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L’euthanasie projet totalitaire de déshumanisation et de mort

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Selon François Asselineau, la loi sur le droit à mourir pourrait permettre de tuer les faibles, les vulnérables, et les personnes âgées sans garde-fou.
Un changement civilisationnel et anthropologique majeur se cache derrière cette loi, le retour au sacrificiel. Dans un tweet, Laurent Ozon a dit : « La France est un pays qui pue la mort ». Les dirigeants, les députés, les parlementaires prennent des décisions qui favorisent la mort : l’inscription de l’IVG dans la Constitution, des lois pour favoriser « le droit à mourir », sans parler d’euthanasie ou de suicide assisté.

Au début, on présente les choses de façon dramatique : l’aide à mourir, c’est pour les malades tout à fait grabataires en fin de vie, qui n’en peuvent plus, qui souffrent le martyre. Puis, avec le temps, les choses évoluent vers un plus grand laxisme, vers un droit à mourir sans limites. On met en route un engrenage extrêmement dangereux.
Quand on fait sauter une digue, on ne sait pas ce qui se passe après. Lorsque l’IVG a été votée en 1975, avec Simone Weil, on précisait que c’était pour éviter la mort de nombreuses femmes à la suite d’avortements clandestins, que c’était un problème de santé publique, qu’il fallait suivre l’évolution des mœurs. La loi mûrement réfléchie offrait de nombreuses contraintes. Aujourd’hui, l’IVG atteint un stade industriel : 250 000 avortements par an et 650 000 naissances. Sans l’IVG, il y aurait 900 000 naissances par an.

LFI a fait voter un amendement : il serait prévu, et autorisé que ce ne soient pas les médecins qui donnent la potion létale, mais que le patient lui-même ingurgite cette potion. C’est du suicide assisté.
Ce système ressemble furieusement au nazisme. On parle toujours d’Adolphe Hitler et des nazis sur l’affaire de l’extermination des Juifs, de l’Holocauste, de la Shoah, de la persécution des Juifs, des Slaves, des Tsiganes. Mais on oublie l’Aktion T4 menée par le régime nazi de 1939 à août 1941, où toutes les bouches inutiles étaient assassinées. Cette campagne d’extermination par assassinat des adultes handicapés physiques et mentaux a fait de 70 000 à 80 000 morts. Des affiches, une propagande, expliquaient aux Allemands le coût représenté par des gens qui avaient des maladies génétiques.

La civilisation chrétienne et catholique respecte la vie, valeur fondamentale. Elle apporte de l’aide aux plus démunis. Dans notre société nouvelle, on pense que si les personnes âgées passent de vie à trépas, on fait des économies. On a commencé avec le Rivotril distribué dans les Ehpad par Édouard Philippe. C’est le raisonnement des nazis. C’est la porte ouverte au crime de masse et à l’horreur nazie. C’est la fin de 2000 ans d’histoire chrétienne.

Certains sujets demandent de la discrétion, de la subtilité et relèvent de la vie privée, donc de la liberté de chacun, de la personnalité de chacun, par exemple, la vie sexuelle, la fin de vie. L’État n’a pas à s’en mêler, l’État n’a pas à faire de lois sur ces sujets, l’État n’a pas à réglementer notre vie intime. Le personnel médical connaît les réactions des personnes en fin de vie et gère les situations pour le mieux. Il ne fait pas d’acharnement thérapeutique, il laisse partir le malade doucement. Il n’y a pas besoin de faire des lois, une loi entraînera toutes les dérives, y compris l’assassinat d’un proche pour toucher l’héritage plus rapidement, y compris l’assassinat d’une personne pour obtenir un organe. Il faut faire preuve d’humanité, avec finesse, sensibilité. Derrière tout cela, se faufilent la Cour européenne des droits de l’homme qui autorise et encourage, les réseaux Soros qui financent. Progressivement, nous perdons notre humanité qui a été bâtie par 2000 ans de christianisme, nous perdons notre intimité propre à la nature humaine. Cette double perte d’humanité et d’intimité confirme que nous sommes dans un système totalitaire qui n’aime pas la vie et qui nie le droit à la vie intime.

Ariane Bilheran explique comment le pouvoir totalitaire dévore la vie intime et le corps de ses sujets. « Je n’ai rien à cacher » est l’adage du système totalitaire. Il incite les êtres à l’exhibition de leur vie intime, avec leur propre consentement. Or, comme l’indique Hegel, la pudeur est le socle de toute marche de civilisation. La transgression permanente par le regard pervers est une chute dans la barbarie.
Dans le totalitarisme, il y a prédation, dévastation sur toute chose et toute personne. Le système totalitaire régente et contamine les liens entre les êtres. Le système totalitaire légitime les confiscations matérielles, les rafles sur la propriété, la destruction de la famille, la destruction de toute activité sociale ou professionnelle. L’individu n’est plus un être spirituel, ni un être d’amour. L’individu est un objet mécanique, donc sans subjectivité ni conscience.

