas être associés aux défaites qui pourraient les emporter dans la débâcle.
Les télés d’État et les réseaux sociaux sous contrôle peuvent dégobiller leurs messages de soutien, leurs photos et vidéos, encensant pour son courage le Zygomyr bien planqué lui aussi dans ses tunnels… Chacun sait que les jours à venir et les nuits prochaines seront semblables, sinon pires… Et une idée jusqu’alors interdite commence à frayer son chemin : si les Ukrainiens veulent sauver leur peau et le peu qu’il reste de leur pays, la première des choses à faire pour les militaires serait d’imiter leurs collègues roumains de décembre 1989.
La guerre des drones n’est plus de la science fiction
Les médias putrides, tout en acclamant les raids symboliques sur des cibles secondaires en Russie, dénoncent l’usage de drones explosifs par les Russes. Tout en prétendant, comme d’habitude, que ceux-ci seraient à court de munitions, malgré leurs fournisseurs iraniens, nord-coréens, bantous et patagons. Ces crétins se sont encore plantés. L’Iran en miettes est bien incapable d’assurer les commandes et le service après vente. Tout le matos est du « made in Russia ».
Avec une réactivité qui a confondu ses ennemis, la Russie a réussi à reconvertir ses usines civiles en chaînes de fabrication de matériel militaire adapté aux nouvelles données. Innovant de façon intelligente, tout en rénovant la quincaillerie soviétique en stocks. L’efficacité des bombes planantes tirées à distance pour ne pas exposer leurs avions aux missiles de l’OTAN devrait être un cas d’étude dans toutes les écoles de guerre sur le thème comment faire du neuf avec du vieux.
La quantité, mais aussi la qualité. Les munitions errantes russes sont de plus en plus sophistiquées et difficiles à intercepter. Tandis que la programmation des engins de l’OTAN a été déchiffrée, ce qui permet soit de les annihiler en vol, soit de les renvoyer à l’expéditeur.
Les missiles balistiques ont aussi leur partition à jouer. Rapides, imprévisibles, provenant de toutes les directions, ils ont frappé la plupart des grandes villes. Visant en priorité les centres de commandement, les casernes, les arsenaux, les usines, les gares, les nœuds routiers, les aéroports. N’en déplaise aux médias larmoyants qui montent en épingle les dommages collatéraux sur des secteurs non stratégiques. Comme si les Russes allaient gaspiller délibérément des munitions qui coûtent un bras contre des HLM ou des gymnases.
En envoyant ses drones frapper le territoire russe, le petit clown de la télé-réalité imaginait-il qu’il n’y aurait pas de représailles ? Ou espérait-il qu’en cas de riposte, il réaliserait enfin son rêve de déclencher la troisième guerre mondiale ? Pas si fou, Donald qui a assez à s’occuper avec ses gauchistes et les islamistes laisse le turlupin se démerder. Quant au Boche Hitmerz, il a de la gueule. Mais guère envie de revoir des touristes russes à Berlin comme en 1945.
Christian Navis