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L’ambassadeur palestinien auprès des Nations unies, Riyad Mansour, a prononcé un discours émouvant devant le Conseil de sécurité de l’ONU, mercredi 28 mai, fondant en larmes alors qu’il décrivait les souffrances des enfants palestiniens en raison de la guerre en cours dans la bande de Gaza (dixit la presse internationale, la française comprise).
Difficile pourtant de croire qu’il était sincère.
Le Riyad Mansour, né en mai 1947 à Ramallah (Cisjordanie), a immigré avec ses parents trois ans plus tard aux États-Unis où il va étudier et travailler toute sa vie.
Il n’a jamais travaillé qu’aux États-Unis.
Il est « ambassadeur » de la Palestine auprès de l’ONU depuis 2004, soit il y a plus de 21 ans. Qui dit mieux ?
Le seul qui ait fait mieux est un ambassadeur du Yémen qui a occupé son poste pendant 26 ans.

Le Riyad Mansour a-t-il été en « Palestine » ? Possible, mais seulement en touriste. Possible qu’il ait été en Cisjordanie (pour prêter allégeance à Mahmoud Abbas qui l’a nommé à ce poste), mais sûrement pas à Gaza. Il n’a jamais vécu ou travaillé ni à Gaza ni en Cisjordanie.
« C’est insupportable », se lamentait le Mansour en parlant de la situation à Gaza. « J’ai des petits-enfants. Je sais ce qu’ils représentent pour leurs familles. (…) Les flammes et la faim dévorent les enfants palestiniens. »
Il a peut-être bien des petits-enfants, mais ils ne sont pas Palestiniens. Le Mansour est marié à une citoyenne américaine, fille d’immigrés polonais et italiens. Ils ont deux enfants.
Dans une déclaration au « New York Times », en juin 2019, le Mansour « s’émerveillait de la façon dont, après avoir vécu aux États-Unis pendant plus d’un demi-siècle, il était devenu une figure patriarcale dans une famille élargie diversifiée qui comprend des beaux-parents japonais-américains. »
La fierté du Mansour déborde. Mais, apparemment, les Palestiniens sont exclus de cette « famille élargie » de leur ambassadeur.
Le Mansour doit toucher au moins 15.000 dollars par mois. A-t-il jamais envoyé le moindre dollar troué aux enfants palestiniens ?
D’après les comptes-rendus de la presse américaine, quand le Mansour ne se lamente pas sur le sort des enfants de Gaza, il va jouer au golf. Pour déstresser. Et préparer ses larmes.
Le golf est un sport très populaire à Gaza.
Un sport qui se joue, non avec des trous, mais avec des tunnels.
Messin’Issa