Le système totalitaire a pour but la domination permanente de chaque individu dans chaque sphère de sa vie. Pour cela, il pénètre dans les moindres recoins de la vie psychique par un lavage de cerveau quotidien. Tout doit rappeler l’existence de ce pouvoir : l’individu ne doit pas trouver un moment d’existence dans lequel il recontacterait cette part d’intime. Par ses nombreux déplacements en France et à l’étranger, par ses déclarations et interventions continuelles, Macron rappelle constamment sa présence et pénètre l’esprit des gens.

Le totalitarisme supprime des libertés publiques d’associations, de réunions, puis des libertés privées. Puis il détruit méthodiquement la personne juridique en tant qu’ayant des droits inaliénables, ce qui conduit à sa disparition dans sa dimension morale, psychologique, physique.
L’être humain est destitué, dépossédé de tous ses droits, y compris celui de disposer de son corps comme d’un véhicule personnel : son corps appartient au système totalitaire.
L’idéologie totalitaire a pour objectif la prédation de la vie intime par l’assassinat de l’individualité, la transformation de la nature humaine, afin de rendre l’existence humaine superflue.
L’écologie, le carbone, la novlangue, le droit à mourir. Tout cela entraîne un sentiment constant de surveillance et une infantilisation pour les personnes.

Le mot « intime » vient du latin intimus, le superlatif de interior : il désigne donc ce qui est plus intérieur que l’intérieur lui-même. Notre vie intime est le lieu de notre authenticité à nous-mêmes, un espace où nous ne pouvons plus nous mentir à nous-mêmes, ou nous masquer des malaises par une hypocrisie sociale. Vérité, liberté et amour ne s’y opposent plus. Notre autodétermination prend racine dans notre vie intime, dans la profondeur de la conscience de soi.

Notre vie intime n’est pas seulement à l’intérieur de nous-mêmes, elle est aussi incarnée dans notre corps. Je suis un être sensible dans mon corps. Le totalitarisme nie cette singularité de la vie intime du sujet. Le totalitarisme nie l’universalité de notre condition humaine.
La population doit entrer dans une ritualité obsessionnelle qui pénètre tout son espace privé, son rapport intime à l’autre. On l’attire sur du micro détail qui modifiera ses perceptions sensorielles et conditionnera ses gestes, sur des détails aussi grotesques qu’absurdes. L’objectif est la paupérisation des masses, la souffrance des masses, la mort des masses, la captation des ressources par quelques prédateurs qui s’octroient les privilèges.

Le totalitarisme persécute la liberté dans toutes ses manifestations, dans tous ses déploiements. Notre aspiration à la liberté naît dans notre espace intime, cet endroit impartageable, irréductible à aucun autre, différent selon chacun d’entre nous. Ce site intime, d’une profondeur exacerbée, échappe aux regards. Dans notre intimité, nous expérimentons l’infini en nous. Dans notre intimité, nous éprouvons la proximité authentique avec un principe transcendant au regard duquel nous nous sentons limités et finis. Nous pourrions appeler ce principe transcendant « Dieu ».

L’intime est donc un concept politique, celui de notre relation subjective à la transcendance. Hegel donne deux équivalents : l’amour et la liberté, dans leur acceptation infinie. Au contraire, avec les troubles narcissiques, la vie intime n’est pas suffisamment développée. Les profils pervers sont pauvres en imaginaire, en rêve, ne peuvent pas s’évader à l’intérieur d’eux-mêmes.

Pour Rémy Watremez ou Juste Milieu, pour Alexandre Juving-Brunet, les francs-maçons sont bien présents dans ce projet de loi. Dans un article du Journal du Dimanche du 7 mai 2024, Guillaume Trichard, grand maître du Grand Orient de France, se montrait favorable à l’euthanasie des mineurs.

La franc-maçonnerie est aux manettes à ciel ouvert, rien n’est caché. Le 5 mai 2025, Macron a rencontré la Grande Loge de France à Paris. Il explique que « critiquer la franc-maçonnerie, c’est se rapprocher des méthodes de Vichy… Les francs-maçons sont aux avant-postes de la bataille qui importe, si nous voulons façonner le siècle pour le bien de l’humanité. La franc-maçonnerie a toujours été la cible des complotistes, des obscurantistes, qui lui attribuent une influence, la mettant ainsi à l’honneur. Un organe de presse lui a récemment fait procès de vouloir peser sur les débats relatifs à la fin de vie… »

Dans le même discours, Macron a dit : « La franc-maçonnerie est aux avant-postes. Le fait que comme les autres grandes familles spirituelles, les francs-maçons s’emparent de ce débat fondamental, la fin de vie, je le dis aussi ici est une bonne chose. Je n’ai pas prévu sur ce sujet d’être trop long, et vous avez travaillé, je le sais, longuement sur celui-ci. J’ai reçu vos textes et je veux vous en remercier. Je lis aussi tout ce qui s’écrit ou se dit sur ce sujet. Ce n’est pas là un sujet, c’est un vertige qui touche chacune et chacun d’entre nous. Mais le débat résolument ne peut être réduit à la question de savoir si on est pour la vie ou contre la vie, ou si d’un côté il y aurait un humanisme qui voudrait le traitement, et de l’autre l’abandon à la mort simplement. Non ».
Au cours de son intervention, Macron a reconnu l’apport majeur des maçons pour la préparation du projet de loi sur l’aide médicale à mourir. Il a introduit la notion de « moindre mal » qu’il a présentée comme principe de solution, lui permettant d’évacuer les tenants de la vie d’un revers de main.

Les francs-maçons sont parmi les meilleurs soutiens des lois sociétales, contraception, avortement, euthanasie, idéologie du genre, homosexualisme, PMA, GPA… c’est-à-dire la négation de l’ordre naturel, la culture de mort. Ces lois sociétales sont préparées en loges.
On utilise le même registre de langage qu’au moment des débats sur l’avortement, on manipule les termes pour les faire accepter. Avec l’euthanasie, il est question d’être pro-vie ou contre-vie.

Macron nous tient un discours du « en même temps ». D’une part, il dit que la franc-maçonnerie n’a rien à voir avec l’euthanasie. Le dire serait se rapprocher de Vichy. Vichy résout tous les problèmes. D’autre part, il dit c’est très bien que vous vous en occupiez, que vous donniez votre avis. « J’ai reçu vos textes ». Macron présente son projet de loi d’euthanasie à la Grande Loge de France, moins à gauche, plus spirituelle, plus traditionnelle, plus sélecte, plus raffinée que le Grand Orient de France… et dénonce les complotistes et les obscurantistes.

Le rapporteur général est chargé de l’analyse, de l’expertise, de la rédaction du rapport, de l’animation des débats, de la proposition des amendements. Il représente la Commission à l’Assemblée nationale, il assure la coordination, la médiation et la recherche du consensus.
Olivier Falorni, le rapporteur, est membre du comité d’honneur de l’’association pour le droit de mourir dans la dignité. Autres membres du comité d’honneur : Hugues Aufray, Nathalie Baye, François de Closets, André Comte-Sponville, Bertrand Delanoë, Raphaël Enthoven.

Un article du Journal du Dimanche du 15 avril 2025 confirme : « Fin de vie : la franc-maçonnerie à l’œuvre pour faire adopter l’euthanasie. Depuis près d’un demi-siècle, l’association pour le droit de mourir dans la dignité, historiquement liée à la franc-maçonnerie, mène un méthodique travail militant pour obtenir la légalisation de l’euthanasie ».
Olivier Falorni, rapporteur général pour une euthanasie sans limites, est membre d’honneur d’une association « historiquement liée à la franc-maçonnerie » Dire cela rapproche de Vichy.

Selon Wikipédia, l’Association pour le droit de mourir dans la dignité a été fondée en 1980 par Pierre Simon, médecin, ancien grand maître de la Grande Loge de France, entre 1969 et 1971, puis entre 1973 et 1975, inventeur du Planning familial, promoteur de la contraception, à l’origine de l’agenda franc-maçon depuis des décennies et Michel Landa écrivain. Il y a donc bien un rapport avec la franc-maçonnerie.

Le projet de loi sur l’euthanasie, établi dans des conditions de débat tronquées, va être voté le 27 mai 2025 à l’Assemblée nationale. Le rapporteur est intimement lié à une association franc-maçonne qui milite ouvertement en faveur de ce projet de loi d’euthanasie sans limites. Cette situation de conflit d’intérêts n’est possible que dans un régime corrompu. Quand le projet de loi sera voté, ce texte, considéré comme un délit d’entrave, sera interdit, son auteur pourra être condamné. Et des délateurs dénonceront les contrevenants, comme cela se passait sous la Terreur, au temps du stalinisme, au temps de Vichy. Les régimes totalitaires promeuvent la dénonciation et le mouchardage. Sous ces systèmes politiques, les indicateurs et les traîtres prolifèrent.

L’euthanasie sans limites ouvrira les portes de la mort à des gens qui, avec du temps, de la réflexion, de l’amour, de l’encadrement, auraient peut-être changé d’avis. Des gens qui ne sont pas dans des situations de pronostic vital engagé à très court terme, et dont la vie a été rendue impossible à cause d’une maladie. Des gens mineurs, des gens pauvres. Une étude estime qu’on peut faire 1,4 milliard d’économies par an en ouvrant plus largement l’euthanasie. L’euthanasie a un aspect économique.
Les adolescents sont victime d’anxiété, des formes de problèmes psychiques pour diverses causes dues à la situation générale, on leur ouvre les portes de l’euthanasie. Tout le monde va être touché, si on ne fait rien. Avec ce délit d’entrave, le médecin de famille ne pourra pas conseiller son patient dépressif. Il ne s’agit pas d’opinion politique ou religieuse, mais d’un projet de société mortifère : l’ouverture de la mort, la commercialisation de la mort.

Jean-Louis Touraine, professeur de médecine, homme politique français, franc-maçon, membre du Grand Orient de France, militant de l’ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes, socialiste, puis soutien de Macron dès septembre 2016, adhérent de La République en marche, rapporteur de la mission sur la révision de la loi relative à la bioéthique, explique comment imposer l’euthanasie à un pays frileux, selon la conception élitiste et messianique, d’avant-garde de la République, de la franc-maçonnerie :
« On n’obtiendra pas tout tout de suite dans la première loi parce que vous avez vu la frilosité que notre pays véhicule sur ces questions-là, il faut obtenir le plus possible. Et surtout, une fois qu’on aura mis le pied dans la porte, il faudra revenir tous les ans et dire on veut étendre ça parce que je ne vous apprends pas quelque chose probablement à la plupart d’entre vous, dans la première loi, y aura pas les mineurs, dans la première loi, y aura pas les maladies psychiatriques, dans la première loi, y aura même pas les maladies d’Alzheimer. Donc tout ça ne viendra pas tout de suite. Mais dès qu’on aura au moins obtenu une loi pour ceux qui ont une maladie de Charcot, certaines formes de tumeur généralisée, pour ceci cela, après on pourra étendre les choses en disant c’est quand même pas normal qu’il y ait des malades, des Français parce qu’ils ont telle forme de maladie y ont droit et d’autres qui n’y ont pas droit. Donc il faudra introduire cette égalité ».

Jean-Louis Touraine confirme et affermit la méthode, une méthode progressive, graduelle. D’abord, on joue sur l’émotionnel en présentant des personnes en grande souffrance physique, puis on sacrifie par étapes les gens atteints de troubles psychologiques, les malades d’Alzheimer, les handicapés, les enfants. Enfin, tout le monde est concerné. Deux arguments-massue couronnent toujours les lois sociétales : le bien de l’humanité et l’égalité. En réalité, il s’agit d’une inversion : mort de l’humanité et inégalité devant la mort.

Et n’oublions pas le trafic d’organes lié à l’euthanasie. Un trafic très lucratif, organisé par certains lobbys, à travers diverses occurrences : les guerres, les enlèvements d’enfants, la pédocriminalité, les avortements, l’euthanasie, les migrations… Les politiques, les chefs d’État connaissent le commerce des organes et ses transactions morbides… se taisent et protègent… quand ils ne participent pas eux-mêmes à ces tripotages. Dans notre société déliquescente et déchue, le crime et la mort se sont normalisés et rationalisés. Bien sûr, les gens en grande souffrance physique peuvent demander l’euthanasie, mais le droit à mourir concerne tout le monde, sans restriction.

Guillaume Trichard, Pierre Simon, Jean-Louis Touraine… francs-maçons, Olivier Falorni, proche de la franc-maçonnerie, promeuvent l’euthanasie, l’avortement… doctrines discutées en loges, c’est manifeste et irréfutable. Et après, on vient nous raconter que la franc-maçonnerie ne fait pas de politique, ne se mêle pas de politique, que la franc-maçonnerie n’intervient pas, ne coopère pas, et ne contribue pas aux décisions politiques.

Régression civilisationnelle et anthropologique, déshumanisation, mise à mort de personnes qui pourraient être sauvées, perte de notre intimité, proximité du nazisme, culture de mort, rôle de la franc-maçonnerie, trafic d’organes, dépopulation, totalitarisme insidieux, tels sont les signaux et les conséquences de la loi sur le droit à mourir.

Rappel. Malgré des rivalités et des divergences internes entre les loges, malgré l’opposition factice entre le Grand Orient de France et la Grande Loge de France, la franc-maçonnerie est une. La franc-maçonnerie poursuit des buts communs, dont la vengeance, dessein étriqué et mesquin.

Jean Saunier

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